Décharge
Pierre Dalpé habite un quartier du sud-ouest de Montréal. En voulant « nettoyer » le voisinage des seringues souillées et des trafiquants de drogue afin d'assurer la sécurité de ses enfants, il fait la rencontre d'une jeune prostituée, Ève. Son premier réflexe est de tenter de lui venir en aide, ce qui le pousse à revisiter son passé. Ancien toxicomane, il a reçu l'aide d'une intervenante sociale qui est ensuite devenue sa compagne, Madeleine. C'est maintenant à son tour d'aider une personne plus démunie que lui, même au risque de retomber dans ses mauvaises habitudes.
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- Forum Films
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- Remstar
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Revues de presse
Médiafilm
Portrait social dur et réaliste signé Benoît Pilon (CE QU'IL FAUT POUR VIVRE), DÉCHARGE possède une bonne intensité dramatique, malgré quelques éléments convenus dans le récit.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Inspiré du cinéma urbain et noir de cinéastes comme James Gray et Andrea Arnold, Benoît Pilon a opté pour une mise en scène simple, crue et dépouillée. La caméra bouge et se colle aux personnages, cherchant l’émotion pure. Le tout est magnifiquement interprété, notamment par un David Boutin et une Sophie Desmarais bouleversants.
Lire la critique complèteLecinema.ca
Très attendu second long métrage de fiction de Benoit Pilon, Décharge ne possède pas la même puissance évocatrice que son précédent Ce qu'il faut pour vivre. Reste qu'il demeure néanmoins une belle pièce de cinéma, notamment grâce à la solidité de ses comédiens qui comprennent David Boutin, Isabel Richer et l'excellente Sophie Desmarais.
Lire la critique complèteVoir
Âpre, dense, dur. Voilà en quelques mots comment on pourrait résumer ce quatrième long métrage de Benoit Pilon. Or, il serait bien injuste de le réduire à si peu, car si les lueurs d’espoir semblent bien pâles dans cette sombre peinture de milieu, on y trouve de prenants instants de poésie urbaine.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Décharge possède d'excellentes idées de départ et abonde de métaphores intéressantes. Le résultat final est toutefois plutôt inégal, les prémisses du scénario ne se concrétisant qu'à moitié, en partie à cause d'un scénario aux nombreux raccourcis et manquant parfois de profondeur.
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