Rédiger une critique
Vous devez être connecté pour pouvoir rédiger une critique.
le mal et son origine
Désigné par cinoche comme étant un "film québécois" (OUCH !) ???...parce qu'il y a seulement UNE VEDETTE Québécoise???...vraiment ???...même pas désigné comme "co-production" ???...je vais aller te voir, toi, le mal et je te dirai c'que je pense de toi !
Jouissif!
Dans le genre suspense psychologique avec personnages complètement tordus, ce film est dur à battre. Les revirements multiples surprennent et ne sont jamais tirés par les cheveux. Les comédiens sont extraordinaires, en particulier Laure Calamy et Dominique Blanc. Les décors magnifiques et étranges contribuent à rendre l'ambiance mystérieuse. Notre superbe Suzanne Clément y interprète une personnage puissant. À voir. Bravo!
Malgre une lenteur au commencement du film , j ai beaucoup apprecie le film , car on est surpris de l aventure du film
Aussi bon que A couteaux tirés très français
Ce film pourrait être vu comme la réponse française, la réplique française au film américain britannique A couteaux tirés, seulement en France que les personnages auraient cette forme d'interaction sociale, seulement en France sous le couvert de civilité que des jeu de mots peuvent arrivés à dire ses méchancetés. L'intrigue est bonne, bien tenue, sans être trop compliquée, chaque personnage est à la fois vilain et humain , et passe d'être détestable à être attachant. Aucune longueur.
Mâle c'est mal!
Au bout de trois films très réussis, peut-on dire qu’un réalisateur est confirmé? On le pense oui, à la vision de ce troisième essai jubilatoire et virtuose signé Sébastien Marnier. Après le captivant et implacable thriller « Irréprochable » avec Marina Foïs et le suspense nihiliste et sacrément original « L’Heure de la sortie », le cinéaste nous revient avec une petite bombe, magistrale et vénéneuse, encore un cran au-dessus de ses deux précédents : « L’Origine du mal ». Une œuvre presque exclusivement remplie de femmes et qui change de la mode actuelle féministe et portant souvent sur la masculinité toxique (tant mieux, on a un peu fait le tour depuis quelques années...) où ici celles-ci sont toutes vénales, mauvaises et vicieuses. Mais attention, pas de polémique stérile : c’est un film, qu’on ne nous parle pas de misogynie ou autre. Il tisse un scénario machiavélique en forme de toile d’araignée, nous captivant de la première à la dernière minute et qui ne nous lâche pas plus de deux heures durant.
On est face à un jeu de massacre jubilatoire entre thriller retors que ne renierait pas Claude Chabrol et comédie (très noire voire acide) où le rire est parfois outré par la méchanceté de ces protagonistes, tous irrécupérables. Sa vision de l’humanité est plutôt encore une fois nihiliste et dépressive. Il s’amuse de ces protagonistes comme dans un jeu d’échec et de manipulation où chaque pièce peut tomber à chaque instant. Sa finesse d’écriture et l’excellence des dialogues et des situations est tout à fait jouissive et on se plaît à détester les personnages. Et quel casting! Homogène et flamboyant, où chacune a l’occasion de briller dans des rôles qu’elles ont dû prendre un sacré plaisir à incarner. N’oublions pas la seule représentation masculine en la personne du trop rare Jacques Weber qui incarne un ogre réjouissant et terrifiant. Simple petit bémol, le personnage de la jeune Jeanne est parfaitement inutile et mal exploité.
Dans « L’Origine du mal » on apprécie également la science du rebondissement du cinéaste. Subrepticement, il distille non pas seulement un joyeux malaise, venimeux et palpable, mais aussi des retournements de situation parfaitement agencés et négociés qui rebattent constamment les cartes d’un jeu dont il tire adroitement les ficelles. Crédibles et palpitants, ces twists nous réjouissent en tant que spectateur et on en redemanderait presque. Mais ce n’est pas tout, le cinéaste a encore plus perfectionné sa mise en scène que dans ses précédents opus : il filme cette immense demeure sur l’île de Porquerolles comme si c’était son terrain de jeu. Les prises de vues sont tourbillonnantes pour figurer le vertige de cette mascarade, l’utilisation inattendue du split-screen est parfaitement justifiée et la mise en scène est ample et belle. Il n’y a pas à dire, « L’Origine du mal » est un sacré film, aussi délicieux que maléfique et en tant que spectateur on s’y amuse autant qu’on est happé par le suspense. Un nid de vipères totalement jouissif!
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
famille dysfonctionnelle
Un film se rapprochant d'une intrigue à la Agatha Christie . Tout le monde semble mentir et l'arrivée de ce nouveau membre pourrait nuire au plan du reste de la famille de déclarer le patriache inapte et de gérer son immense fortune . Comme c'est une coproduction , la comédienne Suzanne Clément y joue un rôle important .