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Excellente performance des acteurs
Je suis allée voir le film et j'ai adoré surtout le rôle principal incarné pour Bob Marley et celui de Rita. Je ne connaissais pas toutes ces chansons mais celà m'a permis de connaître sa vie et sa carrière, petit bémol j'aurais aimé entendre la chanson Could it be love, je vous recommande d'aller voir ce film pendant qu'il est encore à l'affiche au cinéma.
One Love
Quelle histoire, je connais ses chansons mais pas sa vie comme dans ce film que j'ai beaucoup aimé les acteurs sont excellents tout de ce film est vraiment fantastique je recommande d'aller voir ce film le plus vite possible sur grand écran.
Très bon film !
Moi et ma femme avons bien aimé|ce film, on apprend beaucoup sur Bob Marley et le Rastafarisme aussi, c'est un message de paix et touchant aussi par moment enfin un bon film relax qui sont malheureusement de plus en plus rare depuis quelques années!
Fragments (peu convaincants) de Bob.
Chaque année nous livre ses films biographiques sur des personnalités plus ou moins connues du grand public. Mais au sein même de ce genre que les cérémonies de récompenses affectionnent, il y a le fameux - et souvent synonyme de succès - biopic musical narrant la vie d’une star de la chanson ou de la musique la plupart du temps décédée (mais pas toujours). Récemment on a eu le génial et vibrant « Bohemian Rhapsody » sur Queen et Freddie Mercury, le moyen « Rocketman » sur Elton John, le tout juste sympathique « Whitney Houston, I wanna dance with somebody » et enfin le flamboyant et magnifique « Elvis ». On peut ajouter à cela l’un des films les plus nommés aux Oscars cette année : le très réussi « Maestro » de Bradley Cooper sur le compositeur Leonard Bernstein mais sorti sur Netflix. Et bientôt arrivent « Back to Black » sur Amy Winehouse et « Monsieur Aznavour »... Bref, un vrai sous-genre en soi que ces œuvres narrant la vie de stars de la musique! Dire que celui sur le grand Bob Marley était attendu est un énorme euphémisme. Et on en sera donc pour nos frais tant c’est une grosse déception et qu’il se regarde sans passion ni entrain. Ce grand homme, ce mythe, méritait clairement bien mieux...
En effet, le réalisateur de « King Richard » qui a valu un Oscar à Will Smith semble se heurter à la taille de ce fameux mythe et il se le prend en pleine figure, nous rendant une copie lisse, sans aspérités et surtout qui ne nous apprendra pas grand-chose sur l’homme, sa musique et ses combats. Tout semble survolé et la durée du film n’arrange rien. Même s’il est mort jeune, une œuvre d’à peine une heure et quarante-cinq minutes semble bien trop courte et elliptique. Et, paradoxalement, il y a beaucoup de lenteurs dans ce « Bob Marley – One love » qui font qu’on trouve le film un peu longuet. Une explication de ce loupé viendrait peut-être du fait que le scénario a dû avoir l’aval de la famille du chanteur, ce qui éclaire un peu ce côté purement retranscrit, comme une gigantesque bande-annonce faites d’éléments déjà connus de sa vie. Et même si le script s’essaie à ne pas être une biographie linéaire en se focalisant sur deux années de sa vie, il s’oblige à insérer des flashbacks parcellaires pour combler les trous de l’enfance et de l’adolescence. Et si ceux-ci sont mignons et baignés dans une belle lumière chaude, ils sont mal insérés et ne racontent pas grand-chose.
Au final, ce biopic sans aucune personnalité survole l’incroyable carrière, la toute aussi incroyable aura et les vibrantes convictions d’un homme qui a marqué le monde de sa musique et y a laissé son empreinte. On ne ressent pas cela ici. On regarde « Bob Marley – One love » comme on feuilletterait les pages d’un magazine dans une salle d’attente. Ce n’est pas déplaisant pour autant et on prend plaisir à entendre les musiques cultes du chanteur mais on aurait voulu frémir, voire être touché par la grâce, mais cela n’arrive jamais. Le principal bon point du film demeure Kingsley Ben-Adir dans la peau du reggaemen. C’est un choix judicieux. S’il ne ressemble pas à proprement parler au chanteur (il est peut-être un peu trop beau), il se donne à 200% - notamment dans les scènes de concert - et livre une prestation irréprochable. Et c’est aussi lors de moments plus intimes avec l’amour de sa vie que le film devient plus précis et émouvant. Malheureusement ils sont rares. A contrario, toute ce qui concerne la notion de Jah, le Dieu des rastas, est mal exprimée ici et restera trouble pour tout profane. Bref, une déception pour un artiste qui méritait mieux que ce film générique et un peu bâclé.
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