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Footloose
v.o.a. : Footloose
Depuis le décès de quelques adolescents trois années auparavant, la petite ville religieuse de Bomont a imposé un sévère code de conduite. Les jeunes âgés de moins de 18 ans ne peuvent écouter de la musique à plein volume et encore moins participer à des soirées de danse. L'arrivée du fougueux Ren risque bien de changer la donne. Cet étudiant extraverti qui aime se déhancher n'a pas peur de nager à contre-courant et d'enfreindre les règlements. Surtout qu'il a le béguin pour Ariel, la fille du révérend Moore, ce qui risque seulement de rajouter de l'huile sur le feu.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Paramount Pictures
- Dylan Sellers Productions
distributeur
- Paramount Pictures
Revues de presse
Médiafilm
Ce remake presque plan par plan du film d'Herbert Ross datant de 1984 échoue dans sa tentative d'en actualiser les thèmes et enjeux. Bien que transposée dans un Sud profond réputé ultra-conservateur, l'intrigue paraît dépassée. Un problème que l'absence de fantaisie dans la mise en scène, et d'éclat dans la distribution, n'arrivent pas à faire oublier.
Lire la critique complèteThe Gazette
When the dance scenes happen, we feel the rush of adrenalin. We sense the corners of our mouths turn up, and we can suspend disbelief for the duration. That's all any movie has to do, and Footloose pulls it off, but it goes one better by delivering a message about joy, and discovering your inner Fred or Ginger.
Lire la critique complèteJoblo.com
While there are moments that are much too gosh darned earnest to work, leaving the dramatic elements feeling occasionally forced; what's important here is the music and the mood. So cut loose, foot loose and get down to your local theatre if you are looking for something near criminally fun this weekend. It may not be great art, but it sure as hell knows how to dance.
Lire la critique complèteRolling Stone
Unlike Bacon, who had a double, Wormald does Ren's angry dance himself in an abandoned warehouse. But Wormald is not the actor Bacon is. This crimps his chemistry with Hough, who has the indefinable spark that indicates star potential. Footloose 2011 is harmless as far as it goes, but on the dance floor and off it never goes nearly far enough.
Lire la critique complèteLa Presse
Si Footloose et Flashdance ont marqué la «génération Walkman», le film de Craig Brewer, mettant en vedette Julianne Hough et Kenny Wormald, n'aura certainement pas le même impact sur la «génération iPod».
Lire la critique complèteCanoë
La distribution d'inconnus (à l'exception de Dennis Quaid) est enthousiaste. Tous ont vu ici une chance de se faire remarquer, assurant donc que ce Footloose touche les mêmes émotions que son prédécesseur. Et, jugeant par les réactions d'un jeune public, oui, ça marche toujours.
Lire la critique complèteLecinema.ca
S'il est légitime de se demander ce qui peut bien expliquer l'existence de cette variation sur les mêmes thèmes, le résultat est loin d'être catastrophique tant le tout se regarde aisément.
Lire la critique complète