Vice caché
v.o.a. : Inherent Vice
v.f. : Vice caché
Los Angeles, 1970. Larry ?Doc? Sportello est un détective privé chevronné et un grand adepte de marijuana. Une ancienne flamme vient le voir pour lui demander de retrouver son amoureux. Ce dernier est un promoteur immobilier milliardaire qui est lié à des affaires louches, ce qui peut expliquer sa disparition. Au fil de son enquête, Doc met à jour une sombre intrigue qui le dépasse, où il est question de salons érotiques, d'un dentiste énigmatique, de trafic de stupéfiants et d'un policier qui revient sans cesse le harceler. Pour y voir plus clair, peut-être devrait-il modérer sa consommation d'hallucinogènes.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Ghoulardi Film Company
- Warner Bros. Pictures
distributeur
- Warner Bros. Canada
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Cependant, ce néo-film noir, d'une durée de deux heures trente, apparaît exagérément bavard, presque tout le contenu dramatique passant par les dialogues.
Louis-Paul Rioux Lire la critique complètePanorama-Cinéma
Inherent Vice est donc un immense hommage au film noir sans toutefois en être exactement un.
Mathieu Li-Goyette Lire la critique complèteLa Presse
Même si Inherent Vice restera plutôt mineur dans l'ensemble de l'oeuvre de Paul Thomas Anderson, il constitue néanmoins un film ''tripant'' sur le plan cinématographique.
Marc-André Lussier Lire la critique complèteVoir
N'y cherchez pas une intrigue policière savante; vous y trouverez plutôt un délire ensoleillé et vaporeux qui tisse le portrait d'une Amérique à la croisée des chemins.
Philippe Couture Lire la critique complèteVolture
As a mystery, the film of Inherent Vice is less coherent than Pynchon's novel, no mean feat. It's spotty, it has no shape, it never jells.
David Edelstein Lire la critique complèteThe Wrap
Anderson seems to have lost all real pleasure in filmmaking (...) he is over-thinking and pre-supposing too many things about what he’s shooting, not letting enough air and life into it, making stiff films that play like momentous build-ups to nothing, or nothing much.
Dan Callahan Lire la critique complèteEntertainment Weekly
Still, Anderson<s film, despite its groovy contact-high spirit, is like a table full of haphazardly strewn jigsaw-puzzle pieces that are never assembled, just rearranged in a different haphazard pile. Inherent Vice is half-baked Raymond Chandler. With too much emphasis on the baked part
Chris Nashawaty Lire la critique complèteJoblo.com
Given what a unconventional, eccentric private eye tale this is, Inherent Vice will not be to all tastes. (...) It certainly was for me, and like most of Anderson's films, I bet it gets even better the second time around.
Chris Bumbray Lire la critique complèteAgence QMI
Vice caché nous tient en déséquilibre dans l'univers captivant de Pynchon.
Bruce Kirkland Lire la critique complèteCinéfilic
Anderson fait un travail impeccable derrière la caméra et ses dialogues sont parfaitement écrits, mais soit il est lui-même incapable de cerner ses propres idées, soit il ne permet pas à ses spectateurs de faire partie du jeu.
Olivier Bouchard Lire la critique complèteRogerebert.com
Vice impresses by seeming uninterested in impressing us.
Matt Zoller Seitz Lire la critique complèteThe Hollywood Reporter
As always with Anderson, the soundtrack is of great interest, first of all for its relative lack of predictable oldies-but-goodies from the period.
Todd McCarthy Lire la critique complèteRolling Stone
Inherent Vice, brilliantly scored by Jonny Greenwood, is an Anderson head trip, impure jazz with a reverb that can leave you dazed, confused and even annoyed. But at no time do you doubt that you are in the hands of a master.
Peter Travers Lire la critique complèteVariety
Working on a modest budget, production designer David Crank and costume designer Mark Bridges (...) evoke the period in all of its paisley, denim, earth-toned splendor without ever resorting to kitsch.
Scott Foundas Lire la critique complète