Conan le barbare
v.o.a. : Conan the Barbarian
Des années après la mort de son père aux mains du méchant Khalar Zym, Conan le Cimmérien traque l'assassin à travers le monde tout en combattant pour la liberté. Lorsqu'il retrouve sa trace, Khalar Zym, aidé de sa fille la sorcière Marique, est à la recherche d'une jeune femme au sang pur afin de ressusciter sa femme et d'ainsi conquérir le monde grâce à ses pouvoirs surnaturels. Voyant l'occasion de venger son père, Conan décide de protéger la jeune femme de ses assaillants et d'affronter Khalar Zym avant qu'il ne soit trop tard.
Réalisation
Scénarisation
studios
- Lions Gate Film
- Millennium Films
- Nu Image Films
distributeur
- Les Films Equinoxe
Revues de presse
Médiafilm
Un fort beau travail visuel a été accompli afin d'évoquer les illustrations originales de Frank Frazetta. Marcus Nispel, qui revisite ici certains éléments de son précédent Pathfinder, y va d'une réalisation robuste, certes tape-à-l'oeil, mais néanmoins efficace.
Lire la critique complèteCinema Blend
Even disjointed and somewhat disheveled, Conan the Barbarian is gritty enough and brutal enough that it's absolutely worth a look. Marcus Nispel knows how to shoot this kind of vicious battle story, and if only someone would've found a way to close up the cracks in its narrative, then maybe they'd have had something special.
Lire la critique complèteThe Gazette
At its best moments, Conan is goofy fun with extra testosterone. At its worst, it's repetitive, dull and transparent.
Lire la critique complèteLa Presse
Nispel a fabriqué un divertissement à l'image de son héros : peu sympathique, agressif, enragé et macho comme ça ne se fait plus (on a même droit à une scène de fesses !).
Lire la critique complèteUSA Today
But with a script so pat and humor-free, Momoa has little to do but sneer and slice. The film informs us that Conan has the heart of a lion and "the loyalty of a bloodhound," but we get nary a sniff of that in this carnage fest. He's built like a tank, but Conan emotes like one, too.
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