Joker

Éclatant de cynisme et d'une brutalité élégante, névrosé et lucide, d'une rare beauté dérangeante, ce Joker est un grand film, ne vous y trompez pas. Et non, Joker n'est pas un film pour enfants... ni même pour ados.

Le constat de Phillips n'est pas nouveau, mais son film est par certains aspects si ancré dans notre époque qu'il en devient terrifiant.

S'il y a un film qui peut faire trembler les riches et les puissants actuels, c'est bien celui-là...

Marvel peut aller se rhabiller. La meilleure production de superhéros des dernières années s'appelle Joker.

Avec un corps déconstruit, pratiquement décharné, qui peut aussi bouger et danser avec une espèce de grâce singulière (il le fait souvent), l'acteur plonge tête baissée dans ce personnage cassé. Et ça glace le sang.

Habité et inspiré comme jamais, Joaquin Phoenix réinvente de manière extraordinaire la figure iconique du ricaneur sociopathe, auquel il fait exécuter, avec son corps amaigri, de poignantes danses macabres.

The storyline in and of itself is not a total miss.

Arthur/Joker might be repulsive, but in a topsy-turvy universe, repulsive is attractive.

Joaquin Phoenix is astonishing as a mentally ill geek who becomes the killer-clown Joker in Todd Phillips' neo-'Taxi Driver' knockout: the rare comic-book movie that expresses what's happening in the real world.

The actor puts a horrifically human face on an iconic comic-book villain in the year's most controversial movie.

Certainly, JOKER is the film to see this fall, and one that will no doubt become the water cooler event of the year, and the one everyone will have an opinion on.

It's most certainly the darkest take on a popular comic book villain we've seen to date (...).

You'll definitely feel like you'll need a shower after seeing it, but once you've dried off and changed clothes, you'll want to do nothing else but parse and dissect it.