Carol

Bouleversant sur le fond, sublime sur la forme, Carol est surtout un écrin parfait pour deux actrices joliment complémentaires: la délicate et timide Rooney Mara et l'impériale Cate Blanchett, capable d'exprimer une multiplicité d'émotions en un seul regard.

Carol est, d'évidence, l'un des plus beaux films de l'année.

Long métrage magnifique et sans tabou, parmi les plus touchants cette année.

Tant Cate Blanchett que Rooney Mara sont impressionnantes dans cette histoire d'amour lesbien, mais il leur manque un peu de chaleur pour nous convaincre.

Les films qui ont la grâce de se faire œuvre, l'intelligence de miser sur toutes leurs forces, l'énergie de s'abandonner à plus grand qu'eux ne sont pas si nombreux. Carol, bouleversant et impérial, est de ceux-là. De ceux que l'on voudra chérir autant que cette liberté qu'il laisse briller comme un phare.

Ainsi libéré du joug un peu trop artificiellement restitué d'une société oppressante, le film gagne en qualité et finit par laisser au spectateur le sentiment d'avoir visionné un très bon film servi par deux interprètes remarquables!

Cate Blanchett and Rooney Mara give brilliant performances in Todd Haynes' exquisitely drawn adaptation of Patricia Highsmith's 1950s lesbian love story.

And he's taken what was once a taboo love story and has allowed it to speak to us with a directness and clarity that would have been hard to imagine more than six decades ago.

Sexuality and repression clash in gorgeous, aching adaptation of Patricia Highsmith‘s groundbreaking lesbian novel.

It's one of the year's very best films.

While the narrative on the whole is ultimately very straightforward and uncomplicated, the weight is provided by some tremendous performances, incredible style, and a magnificent score.

Anyone who has ever loved someone else will recognize these people and their emotions; movie fan or not, you'd be unwise to deny yourself Carol.

Groping through the accumulated bric-a-brac of cinema's signs and signifiers toward the light, he proves in Carol that deconstruction can be gloriously romantic.

The surfaces in Carol are so seductive that one understands the ache to belong in that world.