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L'handicap de l'obésité morbide.
C'est triste.
Très bonne performance de BF mais c'est Woke
Le film est très bien interprété et l'histoire est intéressante. Par contre les quotas woke sont là. Il est gay, son infirmier est une femme asiatique qui le boss, crie après et ne sourit jamais. Naturellement, son enfant est une adolescente dure, qui lui fait des reproches et qui ne sourit jamais. Son ex-femme entre en jeu et deviner... Elle crie après, lui fait des reproches et ne sourit jamais. Pendant ce temps les gars du film se fond donner la permission de parler, de se fermer la trappe, d'entrer et de se faire expulser. Tout ça dans l'acceptation que de se faire manquer de respect et d'empathie est normal pour un homme. Les 2 gars du film sont complètement effrayés par les personnages féminins. Il y même une scène ou le jeune homme est menacé d'un faux témoignage de viol si il ne fait pas ce que la jeune adolescente lui demande. Wow j'ai hâte que les vidanges passent, ils vont probablement me ramasser parce que je suis un homme!
INTENSE ET BOULEVERSANT
Magnifique interprétation de BRENDAN FRASER ainsi que tous les autres acteurs qui l`accompagnent dans sa détresse. Une fin tragique, qui nous laisse sans mot et nous touche profondément. Ce film mérite plusieurs nominations aux Oscars. Une fois de plus ce réalisateur m`a ébloui par sa mise en scène percutante.
Freud ne viendra pas ce-soir
J'ai beau lire toutes les critiques cinéma, je ne trouve pas AUCUN mot, aucun commentaire, AUCUN "indice" qui permet aux spectateurs de "saisir" le POURQUOI qui se cache derrière l'état mentale pitoyable de ce gros tas de chair molle... parce qu'il est un "homo-de-placard" !...et il ment a tout l'monde dès son adolescence sur son orientation sexuelle et il va commettre l'irréparable en épousant sa collègue de travail (Ouch !) pour la quitter huit ans plus tard pour aller vivre avec un autre homme (Ouch !)...et pourtant le réalisateur nous indique (trop subtile pour le spectateur moyen?) son homosexualité dès le début du film en regardant un film porno gay sur son Ipad...si vous ne savez pas que ce type est un "homo-de-placard" , ce film est carrément "plate", très ennuyant même...mais dès que vous "le" saisissez, l'interprétation de Brendan Fraser est d'ordre MAGISTRAL
annexe
son embonpoint disproportionné est égal a son homosexualité "monstrueuse"...du moins c'est ce qu'il pense...et même le cherche auprès des gens qui le fréquentent de lui dire qu'il est "monstrueux"...(comme d'être homo)
Très bon film très américain
Seulement aux USA que l'on peut comprendre la dualité conflictuelle aussi tordue entre religion, émotions et nourriture ... Une phrase qui revient dans le film a propos d'une analyse de Mooby Dick...que l'auteur cherche à nous faire oublier poje quelques temps nos problèmes...c'est ce que ce film fait très bien car les acteurs sont très bons pour nous faire entrer et nous garder dans ce monde du américain.
Huis-clos poissonnier.
Darren Aronofsky est décidément un cinéaste imprévisible et qui aime passer du coq à l’âne. Ou plutôt ici du ciel à l’océan puisqu’on passe d’une métaphore absconse et complètement azimutée sur Adam et Eve avec l’horrible et épileptique « Mother! » à une œuvre sur un obèse cloitré chez lui et qui se voit comme la baleine de Moby Dick, métaphore d’ailleurs aussi mais peut-être un peu trop lourde ici, sans mauvais jeu de mots, et surtout manquant de finesse. Mais on oublie que le cinéaste a également été l’auteur de chefs-d’œuvre et films cultes inoubliables : on parle bien sûr de « Requiem for a dream » et « Black Swan » mais aussi des excellents « The Wrestler » et « Noë ». Après une traversée du désert d’une demi-douzaine d’années suite à l’accueil glacial et l’incompréhension (méritée) de « Mother! », il nous offre donc ici avec ce très beau et apaisé « The Whale » un double come-back : le sien et celui d’un comédien doué mais oublié en la personne de Brendan Fraser.
Un peu comme il l’avait fait avec Mickey Rourke en catcheur sur le retour pour « The Wrestler », il nous rappelle au bon souvenir de l’inoubliable interprète de la saga culte du début des années 2000 : « La Momie ». Une carrière interférée par de tristes affaires dont il a été la victime et une obésité devenue célèbre à Hollywood, un Hollywood qui raffole aussi de ce type de retours inopinés sur le devant de la scène. Et, en effet, Fraser est imposant (le contraire eut presque été une litote), impressionnant et implacable dans ce huis-clos dramatique. Il est de tous les plans même et malgré qu’il soit presque immobile du fait de la teneur du rôle, son jeu demeure beau et fort. Le comédien est en route en directe ligne droite pour l’Oscar du meilleur acteur et il serait mérité. On pourra en allouer un autre au maquilleur qui a réussi à rendre plus que crédible l’acteur en lui donnant l’apparence de quelqu’un qui fait 250 kg! Mais le film ne tient pas que sur le comédien et ses incroyables prothèses de graisse.
« The Whale » parle certes de l’obésité malsaine sur la couche la plus visible de son script. Adapté d’une pièce de théâtre dont Aronofsky a du mal à se défaire, le film est bien plus profond que cela. Il parle également d’amour, de religion, de filiation, etc. Des thèmes forts qui se suffissent à eux-mêmes. C’est pourquoi les vaines tentatives du cinéaste de se départir de cet aspect huis-clos théâtral en bougeant sa caméra sont peut-être louable mais inutiles. Le film dure deux heures mais on ne les sent pas passer au gré des visites de sa fille, de sa belle-sœur ou encore d’un évangéliste persévérant.
Le final est d’ailleurs beau à se damner et nous permet un peu d’émotion qui était jusque-là quasiment aux abonnées absentes. On est autant touché par les challenges insurmontables de la vie de tous les jours que doit surmonter Charlie au quotidien que par sa relation manquée avec sa fille. A l’inverse, un peu comme dans un film d’horreur, on est même terrifié lorsqu’il cède à son penchant malsain pour la nourriture. Le film nous prend donc aux tripes et nous cueille, et cela malgré l’arrivée tardive des sentiments et cet aspect théâtral que l’on veut masquer. On est donc face à un beau film qui nous permet de nous remémorer l’étendue du talent d’un comédien dont on a coupé l’herbe sous le pied.
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La fin justifie les moyens
Il faut être patient avec les premières 45 minutes qui mettent en relief le pathétisme du personnage, seule la performance de Fraser sauve le film de l'ennui. Il a la lourde tâche de nous faire croire à sa prothèse et y parvient. La réalisation d'Aronofski reste discrète. Tranquillement les personnages secondaires prennent leur place et captent notre attention pour en arriver à l'une des finales les émouvantes que j'ai vu depuis longtemps. J'ai enfin compris en quoi consiste une rédemption au cinéma.
L’honnêteté nous rend-t-elle merveilleux ?
Le film nous raconte par le biais de l’histoire de l’homme obèse qu’est-ce vraiment la vie. Ce film pose une critique douce et amer sur l’imperfection de l’Homme. Touchant les thèmes de l’amour, l’acceptation de soi, l’acceptation des autres, la beauté intérieure l’amour propre, l’amour de soi, la famille, les démons intérieurs, le passé et puis le futur, le long métrage ne met jamais l’un de ses thèmes plus à l’avant que l’autre. Ils sont tous représentés non en surface, mais de façon constante tout comme dans la « vraie » vie . Nous sommes tous ou serons tous confrontés aux grandes tristesses de la vie qui nous conduirons vers le merveilleux. Le film nous chuchote délicatement que pour voir un arc-en-ciel , il faut accepter la pluie. Une trame qui se passe lentement, un scénario qui est super bien interprété par les acteurs ( Mention honorable au grand retour de brendan fraser qui est très bon dans ce film) et une réalisation honnête qui est simple mais qui fait réfléchir.
Freud ne viendra pas ce-soir
pourquoi censurer un commentaire de la part de cinoche ?