Chacun chez soi
Catherine et Yann forment un couple heureux depuis plusieurs années. Un jour, Yann quitte son boulot et se retrouve à la maison, à la recherche d'une nouvelle passion. Il la trouvera dans la culture des bonsaïs, chose que Catherine a du mal à comprendre. Plus cette passion se développe pour Yann, plus Catherine se sent seule dans son couple. Les choses iront de mal en pis lorsque leur fille Anna et son conjoint Thomas viendront s'installer avec eux, après avoir vécu un problème avec l'appartement qu'ils devaient louer. La cohabitation ne sera certainement pas chose facile pour ces deux couples que tout oppose dans la vie.
Distribution
- Michèle Laroque (Catherine)
- Stéphane De Groodt (Yann)
- Alice de Lencquesaing (Anna)
- Olivier Rosemberg (Thomas)
- Laurence Bibot (Mylène)
- Oriane Deschamps (Mathilde)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Alter Films
- StudioCanal
distributeur
- TVA Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Hélas, le scénario, qui emprunte autant à Tanguy qu'à Retour chez ma mère ou à la populaire série télévisée française « En famille », ne parvient pas à donner un éclairage nouveau ou original à son sujet.
Lire la critique complèteLa Presse
Sans passion, sans originalité et sans ressort, le film est en plus très court, soit 83 minutes. Il faut voir dans cette durée un autre signe que tout ça a été construit sur un grand vide.
Lire la critique complèteLe Parisien
Cash ou fourbe, premier degré ou de mauvaise foi, la comédienne et réalisatrice porte ce film avec une énergie revigorante.
Lire la critique complèteTélérama
Dans cette comédie du « monde d'avant », l'écologie en prend pour son grade : un amateur de bonsaïs est forcément un illuminé, et un promoteur de coton bio, un arrogant. L'émotion est doucereuse et la médiocrité, portée en étendard.
Lire la critique complèteLa voix du nord
On ne s'inquiète pas pour ce deuxième film de Michèle Laroque dont l'enthousiasme et la popularité sont intacts. Il nous a juste semblé que le pitch faisait long feu, qu'on bifurquait rapidement dans le vaudeville, et que les comédiens (...) ne jouaient plus forcément tous dans le même film.
Lire la critique complète