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Bon mais…
Rarement , le thème de la maladie mentale est aborder d’une façon cohérente comme ici aux cinémas. Que ce soit la psychopathie et autres cas mentaux encore extrêmement stéréotypée et ce film démontre bien la détresse d’un homme pris dans la cruauté d’une société parfois trop dure . Seul soucis , comme beaucoup d’autres films tombant dans l’erreur , le film montre plus comment avoir peur des psychopathes avec des actes atroces que se basé sur la détresse de l’homme comme si bien démontrer dans le film ( les sept jours du talion) . Sinons , le milieu social aurait pu être autant aborder psychologiquement ex: son entourage, comment vive t’il en le côtoyant . Sinosn , mise en scène impeccable, Joaquin phœnix très incrusté dans son rôle . Le chaos de ses pulsions sont bien représentés.
"Bing dans les dents!"
"Bing dans les dents!" - voici que j'ai vécu lorsque, enfin, j'ai vu Joker. Claustrophobe et corrosif, triste et terrifiant… complètement cinglé," Joker" se taille toute une place parmi ses hommages, notamment "The King of Comedy", et les multiples incarnations de "l'homme qui rit". Une connaissance m'avait carrément dit d'éviter ce film; une chance que je ne fais jamais ce qu'on me dit!
Joker
Très bon film
à la mode de 2019
Joaquim Phoenix toujours performant dans ses rôles de déjantés. SInon je me suis endormie à un moment donné pendant le film. Long, triste, misérable, masturbation mentale. N'aurait pas dû être produit sous la bannière DC Comic parce que ce film n'a aucun rapport avec l'esprit. Ce film s'inscrit selon moi dans la mode depuis quelques années: vase clos, beaucoup de gris dans la luminosité (je sais c'est Gotham mais même le remake de Anne et la maison aux pignons vert est en majorité sous luminosité grise), film concentré sur un personnage aux prises avec un problème de santé, deux trois pièces, deux trois rues, deux trois autres personnages et hop! on a un film de malade. Des anachronismes, on est supposé être dans les années 50 et il a un répondeur pour son téléphone. On nous dépeint la souffrance d'un être qui s'enfonce dans la folie pour, lorsque la souffrance le submerge et qu'il disjoncte, être acclamé par la foule comme un exemple à suivre. Aberrant . Tout sauf un divertissement ce film. Oui il y a beaucoup d'analogies avec Taxi Driver mais ça s'inscrivait dans la logique des soldats traumatisés par la guerre. Loin du joker joué par Heath Ledger qui était vraiment seul dans son chaos ce qui le rendait crédible comme psychopathe.
Excellent jeu de l'acteur!
Positif: Joaquin Phoénix est excellent. On croit réellement en son personnage et sa maladie, et sa profondeur permet de mieux comprendre le personnage du Joker.
Négatif: Le film présente des longueurs et plusieurs scènes de violences sanglantes.
Aussi grotesque qu'un sourire de clown
Mon mari et moi, avons vu ce film et l’avons trouvé affreusement déprimant. Qui plus est, tout y est caricatural. Quoi de plus normal, direz-vous, étant donné qu’il s’agissait de dépeindre la vie d’un clown de bandes dessinées. Christopher Nolan, le réalisateur de la fameuse trilogie Batman, disait que ce film serait inutile avant même qu’il ne soit produit. Tout simplement parce que lorsqu’il s’agit d’horreur, le moins on en montre, le plus effrayant c’est. Si on vous dit qu’il y a un géant monstrueux dans les bois et qu'il dévore des gens, vous rirez et n’y croirez pas ou vous imaginerez le plus horrible monstre qui soit ; le plus horrible pour vous ! Ce que les autres nous montrent n’est jamais aussi affreux pour nous que ce que nous imaginons. Ici, pour rendre les choses bien affreuses, on sombre dans le pire mélodrame qui soit. Comme si les psychopathes avaient tous été maltraités pendant leur enfance, moqués à l’adolescence, incompris à l’âge adulte sans jamais avoir personne pour les aider efficacement ! Mais non, la très grande majorité d’entre eux sont nés avec un boulon manquant dans la tête. Quelque chose ne tournait pas rond en eux dès le départ. Ici, on voulait nous faire pleurer en sombrant dans le misérabilisme le plus convenu. Tout y est en caractères gras et majuscules, souligné et surligné en plus pour être bien sûr qu’on a parfaitement compris que le personnage principal n’a pas eu la vie facile et que la société est pourrie à souhait. Quant au jeu de Joaquim Phoenix. C’est du Joaquim Phoenix poussé à l’extrême. Dans tous ses films dont je me souviens, cet acteur joue les mésadaptés sociaux, les solitaires incapables de se faire des amis, les gens en pleine dépression ou au bord de la crise de nerfs, les incompris, les fils rejetés par leur père, les révoltés, etc. En somme, il ne joue que des âmes torturées. Il a même interprété un type qui tombe amoureux de son ordinateur, faute de pouvoir s’entendre avec une petite amie en chair et en os. C'est donc normal qu’il sache jouer un clown cinglé. Du talent ? Si on veut, compte tenu du fait qu’il semble incapable de jouer grand-chose d’autre. Cette description simpliste et aussi glauque que possible de la société a fait des victimes déjà. Il y a des gens qui se déguisent en clowns et font du saccage dans les rues et les salles de cinéma où le film est présenté. Il semble que certains inadaptés ont voulu croire que, comme pour le Joker, leur malheur dépendait de tout et de tout le monde sauf d’eux-mêmes. https://www.thestar.com/entertainment/movies/opinion/2019/09/25/fears-of-joker-causing-a-slaughter-weve-seen-that-movie-before.html Quoi qu’il en soit, ne croyez surtout pas le bien qu’on dit de ce film. Et si vous ne vous sentez pas trop dans votre assiette, n’allez surtout pas le voir, vous vous rendriez plus malheureux encore pour un film qui n'en vaut vraiment pas la peine.
Faite votre propre avis
Et moi je dis ''ne croyez surtout pas le mal qu'on dit de ce film''
Décevant!
Je m'attendais à plus de ce film suite aux critiques des médias et des cinéphiles. Phoenix est génial en Joker, mais selon plusieurs critiques, le film est supposé déranger. Il n'y a rien de dérangeant pour ma part, j'ai déjà vu plus de violence dans certains films. Joker ne peut se comparer au film:"Natural Born Killer" en lien avec la violence, ce film était dérangeant....Bref, le film vaut la peine d'être vu, par contre j'avais trop d'attente envers celui-ci....
D'une profondeur abyssale...
Excellent! Quel film! Troublant et sombre. La mise en scène est parfaite. La musique qui porte ces scènes l'est également. Bien sûr, il y a le jeu de Joaquin Phoénix. Monumentale interprétation! Wow! On l'attend aux Oscars! Mais il y a surtout le message sous-jacent, insidieux et puissant qui pénètre notre esprit. Gotham peut symboliser n'importe quelle ville dans le monde. Alors que toute notre enfance a été bercée par les héros tel que Batman qui représentait la force du bien oeuvrant contre le mal, nous traversons un miroir pour découvrir l'autre réalité. La réalité de ceux qui deviennent les ennemis des puissants de ce monde. Ceux que l'ont qualifie de MÉCHANTS car ils sont démunis et en colère. Les vainqueurs sont toujours du bon côté, c'est connu... Bruce Wayne (Batman) est un héritier milliardaire, un homme de pouvoir. On l'a transformé en héros. Dans la culture populaire: héros = hommes de pouvoir (majoritairement blancs) et riches. Et nous avons trouvé ça normal toute notre vie. Depuis la nuit des temps, les hommes richissimes ont été portés au pouvoir. On les transforme en héros de manière systématique et ce, quoi qu'ils aient fait pour atteindre ce pouvoir et cette richesse. Pensons à Napoléon dont on vante encore les mérites en oubliant l'horreur et les atrocités de toutes les guerres qu'il a menées et qui ont été vécues par ses soldats et les peuples conquis. À travers l'anti-héros que symbolise le Joker, on nous propose un questionnement. Être riches et puissants à quel prix? Au prix de l'indifférence, au prix de la pauvreté et de la misère des autres qui deviennent les méchants? En sortant du cinéma, je suis tombée sur un reportage radio concernant le Chili actuel. Au cours du visionnement du film, j'en suis même venue à penser à l'élection de Trump... Ce film est quasi dangereux car, on le sait, l'arme la plus puissante qui soit, ce sont les idées. Tuons les Riches scandent les révoltés. Ouffff. On frissonne. BRAVO au réalisateur Todd Phillips!
Bien mais ....
J’ai adoré le travail de l’acteur il est incroyable dans sont role le film aussi est bien mais j’avoue avoir rester sur ma faim... je trouve que le film est long a démarrer avoir que l’on voit les vrai couleurs du Joker, peut etre que cette partie étais importante mais j’espère quil y auras une suite avec plus de son histoire de son coté sombre. Tout le film ou presque est concentré sur les répercussion de son enfance mais on vois pas la partie ou il a la bouche coupée comme dans batman je veux plus de ca il manque beaucoup dhistoire j’espère vraiment que la raison est quil y auras une suite car si cest le cas ca seras vraimeng malade jai tres hate de voir en salle cest certain! Mais sinon je serai dessus et sur ma faim. Pour le film en général a part ca tres bon , tres crue j’ai adoréebravo pour ce film!
Joker ou Hollywood a rit de nous?
Beaucoup trop prévisible, avec des incohérences, des scènes inutiles... Imaginez un film où le personnage devient vilain à cause de problèmes mentaux, du manque de financement dans les services sociaux, de la lutte des classes, mais écrit par des étudiants qui commencent à peine leur secondaire et qui n'ont pas de notions de philosophie assez étoffées pour présenter une vision originale de ce que peut entraîner des injustices et des malchances. La création du personnage mérite mieux que ça.
Joker
Le film était très long. Aucune actions pertinentes appart à la fin, très redondant.. pas recommandé!
Joker crazy
J'ai vu ce film hier soir, c'est un excellant film l'acteur Joaquin Phoenix Arthur Fleck est le meilleur Joker, j'espère qu'il gagnera un prix, la musique extraordinaire toutes les autres acteurs étaient bon. Je le recommande à toutes et tous d'aller voir ce film Bravo!
Bon film
J ai bien aimée ce film parce que ça change avec dcu.
Allez le voir. Il prouve la stupidité avec laquelle sont
Ce film m'a mis dans un état mental que je n'avais jamais ressentie avant. Il a un propos très fort et fait écho a un million d'aspect de notre vie avec peu. Ce qui en dit long sur sont efficacité. Mais attention il y a une romance!! Un film comme ça ne devrais pas nous faire l'affront de croire que l'on a besoin d'une romance pour aimer le film. Le mépris avec lequel le cinéma en général traite le public avec des films vides et sans scénario, reflète la stupidité réelle des spectateurs qui ne vois pas que tout n'est que formatage et mépris. Ce mépris est visible lorsque l'on voie que les 2 seules femmes du film Joker sont limité à être amoureuse comme intrigue principal (du moins comme intrigue secondaire pour la mère). Puis, si en tant que spectateur vous ne voyez pas le manque d'intelligence dans le fait d'engagé pour la XXIème fois un nain qui sera défini que par cela, et de mettre une femme inutile à l'histoire, et un seul noir car faut pas déconner il sont juste obligé d'en mettre un, alors vous réconforté les producteur dans leur délire. Mais ce film est tout de même à des années lumière de ce qui se fait même comparé à des films se voulant sombre et d'auteur. C'est pour ça qu'il faut l'encourager , aller le voir ou acheter une location, et voir ça comme un vote, un vote pour que les chose change et que l'industrie comprennent qu'elle ne peut plus voir la merde comme un synonyme de succès.
Un film marquant
Magnifique film qui nous fait réfléchir sur la maladie mentale et les troubles psychologiques!! Performance hallucinante de monsieur Phoenix!!!
Vision de la noirceur humaine
Pièce d'anthologie. Joaquin Phoenix est simplement au-dessus de la perfection. Trame narrative relevant du génie. J'ai tout simplement adoré, car il provoque la réflexion sur notre société et ses moins beaux côtés.
Sans originalité et rebondissement
Si le titre de ce film ne serait pas Joker, il serait déjà oublié. Mais ce n'est pas le cas alors c'est un chef d'oeuvre. Pas vraiment. C'est long, lent et il n'y a pas vraiment dévolution dans le personnage. Ça ne décolle tout simplement pas. Rien que de l'introspection, pas vraiment de revirements. Bonne performance de l'acteur... Sans plus.
N'importe qui ne peux pas être le Joker
Le principe du Joker c'est qu'il répresente une idée et un chaos qui ne peux pas être représenter par un ''no-body'' donc il y as raison d'avoir ce nom comme film et pour un film sur la dissection du anti-héro de pop-culture, il y as raison d'avoir hype
Talentueux Joaquin
Joaquin envahit ce film, il prend toute la place et il est excellent. On croit à sa folie tourmentée.
Joker
Véritable chef-d'oeuvre de l'univers DC. Joaquin Phoenix n'a rien à envier aux autres «Joker». Une performance plus que poignante de la part de l'acteur, ce n'est pas à remettre en question. J'ai adoré le fait que le film prenne son temps au lieu de se presser. 2H c'était juste assez pour que le film ne devienne pas ennuyant. J'ai également beaucoup apprécié ce film pour toutes les références aux années 1900 qu'on y voit (les textes sur l'écran style années 80, Charlie Chaplin etc.). Et j'ai également adoré les références à l'univers de Batman (je ne «spolierai» rien.) La fin en un mot : renversante. On ne pouvait pas avoir mieux. D'habitude, je n'aime pas vraiment les «bad ending», mais celle-ci était parfaite. Je ne verrais pas une autre fin aller dans ce long-métrage (encore une fois, je ne dévoilerai rien.) On ne reste pas sur sa faim. L'impression de chef-d'oeuvre mélangé au chaos et au rire que donne ce film est juste incroyable. Pour toutes ces raisons, «Joker», cette oeuvre qui nous traîne sans qu'on ne s'en rende vraiment compte dans 2H de délire psychotique et fantastique, obtient un 100% de ma part. Meilleur film de 2019 (jusqu'à maintenant), selon-moi.
pas violent et tres long
si vous penser voir un film violent ou ca brasse non stop passer votre chemin en quasiment 2 heure le metro , l appartement et a la fin a la tele et entre ca un gars prit avec une maladie mentale qui se questionne sur le comment s ent sortir dans la vie quand tout se retourne contre toi et qui plonge dans la folie chef d oeuvre non .
Bonne critique
J'ai compris votre critique mais elle est difficile à lire à cause du manque de ponctuation. Je trouve qu'elle capture bien le film. Merci.
Ce ne sont pas des argument ni un point de vu clair.
Sont évolution ne cesse jamais et elle est pleine de sens et de force. Et plus de violence n'aurais pas marché car c'est illogique de devoir se battre contre tout le monde juste comme ça. Et ce n'est pas le propos du film. Je l'ai trouvé même trop accéléré,, ont dirais qu'il manque des scènes. Il est aussi trop ostentatoire ( par exemple quand il laisse tomber une larme au début du film alors que l'on vois clairement grâce à ces yeux qu'il est triste , j'ai trouvé ça bauf).
joker
Le Thriller le plus puissant que j’aie visionné depuis Shining! L’horreur, La véritable, intérieure, la nôtre : la face caché de notre lune. Avec une seule scène gore, le film se présente tel un thriller poétique, un magnifique ballet d’horreur dans lequel Joaquin Phoenix fait office de Nureyev. Futé Todd Philips : en présentant Joker comme un malade atteint de rire pathologique, il en fait une victime revancharde crédible. Constamment suivi, épié par la musique d’un violoncelle seul, instrument dont la profondeur impose le silence, Phoenix se désarticule lentement du dedans comme du dehors, pour se transformer en un pantin dont la grâce nous tétanise. La face cachée de ce chef d’œuvre de l’horreur : le regard envoûtant de Phoenix pourrait faire des petits. Comme Alex dans l’Orange Mécanique, Joker risque de se cloner dans la vraie vie. La vraie vie, elle est littéraire, fictive : la preuve, l’Halloween se fête plus que Noël.
Digne de L’univers DC
Le film porte la trame sombre et violente que l’on retrouve dans les véritables B.D des DC comics. Joaquin Phoenix apporte une sensibilité humaine à un personnage malsain et malheureux.La maladie mentale est une chose de complexe.Elle est à la fois compris et si mystérieuse.Le joker dans cette version cinématographique représente de façon. juste la schizophrénie ainsi que le délire propre à lui même.Hormis le personnage très bien réussi du « Joker » , le contexte socio-culturel apporte son côté perplexe et parallèle à l’histoire.Un chef d’œuvre. Je conseil fortement à tout les fan du Joker et de film qui on une évolution en ante -noir.
Joker
Excellent
Tragique descente aux enfers
Une réalisation impeccable ,une performance inoubliable et sensible digne d`un oscar pour Joaquin Phoenix ,une trame musicale envoutante et omniprésente tout au long du film avec un scénario qui sait déranger et questionner sur la souffrance que certaines personnes vivent dans la société dans laquelle nous vivons. Bref,un très GRAND FILM de l`année 2019.
Un film troublant....
Ce film très sombre, ou Joaquin Phoenix est vraiment phénoménal m’a beaucoup fait réfléchir sur notre société qui peut être très grise-noire pour ces gens qui réquisitionnent des soins dû au passé, dire à l’enfance. Joker (Joaquin Phoenix) nous fait réaliser à quel point la misère psychique peut dévaster une vie, on comprend très bien cette énorme frustration généré pas des gens méchants et opportunistes, des gens pour lesquels une confiance aveugle est de mise, et qu’il leurs fassent payer de façon violente.......malheureusement c’est une réalité, les personnes dans le besoin se retrouvent laisser à eux mêmes, alors on peut se compter chanceux que tout cela n’arrive pas plus souvent.
Une performance endiablé
Le film: 6/10 La performance de Phoenix: 12/10
C'est un film moyen qui devient excellent grâce à une performance hallucinante et à une musique extraordinaire qui transporte bien le film. Démontre assez bien comment le Joker à pu devenir aussi cinglé. On pourrait presque dire un prologue au Joker de Heath Ledger.
Je vous le recommande sans hésiter!
Excellent résumé
Tu as réussi en peu de mots à résumer l'impression que j'ai ressenti à la sortie de ce film troublant. Si ce n'était pas du fait que ce soit situé dans l'univers de DC, je n'aurais jamais été voir ce film qui est vraiment plus un drame psychologique qu'un film tiré de comics books. Phoenix vole littéralement le show et m'a redonné le goût de visionner the Dark Knight de Nolan. Et effectivement, ça ressemble étrangement à un prologue au Joker de Ledger, dans lequel il déchaîne toute la folie et la rage accumulée lors de sa descente aux enfers. Joker est un vrai film d'auteur mais n'est pas un divertissement, loin de là.
L'antre de la folie
Plongeon vertigineux dans les mécanismes de la folie et de la perte de contrôle, ce film defie les lois du genre et c'est tant mieux. Contrairement à ses prédécesseurs, le Joker de Joaquin Phœnix ne cabotine pas, il souffre et c'est cette approche réaliste qui le rend plus grand que nature.
Excellent!
La performance de Joaquin Phoenix est incroyable, d’un homme banal à un personnage déséquilibré dont le rire aliéné nous rend perplexes. Le portrait psychologique ici bien développé derrière le Joker est le cœur du film. Nous suivons la progression du personnage dans la folie. Des scènes à la fois dramatiques, bizarres et ludiques. Il y a un excellent clin d’œil à l’histoire de Batman, donnant du sens à la tension entre ces deux personnages. Excellent!
WoW!
Un bon film qui nous fait passer plein d'émotions en même. J'ai adoré 😘
Percutant
La descente dans la folie d'un homme ordinaire.
Simple man
Un homme ordinaire peu être pas non plus..
Joker
Très bon film, nous découvrons ce qui s'est passé au tout début du premier film de Batman. Très bon acteur ce Joker.
Analyse du Joker
N'aller par voir ce film en pensant voir une comédie.C'est une tragédie, une magnifiquement filmé et puissante tragédie, et ça fait du bien de voir cela dans l'univers du Dark Knight
Une belle leçon de cinéma
Joker est un film inclassable, une oeuvre rare et ô combien lourde de sens. Bizarrement, il fallait un personnage extrêmement dérangé (et la sublime prestation de l’acteur) pour nous jeter les grands défauts de notre société en pleine face. Seul le Joker dans sa démence semble voire la réalité telle qu’elle est pour oser l’affronter, la provoquer et se l’approprier en répondant violemment a l’hypocrisie et à l’absurde. Beaucoup de thèmes dérangeants sont abordés tels la désinstitutionalisation et la démédicamentation des personnes souffrant de troubles mentaux abandonnées par la société. Depuis Vol au dessus d’un nid de coucou, les choses n’ont pas changé. La puanteur de Gotham City crée l’ambiance poisseuse parfaite à cette fresque sociale dans laquelle la pourriture humaine salit une ville rendue putride par les comportements inciviques des uns et des autres. Difficile de rester insensible a cette perpétuelle lutte des classes, à l’individualisme extrême des « honnêtes » gens et surtout à cette froide descente aux enfers qui finit par fabriquer le diable en personne. Car le Joker est le fruit de notre atavisme social, la résultante d’un manque général de lucidité et le reflet de l’absurdité au quotidien. Cet anti-héro moderne est et restera, comme on l’a vu dans The Dark Knight, l’alter ego d’un Batman voué à l'échec dans sa quête de justice. Joker se base sur des faits qui caractérise la nature humaine tandis que Batman s’accroche à une fois aveugle pour ne pas sombrer dans la folie et pour nier une partie de la réalité. Il n’y a pas de juste milieu, seulement des extrêmes en perpétuel opposition. Dans The Dark Knight, Double face renforce cette guerre des extrêmes en les fusionnant dans la même personne. C’est l’authenticité du Joker qui lui donne sa force et qui en fait un personnage avec une profondeur si dérangeante. Joker est proche du peuple, un peuple qui crée un monstre au lieu de saisir l’opportunité de s’émanciper. Joker est le catalyseur qui malmène le déni et qui réveille une soif populaire de justice! Plutôt paradoxal comme concept mais claire comme de l’eau de roche: la quête de justice d’un super riche comme Bruce Wayne est dans un sens indécente. L’absence de déni du Joker contribue a en faire un des personnage les plus complexe jamais créé. Et voici comment tout ceci prend naissance, à travers ses origines..
Joker
5 étoiles c’est injuste. Ça prendrait une échelle de 10 étoiles. Ce film m’a profondément dérangé et croyez moi, des films j’en regarde une énorme quantité chaque année. Le jeu de Joachim est phénoménal, appuyé d’un scénario incroyable et d’une production fantastique. C’est une recette parfaite pour plusieurs prix cinématographiques. Rien de moins. Le cheminement du personnage dans sa maladie mentale est génial. Je n’avais aucune attente en entrant dans la salle et j’en suis sortie ravi. Rien à voir avec les productions des super-héros ou le contenant prime et le contenu est secondaire. Ici, on ne voit pas un film, on vit un film, à condition d’aimer les drames. De grâce, n’apportez pas vos enfants voir ce film...
Un pur chef d'oeuvre
D'une intelligence et d'une violence peu commune , Joaquin Phoenix mérite l'Oscar du meilleur acteur, ce film est un tournant dans le cinéma contemporain, après Taxi Driver, c'est un top.
Noir c'est noir!
Ce film fera date c’est sûr et certain pour de nombreuses raisons et la principale étant qu’on n’a jamais vu de long-métrage adapté de comics de cette qualité. C’est noir, c’est sombre, c’est désespéré, c’est nihiliste, c’est effrayant et cette œuvre parvient à réaliser un état de lieux de notre monde et donc de l’humain impressionnant et tout à fait réaliste. Même la trilogie de Nolan sur Batman passerait presque pour du Disney à côté de ce magistral « Joker ». De toute manière, bien que ce personnage et son essence soient issus des films des comics et par ricochet des films de super-héros et super-vilains, on n’est pas du tout dans la veine de ce type de productions, souvent des blockbusters, mais bien dans un drame psychologique qui sonde la folie humaine dans ses pires abysses. Et en prenant comme personnage cette icône de méchant qu’est le Joker, Todd Phillips a eu tout bon. Lui qui vient de la comédie potache et n’a réalisé que des films à tendance comique ou légers mais néanmoins souvent réussis (la trilogie « Very Bad Trip » ou « War Dogs ») effectue un énorme virage avec ce projet. Mais pas dénué de logique puisque l’humour et le rire sont au centre du film d’une certaine manière. Ces notions s’avèrent une composante intrinsèque du personnage d’Arthur Fleck alias le Joker dans sa progression psychique et l’homme qu’il aurait voulu être tout comme celui qu’il va devenir.
Il n’y a pas à lésiner : cette œuvre, qui coupe avec tout un pan de la culture cinématographique actuelle et ses univers partagés, est excellente et maîtrisée de bout en bout. Tout juste lui reprochera-t-on peut-être un petit quart d’heure de trop et des seconds rôles qui semblent fades en comparaison de l’incarnation littéralement monstrueuse de Joaquin Phoenix dans le rôle-titre. Il est de tous les plans et sa composition du super-vilain est totalement effarante de perfection. On ressent autant d’empathie que d’effroi devant cet homme et les mimiques qu’il a créées pour le personnage, sa démarche, son corps décharné et surtout ce rire totalement hallucinant et terrifiant feront date dans l’histoire du cinéma. Pourtant, après les compositions dans ce même rôle de Jack Nicholson, bonne mais plus théâtrale, et surtout celle mémorable d’Heath Ledger (à ne finalement pas comparer avec celle de Phoenix puisque dans une vision bien plus abstraite et nihiliste du mal absolu), il semblait difficile de passer après et de proposer quelque chose de nouveau (on oubliera le Joker rococo et sacrifié de Jared Leto dans le tristement décevant « Suicide Squad »). Mais l’acteur a trouvé ici le rôle d’une vie dans une carrière déjà bien remplie et il va prendre l’Oscar en février prochain en survolant la concurrence annuelle de loin (sauf surprise d’ici la fin de l’année). C’est le genre de composition extrême, qui ne souffre d’aucune critique et qui reste ancrée dans les mémoires cinéphiles. La folie avait rarement été montrée de manière aussi subtile et évidente au cinéma.
Mais ce n’est pas tout. Deux autres choses font voler ce « Joker » très haut. D’abord la mise en scène de Phillips avec cette photographie jaunâtre et cette patine vintage qui donnent un aspect sépia au film collant parfaitement au personnage. Mais davantage, c’est la manière dont Gotham City est représentée. Tout comme le personnage du Joker, elle est transfigurée. Loin de l’aspect gothique et baroque de l’excellente série éponyme ou des films de Burton, Phillips la rend gigantesque et dépressive. Aspirant ses habitants d’un appétit vorace dans son gouffre putride. Une ville gangrénée par la violence, en pleine déchéance, en phase terminale comme rongée par le cancer du mal. De l’immeuble où vit Arthur Fleck en passant par un Arkham plus réaliste mais effrayant ou à des rames de trains insalubres, on nous donne à voir une mégalopole monstrueuse dont l’horreur visuelle transpire à travers l’écran. Puis il y a ce sous-texte social fort qui montre, en parallèle avec notre monde contemporain, le fossé de plus en plus criant entre riches et pauvres et la révolte qui gronde. Ce côté un peu pamphlet anti capitaliste et belliqueux atteint son paroxysme dans le dernier tiers du long-métrage, glaçant et magistral, dans sa violence sèche comme dans ce qu’il sous-tend. « Joker » est un film fort et marquant qui parvient à établir un pont entre une icône de comics et notre époque de manière intelligente. Chapeau ! On en serait presque à rêver que chaque vilain que compte l’univers de Batman ait un film dédié de ce calibre.
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JOKER
Bravo, excellente critique
JOKER
Un très grand acteur! Phoenix est éblouissant. Dans un autre registre évidemment, Je le mets sur le même palier que Jack Nicholson, et je ne croyais jamais dire ça un jour. Au niveau de l'incarnation de la maladie mentale, je crois qu'il le surpasse. À un moment donné il y a un gros plan sur son visage où l'on voit littéralement la folie s'insinuer en lui - la scène où son patron lui dit que les frais de la pancarte qu'on lui a fracassée au visage lui seront enlevés sur sa paie-. (Je ne divulgache rien, la scène de la pancarte est dans la bande annonce). Cependant j’ai éprouvé de grandes craintes en sortant de cette projection où les jeunes spectateurs ont applaudis à la fin: le message du Joker pourrait se répandre chez les désillusionnés, les abusés, les laissés-pour-contre. Des millions de personnes verront ce film qui se termine dans une violence bien États-Usienne. Il se trouvera sans doute quelque magané de la vie qui pourrait basculer dans la folie et la violence tel le Joker: Le monde est affreux, je le serai davantage. La ligne est parfois mince... Dans cet ordre d’idée Joker m’a aussi rappelé le film de Coppola « Apocalypse now». On y voit, à la toute fin, l’apparition inoubliable du général proscrit, incarné par Marlon Brando, racontant à son prisonnier ( Martin Sheen) comment les visions d’horreur de la guerre qu’il menait l’avait transformé en monstre. Mais c’était dans une guerre au bout du monde. D’après moi le message était moins susceptible d’influencer que le contexte dans lequel on a scénarisé Joker. ??. Autre réalisation qui nous vient en tête au visionnement du Joker: « Orange mécanique » de laquelle son auteur Stanley Kubrick disait qu’elle préfigurait le monde futur. Ouiais...rien de bien emballant, surtout quand déclamé par un génie visionnaire. Faites de beaux rêves...et comme la maman du Joker lui disait tout le temps: « Put a smile on your face» ( c’est bon pour la santé :-) sauf s’il s’agit du sourire triste d’un être profondément troublé...
Tuche