Indiana Jones et le cadran de la destinée Critiques des membres

Indiana Jones and the Dial of Destiny

Ce film est fantastique à ne pas manquer , Harrison Ford est extraordinaire comme toujours, l'histoire est bonne les acteurs sont excellents je recommande à toutes et tous de voir ce film.

Film digne de la série

Pendant la 2e guerre mondiale Indiana Jones avait rencontré un nazi qui voulait s'emparer du cadran d'Archimède. Des années plus tard, au moment de sa retraite à l'université, ce nazi refait surface bien déterminé cette fois à utiliser le cadran pour changer le cours de l'histoire. Un film digne de la série, ou on se promène entre les continents, et ou malgré les 2;35hrs du film on ne s'ennuie pas 2 secondes. Je donne un 9/10 à cet excellent divertissement.

Une aventure épique mais confuse

L’idée de clore la saga est risquée mais elle est réussie à bien des égards. Harrison Ford est parfait et assume pleinement son âge pour laisser plus de place aux personnages secondaires. Indy est usé et fatigué mais cette nouvelle aventure inopinée redonnera un dernier souffle à ce héros d’un autre temps qui épuise ses dernières cartouches avec passion et fougue. Entre les musiques de John William, les références aux autres films et les voyages destinés à cette chasse au trésor entrecoupée de courses poursuites bourrées d’adrénaline, ce 5eme opus a de quoi tenir éveillé. Mais c’est au niveau narratif que le bat blesse. Trop long, trop de personnages interchangeables, trop de contenu associé à des éléments et rebondissements sauce Disney gâchent une partie du plaisir. Car oui ce n’est pas du Spielberg mais du Disney que l’on nous sert. On attendait de James Mangold (Logan, Ford vs Ferrari) un divertissement plus épuré et un humour plus présent et efficace. Le manque de simplicité est regrettable. Cependant le film réserve de belles surprises et une introduction immersive. La fin est très belle et pleine d’émotions. (Version française affligeante a éviter absolument). Bon film!!

Parfait

Très content et triste en même temps de le voir si vieux. J’aimerais voir plus, genre un deuxième ou une série.

Bel Adieu.

Encore une fois le cinéaste James Mangold a tout compris à son nouveau (et imposant) terrain de jeu, s’est investi pleinement et on peut lui dire un grand bravo! Mine de rien depuis trente ans, ce réalisateur signe des œuvres diverses et variées, investissant tous les genres, et les réussit avec brio. A regarder sa filmographie, elle compte peu de ratés avec beaucoup d’œuvres méconnues, pointues et passionnantes couplée à de gros blockbusters de qualité. Dans la première catégorie on a le polar « Copland », le drame psychologique « Une vie volée », le thriller « Identity » ou encore le western « 3h10 pour Yuma ». Dans la seconde catégorie on a le génial « Le Mans 66 » ou le chant du cygne de l’un des plus célèbres super-héros, « Logan ». Et tous ces films sont des réussites. Si ce n’est le moyen « Wolverine, le combat de l’immortel » et la comédie romantique « Kate et Leopold » on peut dire que Mangold a un sacré palmarès proche du sans-faute. Il sait comprendre l’ADN de chaque projet qu’il entreprend en plus de savoir faire plaisir à son public. Ce qui nous amène à dire que c’est donc un choix presque évident de la part de Spielberg, qui peut le voir comme un lointain cousin, pour prendre sa relève avec ce dernier épisode de l’une des sagas les plus cultes du septième art : « Indiana Jones ».

Après la petite déception du quatrième volet qui bifurquait maladroitement sur la fin vers la science-fiction et dénotait de la tonalité générale de la saga, Spielberg a donc préféré laisser la main et juste garder la casquette de producteur. Surtout qu’il préfère se consacrer à des projets plus personnels et moins commerciaux depuis quelques années. Avec Mangold, il ne s’est donc pas trompé tant son choix coche quasiment toutes les cases de la réussite, entre hommage à toute un pan du cinéma d’aventure guidé par ce héros mythique et actualisation avec les moyens d’aujourd’hui d’un personnage culte à enterrer en bonne et due forme. Le film a des défauts certes mais ils ne sont pas vraiment du fait du cinéaste à proprement parler. On pourra tiquer sur une aventure qui s’inscrit tellement dans l’héritage des autres qu’on pourrait presque se dire que cela manque de véritable innovation mais ce serait être tatillon. En revanche, il va sans dire que la durée de ce « Indiana Jones et le cadran de la destinée » est un tantinet trop excessive. En effet le film est bien trop long (vingt à trente minutes en moins n'auraient pas été volées) et sur une seconde partie un peu plus faible après des débuts tonitruants.

Mais alors pour le reste, toute la sève de la saga est présente. Le prologue à rallonge qui voit Indiana Jones / Harrison Ford, rajeuni par la magie des effets spéciaux, en pleine Seconde Guerre Mondiale face à des nazis est une véritable Madeleine de Proust qui nous rappelle aux grandes heures du cinéma d’aventure des années 80. Tout y est et c’est magique. Et la première partie à New York l’est tout autant avec des péripéties originales et spectaculaires. La mise en scène est fluide et tout à fait en adéquation avec le reste de la saga, commencée pourtant il y a quarante ans et les effets spéciaux sont de grande qualité. Le reste est certes plus consensuel, remplissant le cahier des charges de ce type de film grand public mais demeure de très haut niveau, même malgré les petites scories de rythme et de longueur en milieu de film. Quant à mister Ford il est fascinant de voir comment il revisite avec grâce et panache ses plus grands rôles, bouclant la boucle d’une carrière incroyable après l’immense « Blade Runner 2049 » et la dernière trilogie « Star Wars ». Mads Mikkelsen fait un méchant de luxe réussi et le duo avec Phoebe Waller-Bridge fonctionne à pleine régime. On regrettera juste dans les seconds rôles le passage totalement inutile d’Antonio Banderas et un Boyd Hollbrook au rôle aussi fin et cliché qu’une ligne de scénario. « Indiana Jones et le cadran de la destinée » est du grand spectacle à l’ancienne beau, généreux et fait avec beaucoup de soin et d’amour pour le cinéma. Rien que pour cela... Si ce n’est le prochain « Mission : impossible » c’est vraiment le blockbuster le plus honnête de l’été pour le moment.

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Bof !

Tout ce film fait de mouvements inutiles n'avait finalement qu'un seul but: trouver un épigone au "héros"...mais, en fait, ce sera UNE épigone. Pas sûr que cela aura le même charme...

Un bon temps au cinéma

Ce film est loins d’être parfait! Mais il est plaisant du début à la fin, les acteurs sont pour la plupart très bons et l’histoire est engageante!

Je ne sais pas si les grands fans vont être satisfaits, mais j’ai bien aimé!

Chapeau !

Sans Spielberg et avec le logo de Disney en ouverture, mes attentes étaient minimales...d'où peut-être mon agréable surprise.

Je ne suis pas un fan des nouveaux Star Wars qui sortent du même fourneau. La recette est connue, Disney sait sur quel bouton appuyer, ce n'est plus du cinéma pur, mais du méta-cinéma, tout en clins d'oeil.

Malgré tout, ça fonctionne, en grande partie grâce à Harrisson Ford qui semble heureux de retrouver son personnage et ses mimiques. Il y a moins de trouvailles visuelles, mais James Mangold se montre à la hauteur. Le scénario est comparable aux autres de la série, tant dans sa structure que ses excès. À ce chapitre, le climax final demande une certaine dose d'abnégation de la part des cinéphiles, mais la conclusion est suffisamment mignonne pour qu'on pardonne ce genre d'exubérances propres à la franchise.

Au final, le film livre la marchandise et éponge la déception du quatrième, tout comme les nouveaux Star Wars épongeaient l'amertume laissée par les antépisodes de Lucas. Disney a les moyens de ses ambitions, ce n'est plus de l'art, mais de la science appliquée au cinéma. Soit on désole, soit on se console. Perso, je fus ravi de retrouver Indy une dernier fois, du moins je l'espère.

Départ canon mais le reste boff

Le début du film était super captivant et laissait présager un film aussi bon que les 3 premiers. Malheureusement, ça s'est gâté par la suite.

Il y avait quelques bonnes scènes d'action mais on dirait qu'Indiana Jones a perdu sa magie des débuts. Peut-être était-ce à cause de son âge mais ça n'explique pas tout. Le scénario était plus ou moins intéressant surtout.

Ce film était quand même mieux que le 4e mais ce n'est pas un film que je réécouterais une 2e fois. Je lui donne tout juste la note de passage.

Homicide Volontaire

Les temps sont dures pour le cinéma ces temps ci. Mais pas aussi dure que pour celui des spectateurs.

Ce film d'Indiana Jones est truffé de clichés empruntés des autres films de la série. Un départ énergétique, des courses, des bibittes, une autre version de demi-lune d'une autre saveur, un méchant qui n'arrête pas de les poursuivre et de reprendre les trouvailles d'Indy.

Le problème est que l'histoire n'est pas très intéressante et que même si tous les ingrédients sont utilisés, ça prend quand mème un bon cuisinier. Pas le cas ici.

Le plus troublant dans ce film est son objectif de départ. Le film est construit a partir du concept qu'il n'est plus possible d'avoir un personnage masculin sans être accompagné, a parts égales, d'un personnage féminin. Avec ce noyau, on colle les ingrédients de peine et de misère en espérant avoir du succès. Même recette que le dernier Thor. Il est donc plus important d'obtenir le ratio 50/50 que de faire un bon film.

L'élimination de la valeur de ce personnage masculin (Indy) est facile. Harrisson Ford a 81 ans. Il est donc diminué, fragile et facile a vaincre. Il est donc possible de mettre l'autre personnage plus jeune en valeur et d'effectuer le remplacement. Ce n'est pas très courageux et cela démontre une ambition de gravire les échelons facilement en profitant du travail des autres effectué depuis plus de 40 ans. Travail fait par des gens que l'on considère maintenant comme toxiques.

Nous en sommes rendu l'à.

Avait-on besoin d'un autre film avec un héros vieillissant?

Bon film d'action qui arrive à divertir le temps du visionnement... et ensuite on se dit bof! Les scènes d'action ne sont pas vraiment excitantes. Les touches d'humour caractéristiques de la série sont quasi absentes. Les personnages du méchant, de l'héroïne et de l'enfant sont peu développés et laissent de glace.

C'est trop long et la fin est précipité. Sans trop en dire, j'aurais aimé voir la surprise des indigènes lorsque les avions sont apparu dans leur ciel. Mais on a raté ce bout là comme le reste.

C'était le film de trop.

Déception pour les fans

Le 5 opus aurait dû s’intituler Indiana Jones au Wokistan. Dans ce film, le personnage principal n’est pas Indy mais sa filleule Helena. Une joueuse compulsive qui vend des artefacts pour payer ses dettes de jeux. Elle méprise Indy, lui ment et va même jusqu’à l’assommer. Seul point positif, ce film m’a donné envie de réécouter les aventuriers de l’arche perdue.