Le blanc du Nord
Le véritable créateur combine, autour de ses émotions immédiates, les événements que la tradition lui impose, l'obligation ou plus simplement l'habitude de célébrer. Et ce n'est pas l'événement qui est le départ réel, c'est l'émotion immédiate; la naissance, la mort, l'homme à sa tâche, les rapports de toutes ces choses avec la lumière, l'espace, les agitations du coeur. Alors, il suffit de copier? Encore faut-il savoir copier. Savoir copier, c'est savoir résumer, simplifier, choisir, accentuer. Copier, c'est dégager d'un chaos de sentiments confus les cimes expressifs où s'attache l'émotion et que réunit la pensée par des passages assez subtile pour ne laisser émerger que ces cimes tout en montrant avec évidence leur rapport de continuité. Début fracassant pour un premier long qui a représenté le Québec (via le Canada) aux Oscars dans la catégorie meilleur film étranger... « dans une langue autre que l'anglais ». Enfin! les lettres de noblesse pour la société de production ACPAV. 10 fois bravo à vous tous!
Le meilleur film québécois
C'est, selon moi, le meilleur film québécois de tous les temps. Tout y est tellement subtil, intelligent. Pas de clichés sur les « méchants blancs contre le bons inuits », c'est la réalité de la vie dans toute sa splendeur. Les acteurs sont d'une justesse qui frise le génie. C'est certainement un candidat très sérieux à l'Oscar du meilleur film étranger.
Un film touchant
C'est un film dont je vais me souvenir longtemps. C'est touchant, intelligent et j'imagine encore d'avantage pour les gens qui, comme moi, ont connu cette époque (années 50-60). L'interprétation de tous les comédiens est d'une telle justesse. On se laisse prendre à s'attacher à Tivii et à Kaki ainsi qu'à la jeune infirmière qui semble être la seule à comprendre le désarroi de Tivii. Du cinéma comme je l'aime!
Ce qu'il faut pour faire un bon film
De bons acteurs, dont principalement Natar Ungalaaq, une belle photographie (surtout ces belles images du Grand Nord), une belle histoire et beaucoup d'humanité.
J'ai adoré!
Vraiment à voir! J'ai reconnu la beauté intérieure, la combativité et l'humanité des Inuits et du peuple autochtone! J'ai adoré tout simplement!
Beau film
Ce qu'il faut pour vivre est un excellent film touchant avec de bons comédiens comme Vincent Guillaume Otis et Evelyne Gélinas. Vous allez passer une très bonne soirée en allant le voir, même en famille. On dirait un conte-documentaire.
Film pour les plus vieux!
Ennuyant quand tu as entre 25 et 35 ans!
Excellent
On devra peut-être inventer de nouveaux qualificatifs. Natar Ungalaaq est tout à fait fantastique. Absolument d'accord avec la critique de Cinoche.com, mais j'aurais donné quatre étoiles et peut-être même y ajouter une demie. À voir et à revoir.