Débordement
v.o.a. : Infinity Pool
C'est le temps des vacances pour James et Em. Le couple passe des vacances sur la plage d'une île isolée afin de permettre à monsieur de se ressourcer comme romancier. Leur rencontre avec la séduisante Gabi et le mystérieux Alban les incite à s'aventurer à l'extérieur de la station balnéaire. Après une journée bien arrosée au soleil, le retour sera plus difficile. La noirceur de la nuit pose des problèmes à James, qui heurte mortellement un homme avec son véhicule. Retrouvé par les autorités après un délit de fuite et passible d'exécution, le touriste signe un contrat qui scellera à jamais son avenir.
Distribution
- Alexander Skarsgard (James Foster)
- Mia Goth (Gabi)
- Cleopatra Coleman (Em Foster)
- Jalil Lespert (Alban)
- Amanda Brugel (Jennifer)
- Thomas Kretschmann (Thresh)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Film Forge.
- Hero Squared
- 4 Film
- Elevation Pictures
distributeur
- Entract Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Alexander Skarsgard est intense et très physique dans son jeu, face à une Mia Goth tantôt vénéneuse et sensuelle, tantôt criarde.
Lire la critique complèteLa Presse
Brandon Cronenberg se retient de répondre à toutes les questions philosophiques que pose son récit, et on finit par un peu renoncer à tout comprendre. Jusqu'à la dernière image du film, énigmatique, qui propose une toute nouvelle interprétation à ce que l'on vient de voir.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Exigeant et perturbant, Infinity Pool est une expérience viscérale qui se doit d'être vue sur grand écran afin d'expérimenter pleinement ce qui se cache derrière le simulacre et les faux-semblants.
Lire la critique complèteCinéfilic
Cronenberg, avec intelligence, développe un scénario dans lequel la tragédie prend les allures d'un cauchemar d'autant plus troublant que s'y croisent des sentiments presque perpétuellement contradictoires, passant régulièrement d'un état à l'autre (de la peur de la mort à un sentiment de liberté absolue qui prendrait presque des allures d'immortalité).
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Deux ans après le diablement efficace Possessor, Brandon Cronenberg revient avec Débordement, un nouveau film plus tordu que son prédécesseur. S'il s'avère moins convaincant, il permet tout de même au cinéaste de faire honneur à son héritage familial.
Lire la critique complèteLe Soleil
Avec son troisième long métrage, Débordement, le Torontois Brandon Cronenberg flirte avec la science-fiction pour confronter le cinéphile à des questions troublantes sur l'identité, l'autodestruction, le privilège et la responsabilité. Un voyage haletant et surprenant attend ceux et celles qui en acceptent la prémisse.
Lire la critique complète