Rédiger une critique
Vous devez être connecté pour pouvoir rédiger une critique.
Excellent
Encore une fois un excellent film de Jean Marc Vallée très bien rendu par la qualité et la performance des acteurs.
Très bon film
J'ai trouvé le film réaliste et vraiment intéressant,
Je m'attendais a voir un film de cowboy et de bandit, mais ce n'est pas sa dutout.
Ce film montre a quel point il est important de se battre pour notre vie. C'est un film très "humain".
Quelque passages drôle que j'ai bien aimé.
Film à voir :)
Dallas buyer club
Une merveille 2013 !
Oscars
McConaughey et Leto, superbes performances. d'acteurs. Bravo M. Vallée.
Un film correct
J'ai aimé le film mais j'ai trouvé un peu trop invraisemblable, un laid motel qui devient un lieu de vente de médicaments, la docteur (la fille)n'est pas crédible, tu vois l'acteur principal arriver avec un tige à soluté, de ou elle sort? Le film 2/5
Un film qui fait rayonner le Québec
Le Québec laisse peu à peu sa trace à Hollywood. Cette année, Denis Villeneuve (Prisoners) et Jean-Marc Vallée (Dallas Buyers Club) ont livré des films dignes des plus grands. Matthew McConaughey a ici donné sa meilleure performance. J'ai seulement trouvé que la fin s'étirait un peu.
Faut pas..
Exagérer, un film correct mais sans plus.
Une grande réussite
C'est avec un grand plaisir que je vous écris cette critique de Dallas Buyers Club, un film américain du réalisateur québécois Jean-Marc Vallée (C.R.A.Z.Y. (2005), The Young Victoria (2009), Café de Flore (2011)). Les films de Vallée ont souvent été remarqués dans plusieurs festivals et ont remporté plusieurs prix. Ayant déjà goûté à l'Oscar pour The Young Victoria (Best Achievement in Costume Design et nominé pour Make-up et Art Direction), on peut s'attendre à plusieurs nominations pour Dallas Buyers Club dans des catégories prisées.
Le film s'attarde sur l'histoire vraie de Ron Woodroof, un cowboy électricien du Texas macho et viril, alcoolique, raciste et accro au sexe qui apprend dans les années 80 qu'il est atteint du sida, alors que la maladie est reconnue pour plutôt faire des ravages du côté des homosexuels. Ostracisé par son milieu et bien décidé à se battre contre la maladie, Woodroof décide de trouver lui-même un meilleur moyen que celui qu'on lui offre à l'hopital pour augmenter ses chances de survie. Dans son parcours, il fait la rencontre de Rayon, un travesti atteint aussi du VIH. Ils s'embarquent ensemble dans l'aventure de la contrebande de médicaments en profitant d'un flou légal pour combattre à leur manière le sida.
L'histoire étant déjà, à la base, prometteuse, ils ont réussi à greffé à ce projet un Matthew McConaughey (Killer Joe (2011), Bernie (2011), excellent dans Magic Mike (2012)) plus motivé que jamais, prêt à perdre des dizaines de livres pour le rôle (38 livres en fait). Il est totalement méconnaissable, non seulement à cause du poids perdu mais aussi parce qu'il est totalement dévoué à ce personnage qui lui tient visiblement à coeur. Il est drôle, touchant, violent, profond, juste et ce malgré le tournage extrêmement rapide (25 jours!) et le bugdet du film incroyablement bas (évalué à seulement 5 millions!). Il n'y a pas de mot pour évoquer réellement la force de son interprétation. Il a déjà gagné des prix pour son interprétation (Rome Film Fest, Palm Springs International Film Festival, Hollywood Film Festival, Gotham Awards) et sa nomination aux Oscars n'est qu'une formalité. Le clan des acteurs qui ont réussis une transformation aussi incroyable ne comporte pas un si grand nombre de noms.
On peut y compter aussi par contre son acolyte Jared Leto qui joue ici merveilleusement un travesti mémorable. Il faut dire que M. Leto, aussi musicien, ne fait pas du cinéma pour rien. Son dernier fillm remonte à 2009 et on se rappelle son interprétation marquante dans Requiem for a Dream (2000). C'est d'ailleurs après un concert que Jean-Marc Vallée lui a demandé de jouer dans son film. Il nous offre un transsexuelle crédible qui ne tourne pas dans le grotesque ou le ridicule, utilisant tout l'humour et l'émotion possible. Il a perdu 30 livres pour le rôle et est resté dans son personnage tout au long du tournage, allant même à l'épicerie habillé en femme. Il a lui aussi déjà gagné un prix pour cette performance (Hollywood Film Festival) et il devrait aussi faire partie des invités d'honneurs aux Oscars.
Une seule caméra épaule, 5 millions, 25 jours de tournage, ce film est un réel tour de force. Jean-Marc Vallée (qui est crédité aussi comme monteur) réussit à garder sa signature bien à lui dans les scènes de fête, les hallucinations, cette signature qui nous rappelle C.R.A.Z.Y. et Café de Flore. Ce sont de belles trouvailes auxquelles Vallée greffe aussi une bonne dose d'humour (rare sont les fois où nous avons entendu autant rire la foule stoïque de la salle de cinéma). L'homophobie de Woodroof juxtaposé à sa relation avec Rayon nous offre des moments réellement touchants et totalement comiques. On se rappelera entre autres de la scène de masturbation en plan subjectif vraiment drôle comme d'un de ces petits détails qui exhalte les dimensions émotives, humaines et divertissantes du film. Il est fort à parier (et nous l'espérons) que Jean-Marc Vallée aura droit à une nomination (ou au moins les producteurs) aux prochains Oscars.
C'est un récit qui, en plus de nous toucher et nous divertir, nous fait réfléchir en nous offrant toute une dimension sociale sous forme de critique face à l'économie de marché qui s'empare du domaine de la santé, faisant des patients des cobayes prêts à payer de leur vie sans le savoir pour faire augmenter une compagnie en bourse. On nous aborde donc la question politique, économique et social du SIDA mais aussi de tout un système.
Les costumes et les maquillages sont fascinants à regarder. Les personnages ayant divers niveaux dans leur maladie, leur force, il est vraiment passionnant d'avoir l'impression de voir tantôt se creuser les joues, tantôt les couleurs plus normales de leurs visages revenir.
Bien que l'oeuvre soit unique, il est toujours amusant de réfléchir aux films auxquels nous pouvons penser pendant le visionnement. Il y avait un petit quelque chose de Philadelphia bien-sûr, de Argo, Erin Brockovich, Le Lutteur, et pour rigoler un peu j'ajouterais l'abonné télévisuel d'une autre époque L'Huile de Lorenzo. La dernière scène à savoir Woodroof qui fait du rodéo, elle, est une belle allégorie de la bataille que doivent mener les gens aux prises avec une maladie mortelle... s'accrocher de toute leur force pour survivre le plus longtemps que possible.
Je recommande ce film à tout le monde, pour son humour, sa justesse, sa maîtrise du récit et de la réalisation, pour sa leçon de jeu d'acteur, pour la fierté que cela apporte de voir le Québec et son savoir-faire briller d'une si belle manière à l'international.
fantôme errant dans la brume
il était bien inutile de nous résumer le film en phrases interminables...
on le savait déjà !
mais au fait, qu'est-ce tu espères avec ton avalanche de mots ???...un job comme critique ???...il aurait fallu commencer bien avant alors, hein ???...et en même temps tu rejoins la gang de "mémères" de bonnes femmes qui veulent s'approprier de l'espace public
pour faire valoir leurs propos cinglant de "matantisation" qui déferlent sur le Québec-
et vlan !
Bof
Comment tu m'expliques que le personnage principal voyage sous différents nom? Un motel qui devient un lieu de vente de médicament etc... Beaucoup d'invraisemblable.
Pauvres toi
Tu capotes pour rien, un film correct mais rien pour écrire à sa mère, pleins d'erreurs, le policier ami du personnage, pas crédible, la docteur, belle mais ordinaire, on voit que l'acteur a
tourné ses séquences maigres toutes d'une short, après, tu vois qu'il a grossi, un film que j'ai aimé mais que je recommande.....si tu as rien à faire.
J'allais le dire....mdrrr
Mais taupe, tu as raison mais caché derrière un pseudo, pas mieux toi non plus. Un film correct sans plus. Trop de mot pour ce film, lâches la matantisation, elle est sûrement sensible et naïve...mdrrr
Wow
Quel bon film touchant et bien joué! L'histoire semble exagérée voire invraisemblable mais on embarque. On reconnait la touche 'Vallée' avec sont utilisation de la musique de maître!
Belles images, surtout la scène avec les papillons...
ou est le libre arbitre
tres interessant de voir comment les gens doivent toujours se battre pour avoir le droit a la vie finalement
bon film
je remercie cinoche car ce fut une belle soirée de cinématres bon film et tres touchant et toujours de date car il y a autant de probleme maintenant que ce temps la.
:-)
Pas mal.
un "pas mal" court
on va loin avec un commentaire comme le tiens
"Night and Day"
Lui, Matthew McConaughey personnage «Solaire» («Day») se place Très-Très-Haut pour son interprétation rejoignantDe Niro (Raging Bull), Tom Hawks (Philadelphia),Sean Penn (Milk);
Lui, Jared Leto personnage «Nocturne» («Night»)se place Très-Haut aussi pour son interprétation magistralerejoignant (et surpassant ?) Michel Serrault (La Cage aux Folles),Dustin Hoffman (Tootsie),Terence Stamp (Queen of the Desert),Jaye Davidson (The Crying Game);
Et il fallait Vallée d’un doigté remarquablepour contenir ces deux «monstres» sur le plateau(on peut comprendre le «Tout Hollywood» des Super Starsde «vouloir» tourner avec des Québécois (Villeneuve, Falardeau,Girard, Lepage, autrefois Jutra avec Patty Duke), non seulement
ont-ils une maîtrise incroyable de la cinématographiemais aussi une direction d’acteurs «raffinée» et «d’aplomb»)
les Oscars ?
bien sur que les deux acteurs méritent une nomination mais dans quelle catégorie pour Leto ?
"Best Actor" ? Mais il sera en compétition avec McConaughey, non ?
dans la catégorie "Best Supporting Actor" alors ?
Oui mais...il fera face avec la "performance" de Paul Dano (le conducteur du véhicule motorisé dans "Prisoners")
le choix est tellement difficile que je souhaite que l'Académie
donne la statuette...aux deux!
Dallas buyer club
J'ai eu la chance d'aller voir le film en avant-première et j'en suis très content, car ce n'est pas une sorte defilm que j'ai l'habitude d'aller voir au cinéma. McConaughey joue peut-être bien le rôle de sa carrière et s'il peut être récompensé pour cette performance je vais en être très heureux. Le film peut semblé avoir quelques longueurs, mais j'aurais pas vu comment ils aurait pu réduire le temps du film.
Alors voici un film qui porte a réfléchir sur l'impact que le gouvernement et les grandes société voulant uniquement s'enrichir sur le dos des gens n'ayant aucun recours, mais le tous avec une très bonne touche d'humour...Ce film je le recommande a tous
Un des films de l'année
J'ai eu la chance de voir le film lors d'une projection spéciale ce soir à Montréal. Wow! Quel bon film! L'histoire est fluide, ce qui est une rareté au cinéma de nos jour, les performance de Matthew McConaughey et Jared Leto sont remarquables, et le film nous garde captivé jusqu'à la toute fin. Sujet important mais un peu difficile d'approche (autant par sa sensibilité que par les côtés techniques médicaux), le réalisateur démontre qu'il le maitrise plutôt bien et on le sent tout au long du film.
Jean-Marc Vallée a signé un autre succès, et souligne une fois de plus que le talent québécois en cinéma est réel, et qu'il va une fois de plus gagner du respect à travers le monde.
On va probablement voir ce film décrocher des nominations, et peut-être, qui sait, quelque prix (surtout pour les acteurs).
Vraiment, chapeau.
Dallas Buyers Club
Toute une performance de l'acteur M. McConaughey - C'est un film sans aucun tabou, qui nous démontre que, malgré la maladie et ses embuches, le but peut être atteintavec dela persévérance. Tout autour de ce combat, dont les préjugés, se développe l'amitié authentique.
Un bon film, mais...
Ce film a d'emblée tout pour plaire: un scénario somme toute bien rédigé, avec des dialogues souvent justes et parfois amusants, interprété par de bons acteurs qui livrent d'excellentes performances. Toutefois, certains détails peuvent agacer (notamment au niveau du montage), ce qui vient ainsi modérer mon appréciation du film. Dallas Buyers Club ne révolutionne donc pas le genre du drame intimiste porté par un protagoniste d'emblée antipathique (dans la lignée de The Wrestler, par exemple), mais s'avère quand même efficace malgré son conventionnalisme.