J. Edgar
v.o.a. : J. Edgar
v.o.a.s.-t.f. : J. Edgar
Pendant quarante-huit ans, John Edgar Hoover a lutté contre le crime aux États-Unis. Il a été le premier directeur du Federal Bureau of Investigation (FBI) et est reconnu comme le créateur d'une agence organisée et efficace. Dès ses débuts à la tête de l'organisation fédérale, il engagea Helen Gandy comme sa secrétaire personnelle. Détenant des informations confidentielles sur de nombreux dirigeants du pays, Hoover savait utiliser ces éléments de preuve à son avantage. Plusieurs l'admiraient, de nombreux le craignaient. Il entretenait une relation privilégiée avec son directeur adjoint, Clyde Tolson, que les gens soupçonnaient être son amant.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Imagine Entertainment
- Malpaso Productions
- Wintergreen Productions
distributeur
- Warner Bros. Canada
Revues de presse
Médiafilm
Le récit elliptique audacieux, qui va et vient dans le temps, est domestiqué par une mise en scène classique et feutrée, comme si Eastwood avait voulu imprimer dans la forme de son film le duel intérieur constant, entre nature et fonction, de Hoover.
Martin Bilodeau Lire la critique complèteJoblo.com
The acting is mostly superb, and the storytelling is elegant, if somewhat deliberate. For a history buff like me, it was 140 minutes well spent. Hopefully others will feel the same.
Chris Bumbray Lire la critique complèteCinema Blend
J. Edgar is ultimately undone by a whole lot of bad decisions, from Dustin Lance Black's needlessly time-jumping script to Clint Eastwood's typical no-frills direction, but two very good actors dig into their characters and ground it for a surprisingly long time.
Katey Rich Lire la critique complèteThe Hollywood Reporter
A surprising collaboration that tackles its trickiest challenges with plausibility and good sense, while serving up a simmeringly caustic view of its controversial subject's behavior, public and private.
Todd McCarthy Lire la critique complèteUSA Today
Black, who won an Oscar for his screenplay of Milk, has crafted a complex portrayal of Hoover and Tolson, framed within the context of a love story.
Claudia Puig Lire la critique complèteRolling Stone
And DiCaprio and Hammer do wonders with mere suggestion, that is, when melodrama and old-age makeup allow for nuance. Even when the film trips on its tall ambitions, you can't shake it off.
Peter Travers Lire la critique complèteThe New York Times
Anchored by a forceful, vulnerable Leonardo DiCaprio, who lays bare J. Edgar Hoover's humanity, despite the odds and an impasto of old-coot movie makeup, this latest jolt from Mr. Eastwood is a look back at a man divided and of the ties that bind private bodies with public politics and policies.
Manohla Dargis Lire la critique complèteThe Gazette
Apart from the makeup - we'll get to that later - the film's big problem is continuity, or lack of same.
Bill Brownstein Lire la critique complèteLe Soleil
Eastwood montre un personnage torturé, intransigeant, bourreau de travail, dépourvu de tout charisme, qui aimait bien s'approprier les bons coups de son personnel pour sa gloriole personnelle.
Normand Provencher Lire la critique complèteLa Presse
La matière est très riche. Clint Eastwood en tire un film intéressant. Mais on attendait davantage qu'un drame biographique bien appliqué et exsangue, duquel n'émane guère d'émotion.
Marc-André Lussier Lire la critique complèteLecinema.ca
Réalisé classiquement avec style et soin (les liaisons entre les époques sont très fluides), croulant parfois sur une musique pompeuse et une narration beaucoup trop explicative, J. Edgar ne peut demander à sa superbe tête d'affiche de sauver ses choix scénaristiques parfois défaillants et son manque flagrant d'audace.
Martin Gignac Lire la critique complèteAgence QMI
Clint Eastwood maîtrise parfaitement l'art de la caméra, ses cadrages sont impeccables. Leonardo DiCaprio, Naomi Watts, Judi Dench et Armie Hammer forment un quatuor parfait.
Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complètePanorama-Cinéma
Eastwood, de sa poigne tranquille, en a fait le paradoxe ambulant de l'Amérique, celui qui effraya les présidents, celui dont la mort subite enterra les véritables origines et les premiers secrets du FBI. Et c'est précisément en perdant la trace des origines que ce nuage feutré, cette fumée qu'expire Eastwood en inspirant la normalité, trouble la vue et fait d'un homme une légende de notre temps.
Mathieu Li-Goyette Lire la critique complète