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Deuil
Ma critique : http://wp.me/p4Px3S-YK
Un film d'auteur...
Malgré son titre, DEMOLITION, ce n'est pas un film américain traditionnel avec des poursuites. Pas du tout ! Ce drame psychologique, réalisé par J.-M. Vallée (CRAZY), est subtil et profond, malgré le sujet qui peut sembler un peu simpliste. Je le suggère à tous les amateurs de cinéma d'auteur.
Génial
Un film hors de l'ordinaire qui nous amène au plus profond de ce qu'une personne peux ressentir et vivre suite à un traumatiste . A voir.
Merveilleux film
Quel beau film, très touchant. Histoire très humaine et profonde. Oh, que je n'ai pas été déçue. Dire que j'ai failli ne pas le voir en raison des critiques négatives que j'ai lu ici. Pardon M. Vallée. Plus jamais je ne douterai de vous et de votre profonde humanité.
Touché
Pour "démolition", me viennent les mots authentique, humain, touchant, percutant. Un de mes films préférés de l'année 2016. Bravo à Jean-Marc Vallée et à toute son équipe et à ses comédiens formidables.
Jena-Marc Vallée
J'ai beaucoup de fierté pour nos réalisteurs qui réussissent aux States mais ce que je déplore c'est qu'ils vont chercher l'oseille à Hollywood sans y emmener les acteurs qui leur ont permis de se rendre là. Pourtant je regarde du côté de la France, Guillaume Canet dans "Blue Ties" fait jouer Marion Cotillard, Hazaniacus y a fait briller Jen Dujardin et Berénice Béjo ,Besson, Jean Reno, Anglande, Karyo.
Désolant !
Tellement désolant ! je suis allé voir ce film avec une amie et on a combattu le sommeil pendant les 2 premiers tiers du film. Le dernier tiers nous a semblé un peu plus drôle avec un peu plus d'émotion... Dommage, ne perdez pas votre temps à aller voir ce film, allez plutôt prendre une belle marche.
Demolition
Le pire film que j'aie vu au cours des 15 dernières années. Parfaitement nul. Jean-Marc Vallée aura beaucoup de travail à faire pour me gagner. Quelle idée de faire un film aussi stupide!
Affreux
Quel gâchis.perder las votre temps , pourrie de à à z. Et moi qui aime plutôt les films de répertoires.
0 étoile!
Pitoyable!
Ne perdez pas votre temps.... ce film ne vaut vraiment pas le déplacement!!! C'est un véritable navet.
Je comprends que la colère est l'une des étapes du deuil mais comment peut-on imaginer qu'elle puisse s'exprimer de cette façon!!! Démolir une maison à coup de masse ou à l'aide d'un bulldozer ou se faire tirer dessus par un ado qui essaie de nous faire croire qu'il est mal dans sa peau... Pitoyable. C'est de la violence gratuite et Davis aurait mieux fait d'aller consulter afin de faire traiter sa pathologie, cela aurait été plus crédible.
Découragement et perte de temps
J'aime beaucoup Jean-Marc Vallée. J'aime par ailleurs encourager nos cinéastes, d'autant plus lorsqu'ils rayonnent de par le monde.
Mais Demolition, c'est... Mon Dieu. Assommant. Navrant. Déroutant (péjorativement j'entends). Je n'ai osé regarder ma montre durant le film, car j'aurais eu peur - pensant être prisonnier de la salle depuis 4 heures - me rendre compte que le film n'était débuté que depuis 15 minutes...
Bien sûr, j'illustre un peu fortement mon ressentiment, mais je ne retrouve rien des qualités dont parle Mme Lepage-Boily dans sa critique. Ce film est impossible. L'histoire est impossible. On ne peut rire de ce film pour les bonnes raisons - c'est-à-dire parce qu'on y croit. Le propos est grossier, no pas en raison de ses jurons, mais bien plutôt parce qu'il insulte l'intelligence. De plus, les éléments humoristiques du scénario ne sont que de pâles reprises de ce que l'on aura vu déjà trop de fois: un homme plein de fric qui offre tout ce qu'il a dans ses poches pour aider à démolir une maison? Vraiment? Une préposée du service à la clientèle qui appelle un client à 2h du matin? Vraiment?
Et j'avance précautionneusement sur le terrain glissant de la trame temporelle: mais combien de temps s'écoule entre chaque scène? Combien de temps s'écoule du début jusqu'à la conclusion du film? Le propriétaire slash conjoint désabusé qui part quelques jours (ou semaines?!) au loin et on en profite pour tisser une relation improbable avec une famille dysfonctionnelle ou plutôt une mère dont on ne connaît rien et un enfant dont one ne comprend pas les problèmes?
Sérieusement, le pire film au cinéma que j'aie vu depuis Driven. Et je vous assure, je vais beaucoup au cinéma. Je reste d'ailleurs toujours pour le générique, mais pas cette fois-ci. Je ne me voyais pas contempler docilement cette litanie d'artisans qui ont fait de leur mieux (je n'en doute pas) pour un résultat si décousu.
Demolition ne passera pas à l'histoire. J'essaie d'ailleurs d'oublier que je l'ai vu. Que Jean-Marc Vallée est derrière tout ça. Je ne terminerai pas avec un jeu de mots minable avec le titre du film, mais vous vous doutez bien de ce que j'en fais de ce film-là...
Long
Sans lire et voyant toutes ces lignes (bien écrites ou pas), ça me donne franchement envie d'aller voir le film. Et ce n'est pas ironique.
Exageration
Par le fais que tu exagère grandement et que tu donne une note si faiblement juste pour rendre ta critique sois disant forte et pour avoir un grand impact montre a quel point tu n' as peu être pas su voir l'intelligence d'une réalisation surtout celle de J-M-V . Avoir une touche de fantaisie (ou de surréalisme plus précisément) dans ces films est une touche qu'il apportais de temps en temps (vu dans C.R.A.Z.Y) et il fait bien puisque d'apres ce que j'ai pu comprendre il s'agis d'une fiction sur des thème plus psychologique et rêveur selon moi. Et les sois disant incohérences ou événements improbables qui se passe dans le film pourrait relever plus de ta naifeté ou de ta non-ouverture d'esprit sans vouloir t'offenser. Un point de vue n'est selon moi pas suffisant pour justifier une si mauvaise critique d'un film .
@JayBédard
La critique de « Humanité » (Paris)=
« …Son ode hypocrite et ridicule à la marginalité s’achève sur un mode très gnangnan… »
@ taupe
Critique de << Bande à part >> = << Parabole sur la vacuité de la course matérialiste au confort et à la performance, ce portrait déglingué fait mouche>>
Une "Révolution" en queue d'poisson ?
Quand Gyllenhall (d’aplomb) décide, un beau matin, de ne plus se raser, ne plus s’épiler les sourcils, de plus « être-beau » pour le bureau (sphère publique), j’me suis dit;
« Ca y est !- la « Révolution » est en marche »…
et paf! contres les « traiders » !
et paf ! contre la « société-de-consom » !
et paf ! contre le « système d’éducation » !
et paf ! contre…(mais pas les armes à feux ?)…
…alors, là, j’en ai après la scène du tire au « gun » dans Central Park (sphère publique). Cette scène est
« impensable » dans le cinéma Québécois.
Même Canadien ! Imaginez un instant que la scène
se passe au lac des Castors sur le Mont-Royal
(en pleine forêt, oui ?) et que les deux fafoins
tirent du « gun » sur des troncs d’arbres-
cette scène est « typiquement » Américaine
et cette « merde » Américain nous éclabousse
plein l’écran ! Je ne comprends pas pourquoi
vous avez fait ça Monsieur Vallée. Je ne
comprends pas vous ne l’avez pas « gommer »,
la « supprimer» au montage finale ? Elle est « complètement » inutile cette scène de « gun » !
(Je vous enlève 2 étoiles pour ça ! Pour ne pas avoir
pris position CONTRE les armes à feux)
Tant qu’à l’ado (superbe Judah Lewis non sans nous rappeler les débuts de Jody Foster au corps
frêle de ses 14 ans) qui se « mire » (sphère privée) dans la glace en faisant des cercles avec un bâton de rouge à lèvre (de maman) et de l’autre main le « gun »
sur la temple pour en finir à savoir pourquoi il
aimerait avoir « un pénis dans sa bouche »…
(cette scène de courte duré est une « merveille »
de cinéma) et c’est là, vous sortez « l’ado » de la
maison familiale (sphère privée) par un « adulte »
(Gyllenhaal) (qui n’est pas son père, ni un parent mais un « étranger ») qui le conduit dans Central Park
(sphère publique) pour tirer du « gun » ???...
Longuuuuueeeeeeeee
Je me répète:
Sans lire et voyant toutes ces lignes (bien écrites ou pas), ça me donne franchement envie d'aller voir le film. Et ce n'est pas ironique.
@Philouuuuuuu
...attends, toé, quand tu vas entendre "La Bohème" d'Azna-
toi aussi tu en auras long à nous dire à savoir qu'est-ce qu'elle fait-là cette toune-là
dans un film "typiquement" américain ?
Vraiment Vallée tu charies
en grand avec cette toune !