Intéressant
Film qui mérite d'être vue. Les comédiens sont corrects.
Un très grand film
Un film où s'entremêle politique, vengeance, passion et humour, une distribution incroyable! Le noir et blanc fait en sorte que ça fesse encore plus, j'ai tout simplement adoré. Némésis est tout simplement géniale. Courrez le voir, le louer, parlez-en, c'est chez nous bordel et c'est bon!
Film bâclé
J'ai détesté ce film. On a beau se référer au temps de Duplessis, trop de méchanceté dans ce film. Scénario décousu. Trop d'éléments disparates. L'Irlandais est de trop. Scènes grotesques. Jeu des acteurs forcé. Par-dessus tout, le montage est mal fait. Ne pas perdre son temps à aller voir ce film.
Citizen Forcier
Je donne un 9 pour l'interprétation des comédiens, pour la mise en image de Jobin et la direction artistique de Gilles Aird (et les CCM). Et cette musique en boîte, magnifique, judicieusement exploitée ici et là. Pour ce qui est du scénario : j'en ai plein le dos de vos histoires de famille! Est-ce que tous les cinéastes québécois se doivent de faire un film sur leur famille? Un zoo la nuit, Léolo, C.R.A.Z.Y., Familia, Histoire de famille, Gaz bar blues, Boderline, C'est pas moi je le jure!, Maman est chez le coiffeur et autres... Avec Citizen Forcier, il faut s'attendre à soit une scène, soit tout le film, à des personnages crasseux! Qui a eu l'idée de faire une pipe au chauffeur de taxi? Forcier ou Bonnier? Sans commentaire! Pourtant, être fortuné, j'investirais sur ce film! Mais pas dans sa diffusion au Québec (sujet trop près de nous et mal compris) mais j'investirais abondamment pour le marché européen! Une prime à l'exportation! Là, le film devient Citizen Eisenstein Forcier.
Un beau navet!
J'adore les films québécois mais cette fois, je fus vraiment déçue. Le sujet était pourtant bon : les syndicats, les enfants, Dupessis, etc., il n'y a pas de fil conducteur. Pourtant, les comédiens sont connus. Je n'ai pas ri une seule fois. Ne vous déplacez pas pour ce film d'un ennui mortel... Je mettrais 5/10.
Vibrant!
Quel univers! Le noir et blanc donne le ton, et les acteurs nous emportent dans une époque dont on oublie souvent trop facilement l'importance. Oui, je me souviendrai de ce film!
Poésie, lyrisme, comédie ... le tout donne un très bon film!
J'ai beaucoup apprécié ce retour en forme de notre inimitable et déjanté faiseur de rêves. Un très bon film que je recommande... à ceux qui n'ont pas peur de l'imaginaire décalé d'André Forcier.
Je n'ai pas accroché
Qu'est ce qui fait le succès d'un film? Difficile à dire. Ici il y a ici une brochette d'acteurs impressionnante. Mais ce sont des acteurs qu'on voit souvent. Le noir et blanc n'est pas justifié. Dans Polytechnique, il fallait cacher la couleur du sang, sinon on tombait dans le film d'horreur. Dans Je me souviens, la couleur aurait aidé et permis de rêver un peu à cette histoire délirante. Juste la scène d'ouverture aurait été magnifique en couleur avec l'eau, la forêt, la barque et le père la mère et l'enfant. Un film doit faire rêver au moins sur quelques scènes. Le jeu des comédiens est trop exagéré. Ils en mettent trop. Ça devient un ton de pièce de théâtre un peu hautain qui exprime mal l'Abitibi. L'humour n'est pas très présent, il s'agit plutôt d'un drame. N'y allez pas si vous chercher à rire, il y a d'autres films pour ça (Le bonheur de Pierre, par exemple). La musique classique est froide et sans âme. Il y a beaucoup de revirements de changements de tons. Le rôle d'Irlandais de Roy Dupuis (Liam) est froid et joué de façon rigide. Céline Bonnier est plus présente dans le film et sa performance est ce qu'il y a de meilleur dans le film. Mais je ne sais pas pourquoi je n'ai pas accroché. Comme si je n'arrivais pas à oublier que je suis dans une salle de cinéma. Et a m'évader dans le film comme ça arrive la plupart du temps. Dommage.
Le pire navet québécois depuis belle lurette!
Une salade indigeste de clichés éculés sur le syndicalisme, le capitalisme, la symbiose église-état, le tout assaisonné d'une ritournelle sur l'émancipation nationale et le culte de la langue maternelle. Bref, un salmigondis sans queue ni tête (auquel j'aurais pu m'attendre après avoir vu et entendu Forcier à Tout le monde en parle hier soir). Ce film n'est ni drôle, ni réaliste, ni pamphlétaire. On se demande bien pourquoi avoir dépensé plus d'un million pour produire un pareil navet.
Très bon film
Mon conjoint et moi avons bien aimé ce film, bonne histoire.
Retour aux sources?
Un de ses chefs-d'oeuvre, « Bar Salon », n'était-il pas aussi tourné en noir et blanc? « Je me souviens » est un film très réussi, qui plaira à un autre public, qui peut être déconcerté par le côté surréaliste des deux précédents longs métrages de M. Forcier. On y retrouve un regard intéressant a propos du Québec duplessiste-clérical de ces noires années, et de l'Abitibi. Un agréable film à voir. Forcier persiste et signe, pour mon grand bonheur...
Particulier
Je dois d'abord dire que le film est tourné en noir et blanc. Vous êtes prévenus, moi je ne l'étais pas... C'est une comédie dramatique et il contient quelques perles qui m'ont vraiment fait rire... Pour le reste, une histoire à la Forcier, soit un enchevêtrement de destins de différents personnages. Le film nous donne une bonne leçon historique de l'influence de la politique et de la religion sur notre identité québécoise. On y retrouve également une allégorie sur l'importance de garder sa langue via un personnage de l'Irlande. Pour le reste... je suis restée sur ma faim. On aurait dit qu'il y avait beaucoup de superficiel. De plus, je vais vous avouer que mon oeil accroche sur des détails, or, dès la première scène du film, les personnages sont en canoë mais le décor ne bouge pas, les arbres sont stagnants malgré que le monsieur pagaie à qui mieux-mieux... Désolée, mais je décroche avant même d'embarquer. De plus, Roy Dupuis (personnage irlandais) parle français sans presque aucun accent... peu crédible à mon humble avis.
Courrez-y vite!
J'adore quand Forcier nous raconte une histoire! Forcier, tu es comme du bon vin... Une petite histoire truculente, parsemée tout au long d'humour. En arrière-plan, la société québécoise au temps de Duplessis... C'est avec des oeuvres comme celle-là qu'on se souvient de qui nous sommes et par où nos parents et grand-parents sont passés afin que nous soyons ce que nous sommes devenus aujourd'hui... À voir et à savourer. Toute la distribution est brillante! Mention spéciale pour le jeu des merveilleux enfants qu'on y retrouve! Ne boudons donc pas nos meilleurs réalisateurs! Malgré une filmographie impressionnante, André Forcier fait étonnamment partie des réalisateurs qui peinent énormément avant de recevoir un financement ridicule, quand ils en reçoivent un! Courrez voir ce film, vous ne le regretterez pas! Moi, j'ai ri tout au long!