Colossal

Anne Hathaway and Jason Sudeikis rekindle an old friendship while giant monsters terrorize Seoul in this sci-fi oddity directed by Nacho Vigalondo.

It's unique creative spirit alone makes it a film well worth discovering and exploring, and while it's only getting a small release to start with, it's a film that will and most definitely should find an audience that will love it.

Anne Hathaway and Jason Sudeikis get blackout-drunk – and battle it out as huge skyscraper-sized creatures – in this genuinely oddball gem.

Mélange improbable de «Kaiju» (film de monstres japonais à la Godzilla) et de comédie «indie» américaine, Colossal étonne par les voies qu'il emprunte pour explorer les thèmes de la jalousie, la faible estime de soi et la résilience. 

Anne Hathaway's emotional problems have a Colossal impact in Nacho Vigalondo's comic fantasy.

Même si nous ne pouvons que regretter cette baisse de régime, admettons toutefois que Colossal demeure un divertissement agréable… d’autant plus qu’Anne Hathaway confère à son personnage un charme mais également une fragilité se transformant en force qui forment un tout particulièrement touchant.

Le charme de Colossal repose d'ailleurs, en très grande partie, sur sa tête d'affiche, Anne Hathaway. Elle y tient fort probablement l'un de ses meilleurs rôles.

But a woman finding her inner giant monster who kicks butt — that’s just so cool.

Cet objet étrange et original, difficilement qualifiable, est fascinant.

Sans être une réussite sur tous les plans, Colossal demeure sans contredit l'un des plus beaux bijoux de 2017 jusqu'à maintenant. Unique et délirant, il porte son nom à merveille car on souhaite ardemment que son empreinte sur le médium le soit et qu'il influence artisans et producteurs à continuer d'explorer cette manière atypique et foisonnante de faire rêver les cinéphiles.

Jusqu'à la fin, Colossal refuse de lâcher son ton comique pour parler des colères et des angoisses de ses personnages, rappelant tout notamment l'esprit féministe de l'univers de Joss Whedon ou encore du film Kick-Ass.

ne woman’s addictions manifest as a giant kaiju in this strange (and strangely funny) film from Spanish director Nacho Vigalondo.

Nacho Vigalondo adopte pour ces scènes du quotidien un style visuel très sobre, tout en retenu, les conversation étant filmées en champ/contrechamp presque comme dans un sitcom. Tout un contraste avec la démesure des scènes à Séoul avec les monstres gigantesques, les édifices qui s'écrasent et la foule qui hurle en essayant de leur échapper.