Rédiger une critique
Vous devez être connecté pour pouvoir rédiger une critique.
Mauvaise origine du film
Le film est d'origine de la France pas des États-Uniens.
From Paris with love
From Paris with Love fait partie de toutes ces petites réalisations signées EuropaCorp qui commence par nous fatiguer, tant celle-ci sont tout le temps montées sur la même structure: Luc Besson au scénario, un réalisateur faisant partie de l’écurie Europacorp aux commandes et une histoire assez simple, ayant pour but de mettre en évidence une partie de la France (Paris en général), avec des scènes d’actions à n’en plus finir, une musique omniprésente. Afin de garantir au mieux son investissement et son rendu à l’internationale, Luc Besson intègre des têtes d’affiches, pour ce nouveau volet, ils sont deux: John Travolta et Jonathan Rhys Meyers, au détriment de la qualité laissant le spectateur avec le sentiment d’avoir été enter loupé sur la marchandise tant on lui livre une vision abrutissante du monde dans lequel il vit.
Des les premier quarts d’heure du film, on sait que l’on ne va pas assister à du grand Besson qui nous avait habitué à mieux et qui surfant sur le succès (mérité ou non) de Taken a voulu réitérer la donne. On nous donne donc un peu de suspens stupide dans cette première partie: mettre un micro avec un chewing-gum dans le bureau du ministre des affaires étrangères, ou des traces de sang qu’il découvre en rentrant chez lui, bref du grand suspens insoutenable dont on ne croit pas une seconde et dont on se dit que Luc Besson a sorti afin de faire attendre et saliver encore un peu plus les spectateurs impatients de voir Travolta avec un look ravageur, sauf que on le découvre en agent secret qui en fait des tonnes, rôle d’un agent cliché de l’américain raciste qui se croit tout permis même à l’étranger, sortant des grossièreté à chaque phrase et aimant arme et hamburger (clin d’œil assez stupide à Pulp Fiction), on aura droit dans un seul film, deux histoires: récit d’initiation complètement débile limite au ras des pâquerettes étant donné que Reese devra apprendre le métier d’agent secret initier par Wax, en s’endurcissant tout en restant cool (la cocaïne aidant pas mal) et tapant sans réfléchir, c’est donc de cela que va traiter tout le film, avec des scènes d’actions (fusillades ou poursuites, comme dans tout les Besson) entrecoupées de vannes assez grasses, au détriment de la trame principale dont on n’aura pas compris la totalité de la mission, tant cette dernière est mise en arrière plan: une histoire de cellule terroriste qui doit être démantelée et alors que on se disait perdu dans ce film sans intérêt, voila que Besson sort sa botte secrète afin de relancer l’action: la petite amie de Reese est démasquée… pathétique. Si on regarde de plus prêt From Paris with love, on s’aperçoit que tout est à sujet de chamailleries, fusillades: un mauvais plat servi dans un restaurant chinois, une bande de jeu provoquant les deux héros…bref tel un jeu vidéo, les scènes d’action s’enchainent accumulant le nombre de morts, dont on aura droit aux effets de ralentis lorsqu’une victime se prend une balles dans la tête ou autre. Le tout est empaqueté avec la vision attristante du communautarisme, les chinois font du trafic de drogue, les pakistanais proxénètes et fabriquent des bombes et enfin les jeunes de banlieue deals de la cocaïne, pour finir l’attentat sera perpétré au nom d’un fondamentaliste religieux dont on ignore à la sortie de la salle ce que ce dernier voulait. From Paris with love véhicule donc son lot de clichés à ce sujet dans un film qui se dit de divertissement, cela provoque une image néfaste des différentes classes présentes dans le film, dommage connaissant le poids que le cinéma peut avoir, en effet il aurait été possible que le cinéma dissoudre les idées reçues et puisse participer à la conception d’échanges et de discussions à ce sujet.
On ne peut reconnaitre au film que le changement que l’équipe d’Europa a opéré, en effet le film surpasse et explose les barrières morales et ouvre désormais les vannes sans la moindre retenue, offrant ainsi à la dernière œuvre de Pierre Morel un large choix de tableau exploité: racisme, misogyne, clichés en cascade….bref on est bien loin du divertissement annoncé.
Le film est en fait à l’opposé de ce que Taken était (lui qui se prenait eu sérieux était en fait rigolo)
From Paris with love est donc un mix de Taxi 3, des films de la filmographie de Steven Segal et un épisode raté de 24 heures chrono, car tout est mauvais: les scènes d’actions sont ennuyeuses: fusillades inutiles, poursuite en voitures qui ne se finissent pas. Et l’histoire aussi est très difficile à comprendre: que vient faire la prostitution dans le film et le rapport entre cocaïne et terrorisme?, le film aura l’avantage de servir de vitrines pour Pierre Morel qui grâce à ce film et à Taken de partir tourner aux Etats-Unis, comme la fait Louis Leterrier, il confirme ainsi ces qualités et fait ce qu’il peut avec ce qu’il a entre ses mains. Car la où ca ne passe pas, c’est que cette réalisation assez sérieuse et bien rythmé ne colle pas au sujet du film, n’apportant pas ainsi le fun nécessaire que l’on aurait du avoir dans les scènes d’action et préférant plus misé sur le duo.
From Paris with Love est donc plus un hommage au film d’action de série B que les excellents qui nous a été offerts de voir, on est très loin de la qualité et de l’esprit de Taken. Bref cette dernière production de Besson est à voir par curiosité mais ne mérite pas de s’y attarder.
Une blague peu drôle
Un film autant pathétique que mauvais qui n'a même pas le mérite d'être drôle ou même divertissant. Une réalisation pétaradante pour un scénario sans fond où s'enchaînent une succession de situations improbables et décousues. À fuir absolument, quoique le film risque de plaire à un large public, malgré tout, et, ça, c'est sûrement le plus regrettable.
Humour et action
Ce film offre de très bonne scènes d'actions qui sont nombreuses. Il n'y a pas de longueurs et John Travolta et Freddy Meyer sont très bon dans ce film. L'histoire est intéressante aussi sauf qu'elle prend une drôle de tournure qui rend le film un peu moin intéressant à la fin. J'ai tout de même bien aimé ce film.
Actions-Réactions
Travolta est à son meilleur dans ce rôle tandis que Rhyes-Meyers est étonnant. Ce film d'actions devient un pur divertissement. Les réactions sont dans la salle car tout le monde s'amuse. Pas de stress pour le public, juste du plaisir à l'américaine.
Bienvenue à Paris
De l'action en masse, des poursuites en voiture et à pied effrènés, du rire assuré avec un Travolta à son meilleur avec en prime Luc Besson et Pierre Morel pour diriger le tout comment demander mieux.
Rire assuré
C'est le première fois que je ris autant en écoutant un film d'action. Vous voulez vous changez les idées. Vous payez un bon rire. C'est le film à voir.