La cabane isolée

The man behind Old, Split, and The Sixth Sense returns with an intriguing but underbaked end-of-the-world thriller.

The Sixth Sense director has resuscitated his career more times than most, but this latest supernatural thriller feels like a tired remix of letdowns like Signs and The Happening.

The bigger problem is that the movie leaves itself nowhere to go but deeper into biblical doom and gloom, with an unwavering sense of purpose that highlights Shyamalan's able craftsmanship but also exposes the pointlessness of this claustrophobic exercise.

M. Night Shyamalan's Knock at the Cabin is the director's best work since Split, boasting a great premise and cast.

Dave Bautista delivers his best performance to date.

La décision du cinéaste de modifier la fin du roman l'oblige à justifier son choix. Et à s'appesantir un peu lourdement sur le processus de décision, très judéo-chrétien, des deux hommes. On aurait souhaité mieux, ou, au moins, plus original.

Si la conclusion nous laisse un peu sur notre faim, le chemin pour s'y rendre vaut le détour.

Seulement voilà, le réalisateur laisse ici peu de place à l'imagination dans le déroulement de ce scénario apocalyptique et plante sans doute trop d'indices, qui nous mènent vers la conclusion sans équivoque de ce thriller qui nous laisse sans frissons.

D'autre part, le cinéaste et ses scénaristes ont sensiblement modifié le dénouement du roman, trahissant ainsi le propos de Tremblay. Enfin, le jeu des interprètes apparaît trop forcé pour vraiment émouvoir.