Rédiger une critique
Vous devez être connecté pour pouvoir rédiger une critique.
Mourir chacun de son côté.
Ce n’est pas un film pour se changer les idées qui nous a été offert à notre cinéclub local : on sort ébranlé à la fin du film. Tourner en noir et blanc n’est pas nécessairement un risque : le film « Manhattan » de Woody Allan a été oscarisé malgré qu’il était aussi en noir et blanc. Le réalisateur François Delisle a aussi fait le film « Le météore » qui m’avait laissé une forte impression. Il ne faut pas espérer de suspense ou d’action, car « Chorus » est plein d’intériorité : il se classerait plutôt comme un film d’art. Le meurtre d’un enfant unique est probablement le pire drame que puisse subir un jeune couple et ce sont 2 adultes blessés intérieurement qui ont les rôles principaux. Il y a peut-être un peu trop de nudité pour Sébastien Ricard.
un autre film mal distribué
...même pas une salle au Quartier-Latin ???
d'accord !...je reste chez nous donc !
Pour l'ambiance et les images
Un beau film qui fait mal. Des images magnifiques qui tranchent avec la douleur omniprésente dans le film. Des personnages profonds, intéressants, interprétés avec sensibilité... La perte d'un enfant est une réalité affreuse, incompréhensible et ce thème est traité intelligemment avec la petite touche d'espoir dont nous avions besoin pour continuer nos vies en sortant du cinéma!
non, vraiment pas.
:(
Commentaire
Je comprend pas qu' en 2015 , des gens paies pour voir un film en noir et blanc , ce qui est l' équivalent pour moi de payer pour aller se faire soigner un cancer dans un pays du tier-monde. Et ceux qui comme mme Lepage Boily dit que cela ajoute de l' intensité ! Je me demande bien ce que l' absence de couleur peu bien changer dans l' intensité ?
Pour avoir vu des dizaines de films en noir et blanc , (tv. années 60) et les avoir revus en couleurs (tv.années 70) , aucun m' a paru plus platte parce qu' il était en couleur , au contraire.
Un film intense
L'histoire est terrible et les protagonistes totalement écorchés. Il en reste que le tout nous captive et nous émeut. À voir !
