Hérésie
v.o.a. : Heretic
Les soeurs Barnes et Paxton, deux missionnaires de l'Église mormone, cognent un jour à la porte de Monsieur Reed pour tenter de le convertir à leur religion. Aimable et courtois, l'homme d'un certain âge les invite à entrer dans sa demeure, mais pas pour découvrir comment la religion peut sauver son âme, mais plutôt pour défier les croyances de ces invités. Au bout d'un moment, les deux jeunes femmes prennent conscience du genre d'individu à qui elles ont affaire, et qu'elles ne peuvent pas quitter la demeure aussi facilement que ce dernier le prétend.
Distribution
- Topher Grace (Elder Kennedy)
- Chloe East (Sister Paxton)
- Sophie Thatcher (Sister Barnes)
- Hugh Grant (Mr. Reed)
Scénarisation
Production
Réalisation
Distributeur
- VVS Films
Studio
- Shiny Penny
- Catchlight Studios
- Beck Woods
Revues de presse
Variety
Go with it, and Heretic can be an entertaining ride. It may not change your mind about religion, but you'll never think of blueberry pie the same way again.
Lire la critique complèteThe Hollywood Reporter
The relationship between Paxton, Barnes and Mr. Reed remains the most absorbing thread throughout Heretic. Even when the screenplay heads into deflating territory -- trading potential acerbity for more neutral conclusions -- their cat-and-mouse game keeps us curious and faithful.
Lire la critique complèteEntertainment Weekly
Never has pondering theology been so devilishly entertaining -- and amen to that.
Lire la critique complèteSéquences
Ne reste que la performance inhabituelle de Hugh Grant qui prend un malin plaisir à jouer le vilain méchant loup.
Lire la critique complèteLe petit septième
En somme, Heretic s'éloigne des codes classiques du film d'horreur religieux pour offrir une réflexion plus profonde sur la fragilité des croyances humaines. En se concentrant sur le doute et l'angoisse existentielle plutôt que sur des manifestations surnaturelles, le film pousse le spectateur à remettre en question les fondements mêmes de la foi.
Lire la critique complèteMédiafilm
Huis clos minimaliste à la prémisse forte. Récit verbomoteur manquant de souffle en deuxième partie. Plusieurs incohérences. Mise en scène maîtrisée. Bons interprètes.
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