Je suis Femen
En compagnie d'Anna, d'Inna et de Sasha, Oxana a fondé le mouvement Femen en Ukraine. Ce regroupement féministe et révolutionnaire s'attaque au machisme et à la corruption qui gangrène le système à l'aide de manifestations où les activistes se dénudent les seins. En plus de revenir sur ses activités radicales et provocatrices, la jeune femme parle des risques de ses actions, où des amendes et des séjours en prison ne sont pas rares. Prises en grippe par la police et le gouvernement, Oxana et ses associées tentent de continuer la lutte malgré des peines de plus en plus sévères et violentes.
Réalisation
Scénarisation
distributeur
- EyeSteelFilm Distribution
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Revues de presse
Médiafilm
Cependant, à trop vouloir dépeindre ses militantes en termes élogieux, le cinéaste oublie d'aborder les nombreuses critiques dont le mouvement Femen est la cible, laissant ainsi le spectateur sur sa faim.
Lire la critique complèteSéquences
À partir d'un reportage pour la télévision suisse, Alain Margot a suivi, de manière épisodique pendant trois ans et demi, surtout Oksana Shachko, l'artiste qui était responsable de l'aspect visuel des manifestations.
Lire la critique complèteLa Presse
Alain Margot a suivi les leaders du groupe pendant plus de trois ans, filmant leurs espoirs et leurs désillusions, mais leurs contradictions aussi. On sent le documentariste sympathique à la cause de ces jeunes femmes, mais il évite la complaisance en les montrant telle qu'elles sont dans leur intimité, dans leur fragilité.
Lire la critique complèteAgence QMI
Si Alain Margot parvient à nous donner une idée relativement claire des raisons de la création du mouvement, plusieurs questions demeurent après le visionnement, notamment celle de l'objectif à long terme des FEMEN.
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