Réalisation

studios

  • Fidélité Films
  • VIP Cinéma 1
  • Mars Films
  • Caneo Films

distributeur

  • AZ Films

Bande-annonce & Images

Revues de presse

Canoë

Acceptable
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Aux côtés d'une Catherine Deneuve et d'un Guillaume Canet efficaces sans être transcendants, c'est Adèle Haenel, une actrice qu'on connaît peu chez nous, qui tire le mieux son épingle du jeu en se glissant avec abandon dans le rôle de la disparue.

Cédric Bélanger Lire la critique complète

Cinéfilic

Bon
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L'homme qu'on aimait trop ressemble donc à un retour en grâce de Téchiné... du moins pendant les trois quarts du film. La dernière partie, consacrée au procès qui a eu lieu 20 ans après les faits ne présente en effet pas le moindre intérêt. 

Jean-Marie Lanlo Lire la critique complète

La Presse

Très bon
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Cela dit, le personnage le plus énigmatique reste sans contredit cet «homme qu'on aimait trop». Canet joue à fond la carte de la séduction et du secret, tout en évoquant subtilement le désespoir d'un homme qui se sait complètement vide à l'intérieur.

Marc-André Lussier Lire la critique complète

24imag

Pauvre
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Si Guillaume Canet semble souvent limité par son personnage convenu et sans mystère, Catherine Deneuve, actrice fétiche du cinéaste, et Adèle Haenel, d'une vitalité et d'une force épatantes, semblent pour leur part imperturbables devant la pesanteur de ce film auquel elles confèrent énergie et charisme.

Helen Faradji Lire la critique complète

TéléCinéObs

Très bon
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A hésiter entre divers points de vue - l'affaire, Agnès, le deuil impossible de Renée -, cette oeuvre au noir, plus que fréquentable, manque de peu la dimension qu'elle aurait pu atteindre.

Sophie Grassin Lire la critique complète

L'Express

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Restent les deux premiers tiers, formidables de rigueur et portés par des comédiens irréprochables, dont une Catherine Deneuve au sommet.

Christophe Carrière Lire la critique complète

Le Parisien

Très bon
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Le film d'André Téchiné bénéficie d'un casting prestigieux.

Parisien Le Lire la critique complète

Le Monde

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Entre deux scènes assez classiques, Téchiné se laisse parfois aller à une écriture plus personnelle (...). Peut-être a-t-il choisi cette fois de s'effacer derrière ses deux actrices. On aurait mauvaise grâce de le lui reprocher.

Frank Nouchi Lire la critique complète

Libération

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Trop ancré dans un réel, par définition emmêlé, l’Homme qu’on aimait trop se perd dans les ellipses et dans une description, malheureusement trop rapide et classique, de l’esthétique artificielle de la Côte d’Azur.

Clément Ghys Lire la critique complète