Goon : Le dernier des durs à cuire
v.o.a. : Goon: Last of the Enforcers
Après une énième bataille violente sur la glace, le joueur de hockey Doug Glatt se blesse à l'épaule et n'est plus en mesure de reprendre son rôle de goon au sein des Highlanders. Comme sa femme est enceinte, il voit là une opportunité de mener une vie rangée et accepte un emploi dans une compagnie d'assurances. Il ne lui faut pas beaucoup de temps avant que son équipe lui manque. Il décide donc de s'entraîner en secret avec son ancien ennemi, Ross Rhea, afin de retrouver sa place au sein des Highlanders. Doug devra prouver qu'il a encore la flamme et la vigueur nécessaires pour cette tâche.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- No Trace Camping
- Caramel Films
distributeur
- Les Films Séville
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Vigoureux et techniquement au point, son film se résume néanmoins à un amas de clichés sur un lit d'humour agressivement vulgaire et rarement efficace.
Lire la critique complèteLe Soleil
Si on met de côté les aspects rébarbatifs du projet, il faut admettre que Jay Baruchel s'en est tout de même très bien tiré pour sa première expérience de réalisation.
Lire la critique complèteTon Canapé
Constat: ça punch pas à peu près, en venant parfois même à outrepasser Goon, premier du nom.
Lire la critique complèteCinémaniak.net
Au final, avec des parties de hockey très bien chorégraphiées, un humour efficace, des personnages attachants et un rythme bien calibré, Goon : Last of the Enforcers reste un très bon divertissement, une comédie d'adolescent de bonne qualité, canadienne de surcroît.
Lire la critique complèteSéquences
Le film trouve ses meilleurs moments lors de séquences qui se situent hors glace.
Lire la critique complèteAgence QMI
Malheureusement, au contraire de son prédécesseur, Goon: le dernier des durs à cuire n'offre pas le même attrait. Les plaisanteries, toutes plus vulgaires les unes que les autres (Pat, interprété par Jay Baruchel, offre les pires du lot) tombent à plat.
Lire la critique complèteLa Presse
Pour le reste, les bons gags se font rares. On ressort de cette projection avec la nette impression que le fun noir qu'ont visiblement pris tous les membres de l'équipe en tournant ce film ne s'est pas transmis à l'écran. Dommage.
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