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Godailla. 219
Très bon film
Terriblement décevant
C'est probablement le film le plus ennuyant que j'ai vu cette année. Déjà que mes attentes n'était pas très élevées (on s'entend que l'histoire de ce genre de film n'est jamais très développée), là on dirait qu'en plus le film ne nous offre presque pas ce qu'il est sensé nous montrer; des combats de monstres géants au milieu d'une ville en feu.
Possible SPOILERS! On passe les deux tiers du film à suivre des personnages qui se déplacent en véhicules et à qui il arrive des trucs qui ne font pas trop de sens, mais surtout dont on s'en fout. L'histoire est tellement sans intérêt que lorsqu'il arrive quelques combats de monstres, on ressent rien. Parlant de combats de monstres... ils sont cachés dans la pluie, le brouillard, la nuit, des tempêtes tropicales... en gros on voit rien... et on comprend rien.
Ils ont mis Mothra dans le film! J'étais bien excité! ... mais on le voit plus longtemps en cocon qu'en forme papillon... et au final quand on le voit plus tard, il est caché (dans l'eau, derrière les nuages ou une lumière vive) sauf pour 5 minutes de combats.
Ce film était une déception après l'autre. Du remplissage d'écran et de scénario pour en arriver à des combats vraiment décevant. Allez-voir n'importe quoi d'autre.
Ce n’est pas devenue un divertissement mais c’est un plaisir fou qui en est devenue un.Un des divertissements les plus excitant sur la science fiction est le fantastique. L’amusement et à son comble .
Le réalisateur essaie de nous faire vivre une angoisse avec la terre qui tremble en nous reflétant les monstres qui arrive et celas à marché pour moi. Les effets visuels reste ce point sont bien réalisé et réaliste et la musique reste bien accompagnée et accordée avec l’histoire qui tente de déstabiliser les moins habitués des ambiances apocalyptiques.L’action reste forte sur ce point en pouvant créer certain allongement ainsi que des tirs inutiles et impuissants contres les créatures. J’y est pardonné du à l’haleine d’un scénario accrocheur et intense d’action menant les amateurs droits dans leurs cordes.
barbant
En général, je suis bon public pour ce genre de films. Mais pas cette fois.
Indigestion monstre
Ce nouveau film mettant en scène le célèbre lézard nippon est certainement le pire, avec le recul même la version tellement critiquée de Roland Emmerich il y a vingt ans nous semblant plus sympathique, c’est dire! Elle avait au moins le mérite d’être fun et divertissante. Ici, accordons tout de même au réalisateur Michael Dougherty quatre ou cinq plans très picturaux. D’une beauté indiscutable, ils nous font admirer les monstres en action de la plus belle des façon grâce à des effets spéciaux dernier cri. Sinon? Et bien pas grand-chose voire rien durant deux longues heures. Car oui tout le reste de cet interminable blockbuster est éreintant pour les yeux et pour le cerveau. Le premier volet avait peut-être des défauts mais il pouvait se targuer d’un semblant d’histoire et de l’atmosphère singulière qui s’en dégageait. De plus, il savait ménager le suspense et les scènes de destruction massive étaient rares mais généreuses et parfaitement chorégraphiées. Quant au « King Kong, Skull Island » du même univers partagé, il était efficace au niveau de l’aventure et du divertissement tout en assumant son côté décérébré. On ne s’ennuyait pas un seul instant mais il souffrait clairement d’un déficit total de psychologie au niveau du contingent humain. Et bien ici on retrouve le même problème, en bien pire.
En effet, la psychologie des personnages est réduite à peau de chagrin. Leurs échanges sont d’une trivialité soporifique et leur utilité est purement mécanique, uniquement destinés à légitimer chaque apparition d’un monstre du bestiaire mis en branle ici. On est face à des dialogues de seconde zone constitués de phrases toute bêtes et toutes faites, à tel point interchangeables qu’on pourrait les placer dans n’importe quel film. Leurs actes sont souvent sans queue ni tête et le film ne lésine pas sur les sacrifices à deux francs six sous, tellement mal amenés et peu crédibles qu’ils ne suscitent aucune émotion. Et que dire du sort du personnage de Sally Hawkins, qui a certainement dû rempiler juste parce qu’elle était sous contrat. Un scénario vraiment vide et sans ambition autre que de servir la soupe à des affrontements entre monstres. Et à ce niveau on a déjà vu bien mieux, que ce soit le « King Kong » de Peter Jackson ou le premier « Pacific Rim » de Guillermo del Toro qui étaient tous deux d’une qualité bien supérieure à ce qui nous est proposé ici. Et il est clair que ce « Godzilla, roi des monstres » est le film le moins bon de cet univers partagé déjà pas bien folichon et que ce sur quoi on l’attendait le plus, en l’occurrence les batailles dantesques, il déçoit sur toute la ligne.
Les effets spéciaux sont certes probants mais en même temps l’inverse serait le comble avec les progrès faits dans le domaine et notamment dans ce genre de productions où les trois quarts du budget pharaonique sont engloutis. On ne peut donc s’empêcher d’être déçus, frustrés et circonspects face à ces duels plus bruyants et vains que véritablement impressionnants. Car ici tout est constamment baigné dans une tempête sombre ou de nuit, ce qui rend la vision du film pénible. Notons qu’en plus, il y a plus d’agitation que de véritables combats dignes de ce nom, on en a pas pour son argent. Quant au final, censé être l’apothéose, il suit le même constat et on sort de là exsangue et fatigué. Ce n’est plus du divertissement de masse mais de l’abêtissement de masse que l’on subit plus que l’on n’y prend plaisir. Et ajoutons qu’il ne reste pas grand-chose de la mythologie et de la fascination que le spectateur est censé avoir pour ces titans légendaires, la réalisation et le script annihilant toute portée mythique. Tout est broyé dans le rouleau compresseur hollywoodien, sans véritable respect du matériel original. En l’état, « Godzilla, roi des monstres » est tout ce que le cinéma à grand spectacle a de plus déplaisant, en espérant que le prochain affrontement entre King Kong et Godzilla redresse quelque peu le niveau.
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Un conte pour enfants de 14 ans et plus
J'ai tenté de ne pas trop rire en regardant ce film, j'ai essayé d'entrer dans l'histoire de mon mieux, promis-promis. Mais franchement, c'est un film d'horreur pour enfants tout au plus.
Ils sont drôles, car on entend dans ce film des "Que Dieu nous pardonne", des "Seigneur", on voit un puissant dragon superposé à un crucifix impuissant, comme par défiance, mais c'est en Godzilla qu'il faut avoir foi selon le film, car ce titan serait un dieu protecteur de l'ancien monde. Oui, oui, ce n'est qu'un film, bien entendu... Pas sûr que les jeunes savent le discerner par contre.
D'une main, ils nous disent de garder nos religions dans nos maisons, et de l'autre ils se consacrent des budgets titanesques aux frais des cinéphiles pour passer des messages religieux en douce.
Et bien, puisque j'ai payé sans qu'on m'avise pour un financer un film de propagande religieuse que je n'approuve pas, je me permets moi-même de dire que si parce qu'un gros monstre invincible se présentait, il faudrait le craindre comme un dieu, et donc si un plus gros encore se présentait, il faudrait le craindre lui plutôt, alors c'est le Dieu d'Israël, de loin le plus grand et le plus puissant d'entre tous, au point où un seul de ses pieds ne pourrait entrer sur cette Terre, qu'il faut craindre et adorer, Dieu le Père céleste ainsi que son fils Jésus-Christ.
L'hypocrisie ça se danse à deux. Si on veut que nous gardions nos religions dans nos maisons, alors qu'ils fassent donc de même avec leurs films d'hypocrites pourris.
Quand même bon
Un peu long et répétitif mais magnifiques images et très bon son
Bon film
Les effets spéciaux et le son sont à couper le souffle, surtout en Imax.