Bird

Mélange déconcertant de récit d'apprentissage et de drame fantastique. Récit lent à démarrer. Réalisation nerveuse, caméra à l'épaule. Bonne interprétation.

Tous ces personnages ne cherchent finalement que l'amour. C'est pour cette raison que Andrea Arnold les filme avec tant d'acharnement. Une façon comme une autre de rendre hommage à la source géographique de son inspiration.

Si ce nouveau long-métrage n'atteint pas la force de Fish Tank, il reste servi par des acteurs au meilleur de leur forme, qu'il s'agisse de Barry Keoghan, Franz Rogowski ou encore la jeune héroïne (une découverte), Nykiya Adams.

Andrea Arnold livre un long métrage en forme de conte surréaliste. 

Like the butterflies and pockets of natural beauty that Bailey is drawn to, there are glimmers of potential in Bird. But it never fully manages to take flight, leaving its provocative conclusion more jarring and confusing than revelatory.

The film is Arnold trying to have the integrity of her severity and eat it too. Bird is a feel-bad movie that turns into a feel-good movie. What it never feels like is a totally authentic movie.

Thanks to the director's magisterial knack with actors (especially non-professionals such as terrific adolescent discovery Nykiya Adams, who, as the protagonist, is in nearly every frame of the film), the result is quite entrancing.