Black or White
Depuis que sa fille est morte en couche, Elliot a toujours bien pris soin de sa petite-fille Eloise. Les années se sont écoulées en bonne harmonie, jusqu'au jour où son épouse a rendu l'âme dans un accident de la route. Éploré, se réfugiant dans la boisson, Elliot n'est pas au bout de ses peines. La grand-mère paternelle cherche à obtenir la garde d'Eloise et elle ira jusqu'au procès pour y parvenir. Les deux familles se préparent en montant des dossiers impeccables, mais l'arrivée soudaine du père toxicomane d'Eloise risque de changer la donne.
Réalisation
Production
Scénarisation
Studio
- BlackWhite
- Sunlight Productions
- Treehouse Films (II)
- Treehouse Productions
- Venture Forth
Distributeur
- D Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
L'ensemble est illustré sans imagination ni éclat, à la manière d'un téléfilm aux visées édifiantes.
Lire la critique complèteCinéfilic
Le réalisateur semble ici complètement éteint, offrant du coup une mise en scène quelconque dans une production qui l'est tout autant.
Lire la critique complèteJoblo.com
It also gets pretty mawkish, to the degree that many people will be turned off right from the get-go, although it will certainly play well with an older audience (my parents will love this).
Lire la critique complèteRolling Stone
Writer-director Mike Binder, who worked beautifully with Costner on 2005's The Upside of Anger, finds himself on the downside of juggling stereotypes.
Lire la critique complèteRogerebert.com
This movie is the kind of failure that makes you frustrated and sad rather than angry. Its heart is in the right place, but its mind is confused.
Lire la critique complèteLa Presse
Le constat est d'autant plus dommage à faire que Costner laisse parfois entrevoir le bon film que Black or White aurait pu être si le scénariste avait fait l'effort d'imaginer une intrigue plus costaude que celle d'un téléfilm ordinaire.
Lire la critique complèteSéquences
Costner surtout dans son témoignage dans ce prétoire montre qu'il peut encore être un fort acteur mais l'ensemble reste malgré tout dans les tons plutôt gris loin de l'opposition de ses titres original ou second.
Lire la critique complète