apprendre à aimer
Projection de mardi 16 à 19H30
La salle est comble. Au premier regard,
une assistance «avertie», «politisée» (par le thème),
moyenne d’âge, la quarantaine. Pendant la projection,
une assistance (de Québécois) «très attentif» de «se»
voir au Moyen-Orient à travers la Québécoise Chloé,
le femme «blanche», le «doctor», le «médecin»
(donc Éduquée, Civilisée, Equilibrée, oui?)
Mais non! Elle est «à fleur de peau» la p’tite.
Vous connaissez le synopsis, hein? Elle travaille
à Jérusalem dans Israël la vilaine
mais habite dans la partie Arabe la blanche.
Mais oui il y a des scènes de «checkpoint» baveuses.
Alors comment «la» réalisateur va s’y prendre
pour mettre ça en «image»? D’abord une caméra-à-l’épaule
(pas en «steady-cam»), une caméra «shakée»
pour exprimer le «chaos», le «stress» et en
cadrant les personnages «buste» pour le ¾ du film!
à vrai dire, cadrage TV plutôt que «cinémato»/
ce n’est pas une «écriture» cinématographique
c’est une écriture de «documentaliste», un «docu-drama»
mettant constamment le «spectateur-voyeur»
dans des zones inconfortables…d’impuissance…
alors là, moi, je décroche ben raide!
la ‘matantisation’, j’en ai jusque là!
et j’ai quitté la salle…
c’est ratée ton affaire, Anaïs
Une réalité...
une réalité qui frappe...voila ce qu'est Inch'Allah.
Un monde ou certain n'ont rien et ou la dureté de la vie frappe même les plus jeune. Un film qui fait réfléchir.
Coup de poing
À voir! Très beau film, mais que l’on reçoit comme un coup de poing. Impossible de rester indifférente devant cette dure réalité, vous serez ébranlés par la vision de tant d’horreur. Nous ne pourrions concevoir de vivre dans de telles conditions, mais des êtres humains y sont confrontés quotidiennement bien malgré eux. Nous avons eu la chance de rencontrer Evelyne Brochu au resto avant la représentation, jeune femme très talentueuse qui crève littéralement l’écran. Sabrina Ouazani livre également une performance remarquable. Par contre, si vous êtes du genre film de guerre blockbuster à l’américaine ce film n’est pas pour vous. Merci Cinoche! Avant-première, Gatineau, 26 septembre.
Les murs
Vu au Festival du film de Québec, grâce à Cinoche, ce film de clôture m'a rappelé tous les murs que l'histoire a traversé et aujourd'hui, malgrés l'évolution de l'homme, les murs sont toujours là avec leurs cruautés et leurs incompréhension...un film difficilemais à voir !!
Vivre la guerre
Film dur et réaliste. Ressentir la guerre en permanence. Évelyne Brochu criante de vérité. Musique du générique qui sied bien au sentiment qui nous habite. Tristesse, rage et impuissance.