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Bon film :-)
Meilleur que ce que les critiques/commentaires divers m'avaient laissé penser ! Jobs m'a agréablement étonné. Je comprends que certains vont le trouver "long" mais il faut s'intéresser au sujet aussi ! Si on est intéressé alors les 2h10 passent comme 5mn (c'est ce qui m'est arrivé).
- Le film ne parle pas d'Apple après 1996 : en effet. Et alors ? C'est une autre histoire. Le film focus sur une période difficile de la compagnie : 60's - 1996. C'est un choix du réalisateur, c'est la période à mon avis la plus passionnante aussi !
- Steve Wozniak apparait inégal à lui-même : tout à fait ! Ce génie de l'informatique est le Leonard de Vinci de notre 20ème siècle mais trop méconnu du "grand public". Il faut dire qu'il n'aime pas se mettre en avant aussi. Sans lui le monde d'aujourd'hui ne serait pas de qu'il est. En tout cas le film le dépeint comme un petit gros qui bouffe des burritos à longueur de journée et qui n'a aucune idée de quoi peut servir ce qu'il réalise. Déjà, The Woz durant les 60's/70's/80's n'avait rien d'un petit gros (bien au contraire !) et ensuite il était toujours bien conscient du potentiel de ce qu'il réalisait... était juste réticent à le commercialiser lui-même et préférait le faire via le biais de HP (son employeur de l'époque).
- Les femmes du film sont représentées comme des potiches inutiles : complètement ! Et alors ? Vu que ce n'est pas un film qui se veut sur les femmes ou sur les rapports inter-sexes on peut dire que ca ne dérange pas plus que ça (ca se voit que je suis pas une femme !!!) du fait de la non-pertinence de la chose dans ce film.
- Bill Gates ? : le film n'en parle absolument pas ! Enfin... non, Steve lui téléphone à un moment. Est-ce une erreur de ne pas en parler ? Je pense que oui. Mais d'un autre coté je crois que le réalisateur à voulu éviter de tomber dans les clichés de la gueguerre apple-microsoft. Un choix intelligent de passer sous quasi-silence cela car tout le monde connais déjà ce sujet (oui voyons, que ne sait pas que Microsoft à copié tout de Windows sur Mac OS ?) et que il fallait pouvoir faire tenir le film dans 2 heures !
- Quid de NeXT, Pixar, Disney, Gap, etc... ? Aucune mention (ou si peu) des "autres" réussites de Steve Jobs. Oui bon... il fallait faire tenir l'histoire dans 2 heures aussi ! Le réalisateur s'est forcé à rester autour de Apple, ca se voit par moments (déviations vers NeXT...) mais il ne va pas sans dire que les autres réussites de Steve Jobs ont apporté aussi beaucoup à Apple (Mac OS X, Apple Stores, etc....) cependant ces apports se sont vu surtout après l'an 2000. Donc période non abordé par le film... donc ne perdons pas de temps (et le spectateur avec) en parlant d'autres histoires annexes relatives à d'autres compagnies.
- Réalisme des événements : oui et non. Oui parce que tout se tient chronologiquement, les années 70 sont super bien refaites, etc...... Non parce que beaucoup de choses sont "romancées" (dans le sens "simplifiées pour le cinéma"). Normal aussi, on doit s'adresser aussi bien à un public connaissant du sujet que inculte.
C'est bien là le problème de ce film : vouloir s'adresser à tout le monde fait qu'on donne aux fans du sujet les outils pour dire "c'est trop simple, il y'a tant de manques" et aux ignorants les outils pour dire "c'est trop compliqué je n'ai pas suivi". N'oublions pas que c'est un film. De par le fait il doit se conformer à des contraintes (durée, complexité, etc...) qu'un livre n'aurait pas. Du coup, oui je recommande de lire "Steve Jobs" la biographie. Mais je recommande aussi l'excellent "Pirates of the silicon valley" (film des années 90) qui parle de l'histoire de Apple et qui est LA référence en la matière. Je le vois comme un excellent complément de "Jobs" (ou Jobs un complément du premier, à vous de décider de l'ordre).
Bon... j'ai mal aux doigts, je vais arrêter là.
JOBS
Super bon film...mais incomplet...La démarche singe-a-ressort était inutilement exagérée.
Légerement déçue
Je peux dire que ce film est une histoire intéressante, mais par contre un moment donné dans le film on est perdu.........après son congédiement de la cie.......il apparaît avec une femme et deux enfants........mais d'ou viennent-ils? Je peux dire que j'ai été un peu déçue....
Honteux
Lorsqu'on met la vie de quelqun a l'ecran, on la met au complet. Il manque pas moins de 10 ans ( les plus glorieuses) de vie dans ce film. On se concentre sur les annees 80 a 94 mais on oublie des details extremement importants de sa vie au cours de ces annees. On oublie completement Pixar, on oublie tout le travail fait chez Next.
De plus, je suis d'accord que Jobs avait une drole de démarche, mais de grace il n'avait pas l'air d'un singe avec des ressorts a la place des genoux
A mon avis, cest un navet, allez lire le livre!
Un bon téléfilm
Malgré ses allures de téléfilm, JOBS s'avère efficace surtout en deuxième partie. Les créateurs ont mis l'accent sur l'ascension du personnage plutôt que dresser le portrait d'un concepteur visionnaire. Une grande partie du film se concentre donc sur les magouilles entre «business men»,cette guéguerre pour savoir qui dirigera la compagnie. Le personnage de Steve Jobs se dessine davantage dans la deuxième partie du film. Quoi que bien fait, on regrette qu'un vrai réalisateur ne soit pas aux commandes de cette production un peu trop conventionnelle.
Critique du film « Jobs » avec Ashton Kutcher, par Joshua Michael Stern.
Ce film est un message biographique du fondateur d’Apple Computer. Steve Jobs est un génie par lui-même. Il a fondé une super entreprise. Il avait des idées de grandeur. Il ne pouvait pas rester dans un cadre où les politiques de travail sont rigides. Il veut sortir de ce cadre de travail et créer de nouveaux produits, de nouveaux concepts.
Avec son sale caractère, il ne pouvait pas garder l’équipe dans le droit chemin. C’est ça qui ne fonctionnait pas. Il était trop perfectionniste et il devenait bien trop exigeant pour ses employés. Il va au fond des choses et développe la compagnie sans cesse. Être numéro un, c’est la seule chose qui l’importe. On note ici le rêve américain et le sens de l’entrepreneurship par excellence.
Un grand visionnaire
Comme je ne connaissais rien de cet homme, je me suis laissée portée par le film sans aucune attente. Et j'avoue que cela a passé vite. Donc, film très bien fait, qui nous fait voir le monde informatique depuis les années 75. Mais le film arrête brusquement sans que l'histoire ne soit terminée, quel dommage. Je ne sais pas pourquoi il manque les 14 dernières années de la vie de Jobs...C'est une vraie page histoire qui nous est racontée...Merci aux films Séville pour les billets.
bon film
J'ai bien aimé ce film. Jobs est présenté dans toute sa complexité. À la fois grand visionnaire et motivateur, il était aussi rigide dans ces idées et dure dans ses relations. il démontrait peu d'empathie et de loyauté. Son entêtement, sa rigidité est ce qui le rendait fort mais aussi ce qui l'a mené à être son pire ennemi. J'ai bien ce portrait réaliste que peut être l'humain. J'ai trouvé que le film s'arrêtait abruptement. j'aurais aimé voir la suite jusqu'à sa mort.
excellente biographie
que vous soyez un fan de Apple ou de IBM, vous adorerez ce film.....Steve Jobs était un visionnaire hors pair....en avant de son temps. Vous embarquerez dès le début et vous resterez accrocher jusqu'à la fin.....
Quelle beau retour!!!
Excellente performance d'Ashton Kusher dans le rôle de Jobs. Une excellente biographie sur ce génie qui auras sur change l'ère de l'informatique. Bon film et quel magie de l'ère des ordinaures :)
Absolument imprégnant!
Interprétation fabuleuse de Ashton Kusher! Excellent soutien des acteurs de second plan; histoire bien rendue qui imprègne de son authenticité! Bravo pour cette belle réussite!
Jobs fait la job...
Surtout Ashton Kusher, qui est très crédible en Steve Jobs. Pour le reste, le film aurait dû s’appeler Apple, plutôt que Jobs, car on y raconte plus l’histoire de la compagnie que la vie personnelle de Jobs... Et le film s’achève avec son retour. Le iMac et le iPod n’y sont qu’évoqués. En résumé? Un évangile pour les nouvellement convertis qui ne pourraient vivre sans Apple aujourd’hui, mais qui, il y a 15 ans arboraient un rictus ironique lorsqu’ils rencontraient un aficionado.