Il était une fois les Boys
Noël, 1967. Un tournoi de hockey se prépare dans la paroisse St-Michel, mais s'annonce difficile pour les As, formés de Stan, Bob, Fern, Marcel, Jean-Charles, Ben et Méo, le petit nouveau dans la gang. Alors que les familles préparent les célébrations, que certains parents doivent régler quelques problèmes conjugaux ou de harcèlement sexuel au travail, les jeunes garçons développent une complicité inébranlable qui les mène à former un groupe capable d'affronter même la meilleure équipe de la paroisse. Au cours de ces vacances de Noël, les Boys vivent des épreuves formatrices qui les uniront à jamais.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Melenny Productions
distributeur
- Les Films Séville
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Résultat : un mélange laborieux de comique et de tragique, livré avec application et porté par une bande d'acteurs d'âge et de talent divers.
Lire la critique complèteLe Soleil
À défaut d'être originale, elle offre, en tout cas, plus de profondeur sur le plan dramatique. Richard Goudreau fait du cinéma populaire destiné à un large public qui carbure à l'émotion, et il l'assume. Dans ce créneau, il a livré un bon match.
Lire la critique complètePanorama-Cinéma
Mais à force de travailler à partir de matériaux aussi disparates, et souvent incompatibles, le film de Richard Goudreau apparaît inévitablement comme une production décousue et irréfléchie dont le public cible n'est jamais clairement défini.
Lire la critique complèteLa Presse
Écrit (pour la première fois) et réalisé (pour la première fois aussi) par Richard Goudreau, idéateur et producteur de la série, Il était une fois les Boys puise à même tous les clichés du film sportif, sans même faire la moindre tentative pour les renouveler d'une façon ou d'une autre.
Lire la critique complèteAffaire de gars
Sans être aussi drôle que les autres films de la franchise, Il était une fois les Boys demeure un film familial très correct pour le temps des fêtes.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Mais ce pudding chômeur est lourd à digérer. Les dialogues sont anémiques, les situations prévisibles abondent et les bons sentiments sont bien trop appuyés pour être sincères.
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