L'extraordinaire voyage du fakir
v.o.a. : The Extraordinary Journey of the Fakir
v.o.a.s.-t.f. : L'extraordinaire voyage du fakir
Aja était tout jeune quand il comprit que sa famille était pauvre. Il décida donc de devenir un fakir de rue, qui dupe les passants pour faire fortune et ainsi pouvoir amener sa mère à Paris. Malheureusement, celle-ci décède avant que le projet ne se concrétise. Aja décide de s'y rendre tout de même pour honorer sa mémoire. Arrivé là-bas, il fait la connaissance de Marie dans un Ikea et il en tombe immédiatement amoureux. Il lui donne rendez-vous le lendemain soir sous la tour Eiffel. Par un malencontreux hasard, Aja se réveille dans un camion en route pour un voyage à travers le monde où il fera de merveilleuses rencontres et où il lui arrivera toute sorte d'aventures alors qu'il tente le tout pour le tout afin de revenir à temps auprès de Marie.
Distribution
- Dhanush (Ajatashatru Lavash Patel)
- Bérénice Bejo (Nelly Marnay)
- Erin Moriarty (Marie)
- Barkhad Abdi (Wiraj)
- Ben Miller (Officier Smith)
- Gérard Jugnot (Gustave)
- Abel Jafri (Capitaine Fik)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Brio Films
- Scope Pictures
- Little Red Car Films
- Vamonos Films
- TF1 Studio
- Aleph Motion Pictures
- M! Capital Ventures
- Impact Films
- Radio Télévision Belge Francophone (RTBF)
distributeur
- AZ Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Picaresque et profondément humaniste, le récit en forme d'ode au vivre-ensemble repose entièrement sur la prestation attachante et charismatique de Dhanush, star du cinéma indien fort à l'aise dans ce périple international.
Lire la critique complèteLa Presse
Il y a de la couleur, des séquences musicales, un clin d'oeil à Bollywood. Et Dhanush, superstar du cinéma tamoul, offre une composition fort sympathique.
Lire la critique complèteSéquences
La présence de Dhanush, vedette en Inde, relève du grand défi. Il est de tous les instants (ou presque); son côté candide-mauvais-garçon lui donne une personnalité attendrissante et on est prêt à lui donner le bon Dieu sans confession.
Lire la critique complèteLe Soleil
Ken Scott y fait le pari d'opposer la pauvreté matérielle à la richesse du coeur, l'optimisme aux préconçus de la condition humaine. Ça mérite notre respect.
Lire la critique complète