Freud's Last Session
Deux jours après le début de la Seconde Guerre mondiale, Sigmund Freud invite C.S. Lewis chez lui pour un entretien. Plusieurs sujets sont abordés, tels que trauma de Lewis dû à la Grande Guerre et la nature de la relation que les deux hommes entretiennent avec le monde extérieur, notamment Anna, la fille du psychanalyste, dépendante de lui.
Distribution
- Stephen Campbell Moore (JRR Tolkien)
- Orla Brady (Janie Moore)
- Jodi Balfour (Dorothy Burlingham)
- Liv Lisa Fries (Anna Freud)
- Matthew Goode (C. S. Lewis)
- Anthony Hopkins (Sigmund Freud)
Scénarisation
Production
Réalisation
Distributeur
- Métropole Films Distribution
Studio
- Subotica Entertainment
- M.Y.R.A. Entertainment
- Last Session Productions
Revues de presse
Variety
So many movies are either mindless or completely disinterested with engaging the intellect of their audiences that Freud's Last Session offers a welcome bit of brain stimulation -- but does far less for the soul.
Lire la critique complèteThe Hollywood Reporter
Even acknowledging and regretting the conceptual misjudgments that mar the film, there are moments to enjoy. The conversations between the doctor and the don remain stimulating, and the two central performances add to the electricity.
Lire la critique complèteThe Wrap
Freud's Last Session will certainly find its fans, and the actors are all superlative. But the whole affair feels a bit too dense to enthrall and the script never dives deep enough into these characters' psyche to tell us something new or particularly unique.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
La relation compliquée entre Anna et son analyste de père constitue le contrepoint de cette rencontre hypothétique entre deux grands esprits qui incitera peut-être certains à relire leurs essais sur l'existence ou non de Dieu.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Le réalisateur et coscénariste Matt Brown imagine une rencontre entre Sigmund Freud (Anthony Hopkins) et C. S. Lewis (Matthew Goode), l'auteur des Chroniques de Narnia.
Lire la critique complèteLe Devoir
La joute oratoire à laquelle se livrent les deux hommes, le premier marqué par les morts prématurées de sa fille et de son petit-fils, le second, qui a fait la guerre 14-18, souffrant du syndrome du choc post-traumatique, s'avère absolument fascinante.
Lire la critique complèteMédiafilm
Joute verbale enlevante tirée d'une pièce de théâtre. Ensemble résolument vieille-école mais bien fait. Excellents interprètes.
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