Capitaine Marvel

Parmi tous ces revirements de situations prévisibles et tous ces personnages unidimensionnels, Brie Larson s'en tire admirablement bien dans le rôle-titre en se détachant de l'héroïne. On dirait qu'elle se regarde de l'extérieur en train de jouer à Captain Marvel, comme une enfant qui se laisserait prendre au jeu.

Donc, si on se résume : une super­héroïne, trois femmes au scénario, une autre à la trame sonore et une coréalisatrice. Un vrai Girl Power. 

Une femme à la rescousse des superhéros les plus puissants ? Voilà qui démolirait irrévocablement le super-plafond de verre.

Malheureusement, l'envol de celle-ci est compromis par les détours tortueux et inutilement alambiqués du scénario. 

The girl power (and grrl power) ring out loud and clear, if a bit hollow.

The film may not always own up to its own political implications, but the girl-power and 90s retro aspects are fun, even when overplayed.

The best reason to see the movie is Larson (...).

As a Kree warrior who lands on earth and discovers she's not who she thought, Brie Larson lights up a Marvel superheroine film from within.

First female-led Marvel movie gives us a superheroine for the ages.

The performance is fine, if not exciting or inspiring.

(...) it's likely to please a ton of fans looking for a little bit of empowerment and inspiration.

A fantastic hero debut within a spectacular and twist-filled, 1990s-set adventure.