Café de Flore
v.o.f.s.-t.a. : Café de Flore
À Montréal, en 2011, Antoine, un DJ, vit le véritable amour avec Rose. À Paris, en 1969, Jacqueline élève seule un enfant handicapé qu'elle aime de tout son coeur, Laurent. Elle insiste pour qu'il fréquente l'école avec des enfants normaux. Séparé de Carole, Antoine partage avec elle la garde de ses deux filles, qui vivent difficilement la rupture. Carole, elle, n'arrive pas à se résigner et est atteinte d'insomnie, ce qui lui occasionne des visions d'horreur d'un effrayant petit garçon. L'amour d'Antoine et de Rose vient bouleverser leur famille, tandis que la rencontre entre Laurent et Véronique, une petite fille trisomique comme lui, bouleverse la vie de Jacqueline.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Item 7
- Crazy Films
distributeur
- Alliance Vivafilm
Revues de presse
Médiafilm
Cette célébration de l'amour maternel et charnel sur fond de méditation métaphysique risque de laisser plusieurs spectateurs perplexes. Du reste, les développements respectifs des deux intrigues parallèles sont d'une force dramatique inégale, avec un net avantage pour le volet parisien.
Louis-Paul Rioux Lire la critique complètePanorama-Cinéma
Là où ça se complique toutefois, c'est lorsque le cinéaste tente d'aller plus loin que ce qui est réellement nécessaire, capitalisant sur une symbolique beaucoup trop chargée frôlant le ridicule plus souvent qu'autrement. Il est évident que Vallée cherche tant bien que mal à pousser le spectateur vers un état d'innocence, et ce, autant par le choix de ses thématiques que par la façon simplette, voire parfois moralisatrice, dont il les déploie à l'écran.
Jean-François Vandeuren Lire la critique complèteThe Gazette
What works best is the contemporary love story. There's a visceral force to this separation drama that can't be ignored. The downside is the fact the film takes so long to reach its cruising speed. But even a flawed Vallée film beats most everything else at the multiplex these days.
Brendan Kelly Lire la critique complèteJournal de Montréal
C'est un superbe trip cinématographique que s'est offert Jean-Marc Vallée avec Café de Flore, un film ambitieux, riche et fascinant qui, malgré quelques défauts, envoûte et bouleverse profondément.
Maxime Demers Lire la critique complète24imag
Or, si le récit de Jacqueline et Laurent se révèle touchant (notamment grâce à l'excellent travail de Vanessa Paradis et Marin Gerrier), la contrepartie montréalaise piétine et s'embourbe, flirtant parfois avec le quétaine, jusqu'au happy end final où tout un chacun surmonte définitivement ses peurs et angoisses.
François Jardon-Gomez Lire la critique complèteThe Hollywood Reporter
There's probably a decent enough film lurking somewhere in this overlong, overcomplicated, double-pronged, supernatural-tinged tale of amour fou, but it's frustratingly absent from his final cut.
Neil Young Lire la critique complèteLecinema.ca
Ce séduisant verni cache un scénario souvent déficient, beaucoup trop dans le tape-à-l'oeil et l'exercice de style que dans l'essentiel.
Martin Gignac Lire la critique complèteVoir
Si le volet mettant en scène Vanessa Paradis touche davantage que celui, par trop esthétisant, avec Kevin Parent, notamment grâce aux scènes d’une belle justesse entre elle et le petit Gerrier, Café de Flore s'avère une odyssée musicale hypnotique et atmosphérique.
Manon Dumais Lire la critique complèteFilms du Québec
Si la technique et l'interprétation sont irréprochables, on ne peut pas en dire autant du scénario qui souffre de plusieurs faiblesses. Au final, Café de flore est un film ni totalement réussi, ni totalement raté, mais qui procure tout de même au spectateur une expérience au dessus de la moyenne.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complèteLa Presse
On regrettera une narration parfois appuyée et quelques transitions brusques, qui n'empêchent pas Café de Flore, à mon sens, d'être une oeuvre forte et bouleversante sur la subtilité des rapports amoureux.
Marc Cassivi Lire la critique complète