Une ode américaine

Amy Adams brille dans le rôle de l'incontrôlable mère de J.D.. Mais le film appartient véritablement à Glenn Close, mémorable en matriarche indomptable, dont la résilience et la violence sont au coeur de la vie d'une famille unie à la vie, à la mort.

Mais on attendait quand même un peu plus que l'histoire prévisible d'un jeune homme issu d'un milieu modeste qui, contre vents et marées, accède à l'élite de la société en entretenant la flamme du fameux « rêve américain »

Si Amy Adams livre une interprétation convaincante dans la peau d'une mère toxicomane et toxique, c'est surtout Glenn Close (méconnaissable) qui s'illustre en campant une grand-mère courageuse et bienveillante. Malgré ces deux belles performances d'actrices, Une ode américaine se révèle, au final, une grande déception.

Le monteur (James D. Wilcox) a travaillé fort pour maintenir l'intérêt sous la forme d'un suspense en récits parallèles, avec un bon équilibre entre les retours en arrière et le séjour universitaire de J.D. Il ne réussit pas à sauver le film pour autant.

In the late going especially, the director and Basso give a persuasive weight to the friction between family responsibility and personal ambition. 

It deserved nuanced treatment, rather than the cuddly, uplifting, "feel good" polish it's given. 

Save for its best performances, it's merely another rote story about basic family drama and accepting one's own roots, and is unable to possess any real emotional impact.

Instead of an exploration of the societal and economic roots of the opioid crisis, we get bootstrap boosterism.

I wanted a bigger, bolder, more imaginative take on this material than "Hillbilly Elegy" is willing or able to deliver.

J.D. Vance's story of growing up poor gets the prestige-drama treatment -- and ends up as a lot of sound and fury signifying nothing.

The film reproduces the outline of J.D. Vance's memoir, but not the deep dive into Appalachia that made it tick.