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hum patriarca
Insignifiance et anachronie
Que je considère ce film au premier, second, troisième degré ou énième degré, j'en arrive toujours à la même conclusion: insignifiance ! Ce film aurait pu avoir une certaine pertinence à la fin des années 50 ou au début des années 60, mais aujourd'hui il nage en plein anachronisme. Alors pourquoi est-il si populaire ? Pour les mêmes raisons que les films qui évoquent nos coups de cœur de l'enfance le sont, comme les films Marvel, par exemple. A cet égard, Barbie tape dans le mille puisqu'elle été tout à la fois l'idéal féminin des petites filles et l'objet sexuel fantasmé des petits garçons d'hier, devenus les consommateurs d'aujourd'hui.
20 mots de trop
La fin de votre critique vient confirmer que vous faites partis de ceux qui laissent une critique sur un film qu'ils n'ont pas vu. Essayer d'être plus subtil dans votre hate.
« Si tu n’aimes pas Barbie tu est misogyne »
@ jamesgf96 Tu perds toute crédibilité en disant que les gens qui n’ont pas aimé ce film sont misogynes. Les gens aiment beaucoup sortir ce mot en 2023 pour n’importe quelle raison ;) Ce n’est pas parce que quelqu’un n’aime pas quelque chose concernant des femmes (comme un film par exemple) que celui-ci déteste toutes les femmes… Où est la logique?! Ils ont tous les droits d’aimer ou de ne pas aimer ce qu’ils veulent. Et tu es allé encore plus bas avec ton « homme blanc hétéro »…. On s’en fiche complètement de sa couleur de peau ou de son orientation, tu es justement le problème de la société d’aujourd’hui. Je redis ce que j’ai mentionné, tu n’as aucune crédibilité. Reste sur Letterboxd ;) Tu sais que ce site est manipulé right?
Pour ce qui est de Barbie, le film contient de beaux décors, des bons acteurs et une trame sonore efficace, mais l’histoire laisse à désirer… Le première heure est bonne, mais le film s’enfonce dans des fausses morales mal exploitées. Je sais que ce film ce veut démonstratif de la difficulté des femmes dans la société et c’est un beau sujet, mais la manière dont c’est fait est mauvaise. Beaucoup trop « in your face ». Greta Gerwig était si bonne avec Little Women et Lady Bird pour nous parler du féministe de façon subtile et de bon goût. Cette fois-ci elle nous lance le tout en plein visage et nous laisse un goût amer en bouche. Le mot « patriarcat » est dit au moins 25 fois, à un tel point que ça devient ridicule et on se demande si ce n’est pas devenu une parodie. Le film perd de la crédibilité et de l’intérêt. L’envi de laisser un « message » est devenu trop à l’avant et détourne l’excitation du spéctateur. Je sais que ce film ce veut une caricature de la société, mais la façon dont le tout était fait m’a fait décrocher du film. TOUS les hommes sont absurdes et ridicules… Combattre le sexisme par le sexisme c’est comme battre le racisme par le racisme. Aucun sens. Bref, j’aurais aimé une histoire, un message mieux élaboré et un ton moins caricaturale. Au moins Margot Robbie et Ryan Gosling étaient excellents dans leur rôle.
Éthique plastique
La force de Barbie réside dans son caractère atypique et non-conventionnel, et ce dès les premières secondes du film. Cela peut sembler paradoxal mais c’est également sa faiblesse. Malgré des jeux d’acteur excellent avec Margot Robbie et Ryan Gosling au sommet de leur art, et bâti sur un univers plastifié et féérique, tenir le spectateur par la main tout en lui laissant le plaisir d’explorer n’est pas tout le temps réussi. On peut facilement se perdre dans cette histoire aux nombreux personnages qui en montre beaucoup, peut-être un peu trop. Il faut donc jongler entre l’aventure et les deux thèmes principaux du film qui sont le féminisme et le patriarcat. On ressent une volonté de vouloir divertir et conscientiser le spectateur tout à la fois en le forçant à sortir de sa zone de confort. C’est là que le bât blesse: le divertissement prend beaucoup de place et les moments de gloire féministe sortent par intermittence par tirades interminables au lieu d’être développés crescendo. Les idées sont bonnes mais l’équilibre est difficile à maintenir. En effet, la façon d’aborder le féminisme et le patriarcat est originale et amusante mais le message est déjà connu pour ne pas dire répété encore et encore, encadrés des mêmes clichés qui sont malheureusement devenus une affligeante normalité dans notre société. Lesdits clichés n’ont plus le poids qu’ils devraient avoir, on ne prend pas la claque en pleine face qui aurait eu l’effet de conscientisation escompté. Cependant les extrêmes du patriarcat et du féminisme sont confrontés dans la réflexion et la discussion et la fin du film ne tombe pas dans le piège de l’utopie ou de la mièvrerie : le tout est plutôt rafraichissant et bien pensé. Barbie va amuser une partie du public mais pas l’autre. Choisir le cadre stéréotypé de Barbie pour y intégrer des sujets d’actualité est judicieux mais à vouloir trop en faire, on peut perdre l’objectif initial de la réflexion au profit de la recherche du divertissement. Barbie est un conte dont le pays imaginaire n’est pas une réalité alternative ou une facette du multivers mais bien la projection sous forme plastique de nos défauts en tant que société. Difficile de garder cela en tête pour absorber complétement le message sans être constamment submergé par des décors ultra-colorés qui inhibent toute pensée critique. Bon film!
Très divertissant
Un bon film très coloré. Je ne crois pas que ça parle beaucoup à une clientèle 60+.
Pas certain de votre critique
De mon observation lors du visionnement j`ai remarqué que les jeunes en bas de 15 ans S`emmerdaient royalement et que d`autres jeunes demandaient à leurs parents de sortir de la salle de cinéma.
incroyable
tout simplement. allez voir ce film
Adoré! je retourne le voir!
J'ai adoré ce film! Ce sera la première fois que j'irai voir un film pour une 2e fois au cinéma.
Le monde de Barbie
Je n'avais aucune attente et j'ai été agréablement surprise. La musique est entraînante et le monde de Barbie est trés bien fait. Un film coloré, drôle et divertissant.
Patriarcat VS matriarcat
Comment une excellente réalisatrice comme GRETA GERWIG a t`elle pu tomber si bas avec ce film qui nous fait la morale pendant presque 2hres. avec son patriarcat et son matriarcat ? La musique électro pop d`aujourd`hui que l`on entend durant la majeur partie du film ne convient pas aux années 60 dans lequel nous sommes plongés durant la partie qui se déroule à BARBIELAND....Malgré une mise en scène spectaculaire et des costumes flamboyants le reste du film nous donne une envie de crier ; c`est assez, on a compris que MATTEL est heureux des millions que ce film va lui rapporter. P.S. Ce film s`adresse plus aux adultes qu`aux jeunes enfants.
Très déçue !
J'ai été très déçue , je ne m'attendais vraiment pas ce que j'ai vue , selon moi c'est dérisoire.
Par contre la musique était très bonne
Barbie
Bonne histoire, les effets spéciaux sont divertissant, les comédiens-nes fantastiques et la musique excellente.
Barbie
Bon film pour ados et adultes, certaines notions apportées sont très bonnes et adéquates. Univers rose idéalisé du rêve des petites filles, comme la Barbie était. Barbie évolue et veut changer certains paradigmes . Un parallèle juxtaposé entre le monde du rêve et du réel qui amène une réflexion sur les relations entre filles et garçons et les stéréotypes déjà établis et le patriarcat qui domine dans plusieurs pays qu'on veut faire taire.
Un petit plaisir facile mais qui fait réfléchir
What a great funny taught provoking movie, the directing is masterful, having Helen Mirren voice as narrator add a layer, Ryan Gosling as Ken is wonderful, and of course Margot Robbie is perfect for that Barbie that develop an independent taught process. In fact all the cast is superb. They are so many informations about Barbie & references to the trends (that it is amazing that this movie was only 2 hours) in our society over the last 50 years but they given with humour. I will go see it again.
Lorsque je vais le revoir se sera en français et je me demande si la traduction va introduire une version bien différente? Parfois des choses se perdent dans une autre langue, certes les gages visuels restent, mais ici je pense au film BookClub, Last Chapter...que j'ai vu dans les 2 langues et la version française était allégée par la traduction des doubles ententes à connotation sexuelle.
Barbie
Très mauvais. Beaucoup de jeunes filles dans la salle qui ne comprennent pas et qui perdent l’intérêt du film. Des décors Vraisemblables à l’univers de Barbie, mais sans plus. Nous avons été très déçues.
Barbie
Oui le film est pour adultes , le début pour tous, le but du film n'est il pas de refaire l'image de la poupée qui précisément est perçue beaucoup plus près de ce que l'adolescente dit à Barbie dans la cour de son école ?
Documentaire précis et belles valeurs pour nos filles
Ce film (ou documentaire) présente exactement la femme moderne mysogyne qui traite les hommes comme des imbéciles inutiles.
La célébration de la fin du patriarcat et l'air du matriarcat. Ouais, on est tu plus heureux? Est-ce que ce film est un beau modèle?
La prochaine fois que vous aurez besoin d'un plombier, d'une réparation sur votre auto ou encore une réparation des lignes électriques lors d'une panne d'Hydro-Québec, exigez que le travail soit fait exclusivement par des femmes. Vous allez attendre longtemps et vous allez constater que les hommes ne sont pas si épais et inutiles après tout. Mais il ne faut pas trop en demander à qui n'est pas capable d'empathie, de réflexion et d'appréciation.
Bravo à Ryan Gosling pour avoir accepter ce rôle au dépend de la justice et de la reconnaissance. Je m'en souviendrai dans mes prochain choix de films a voir.
Ce film est par contre utile. Il nous ouvre les yeux sur la situation actuelle. Situation qui est maintenant clairement caractérisée et documentée pour les décennies a venir.
Sexiste
Il ne faut pas avoir peur des mots, ce film est résolument sexiste.
Ironique
Si vous voulez voir un autre film qui dépeint des femmes fortes et intelligentes combattre un monde patriarcal et misogyne dirigé par des hommes grossiers, imbu d’eux-mêmes et sans grande trace d’intelligence (ironique non pour un mouvement politique se disant pour l’égalité) c’est le film à voir de l’été, car le meilleur moyen d’arriver à un monde plus juste c’est de combattre le sexisme par du sexisme… C’est de normaliser une représentation dégradante des hommes (Kent, soit beau et tait toi, PDG, stupide et gâté… il ne peut pas s’être rendu là par ses compétences, non il s’est vu offrir son poste car c’est un homme) l’avenir c’est de devenir exactement ce qu’on dit combattre? Il faut mettre le film dans son contexte, ce n’est pas un film révolutionnaire féministe, c’est vu et revu de dépeindre une héroïne sauver les femmes contre le méchant système patriarcal (un système dans lequel on diplôme plus de femmes que d’hommes, un système dans lequel on diplôme plus de femmes médecins que d’homme, plus d’avocates que d’avocats). À l’exception du message qui est présenté de manière grossière et malhabile, le film est globalement bien.
De mauvais goût
J'étais un peu curieuse mais pas vraiment intéressé, c'est tellement stéréotypé. Un vrai film américain à consommation! Je suis quand même entré dans une salle de projection pour voir un premier 5 minutes. Pire que je croyais! Premières images, on nous montre des petites filles qui détruisent leurs poupées et leurs jouets quand elles voient apparaître Barbie, de très mauvais goût. Cette démarche de Barbie et ces pauvres hommes idiots tout ça sur fond synthétique de rose plastique... j'avais mal au coeur!
Avoir un peu de culture aide à ne pas dire n'importe quoi
Quand tu catche pas que le début du film est une pastiche de 2001 l'odyssée de l'espace et était même le teaser sortie en décembre.
Une allusion et deux clins d'oeil
Mais non Crimson ce n'est pas un pastiche de 2001. Une allusion et deux clins d'oeil ne font jamais un pastiche. cette allusion et ces clins d'oeil accrocheurs ne visent qu'à donner une crédibilité à un film qui n'en a aucunement.
Oufff.. Mauvais!!
Pour vrai, nous étions un groupe de 9 personne et nous avons tous trouvé la film terrible! Parfois drôle, mais plus ridicule que autre chose.. Ma fille de 7 ans qui avait très hâte n'a finalement eu aucun intérêt pour le film.. Même chose pour la fille de 3 ans et demi de mon ami ainsi que le garçons de 9 ans.. Celle qui a le mieux aimé mais, c'était au début elle s'est tanné vite, c'est l'ado de 13 ans.
Féministe barbie
Ce film fût un réel bonbon pour moi. Ryan Gosling est excellent. L’humour excentrique est présent tout au long du film sans être trop lourd. Les décors dans le barbie world sont pétillants et joyeux. Une fois, dans le monde réel, la vraie critique du patriarcat arrive. Cette critique est plutôt satirique. La conception de l’homme viril est présenter de façon très ironique ce qui a enrichi l’humour du film et qui a servit d’euphémisme pour le sujet centrale du long métrage qui est une cause qui est prise au sérieux par la réalisatrice . Le seul « hic » que je vois est celui d’utiliser ce que l’on reproche du patriarcat et de l’appliquer au féminisme. À certain moment du film, j’ai senti que le film voulait se glisser dans un combat entre les femmes et les hommes plutôt que de pointer du doigt ce qui n’allait pas dans une société composé d’hommes et de femmes. Cette dites « discorde » est ,cependant, pas maintenue tout au long du scénario ce qui n’a pas affecté l’essence et le message du film. Néanmoins, le film « Barbie » a su comment me tenir captivée et à livrer un message important qui est venu me toucher. Je recommande ce film qui sera certainement récompensé aux prochains oscars.
I'm a Barbie Girl in a...
Qui eut cru qu’un jour on aurait fait un film sur et avec la mythique poupée de Mattel, Barbie? Et pas une œuvre sur sa création et sa mise sur le marché, comme par exemple « Air » l’a fait récemment avec sa chaussure Nike, un projet tout aussi hasardeux sur le papier. Non un film mettant en scène Barbie en chair et en os dans son monde. Mais, après tout, on a bien fait un film sur les jouets Transformers et Ridley Scott a failli en réaliser un sur le jeu de société Monopoly. Mais, quand la Warner a choisi la cinéaste indépendante Greta Gerwig (« Lady Bird »), choisi Margot Robbie dans le rôle-titre de la poupée et Ryan Gosling dans celui de Ken ainsi que balancé son matraquage promotionnel très réussi, on a commencé à y croire et se dire que ce n’allait peut-être pas être la bizarrerie attendue. Et, en effet, on peut dire que sur bien des aspects, « Barbie » s’en tire avec les honneurs et nous surprend à plus d’un titre. Malheureusement, le long-métrage est loin d’être parfait et il enchaîne le bon et le beaucoup moins bon.
Commençons par ce qui est bon voire impeccable. D’abord, l’imagerie kitsch de l’univers Barbie est parfaitement respecté. Mieux, il surpasse avec maestria visuellement toutes nos attentes. Chapeau à la chef décoratrice qui devrait se voir attribuer l’Oscar dédié pour ses majestueux et impressionnants décors fluo et plastique. C’est parfait sur toute la ligne et la première demi-heure nous en met plein les mirettes. Elle devrait ravir les petites filles et femmes de toute la terre qui voit l’univers de leur enfance prendre vie avec un respect qui force l’admiration. C’est rose bonbon, décalé et parfaitement candide, le visuel alternant entre du Jacques Tati (oui oui!) et du Wes Anderson version très sucrée. Ensuite, le côté méta totalement salvateur pour un tel projet est impeccablement négocié entre la voix off de la narratrice Helen Mirren, le fait d’imbriquer Mattel et le monde réel dans l’histoire ou encore de faire intervenir la créatrice de la Barbie dans un final presque émouvant. Ensuite, quelques séquences sont appellées à devenir cultes et valent leur pesant de cacahuètes. On pense notamment à toutes celles avec Barbie Bizarre jouée par une Kate McKinnon encore une fois déchainée ou à la publicité mettant en scène une hypothétique Barbie déprimée. On rit beaucoup aussi et de bon cœur devant le décalage réalité/Barbieland. Enfin, si Margot Robbie était le choix évident et payant, on peut ajouter que Ryan Gosling épate en Ken.
Cependant, Gerwig a eu la main lourde sur certains côtés. D’abord son film est bien trop long, près de deux heures, poussant le spectateur à saturation avec son final à rallonge et des scènes un peu répétitives qui frôlent l’excès de glucose. Et le côté acide et impertinent de la première partie cède le pas à une seconde beaucoup plus à l’eau de rose et qui nous fait (un peu) déchanter. Enfin, si le côté inclusif (presque woke) est ici et pour une fois à sa place, collant parfaitement avec l’imagerie d’une Barbie qu’on voudrait modernisée, le message féministe et anti-patriarcat est martelé à la truelle jusqu’à l’écœurement, ce qui pourrait avoir l’effet inverse de celui escompté. Au final, on peut tout de même parler de réussite tant le projet était casse-gueule mais il n’en demeure pas moins que pour un public plus cinéphile, le film regorge d’idées et de malice mais se heurte à plusieurs défauts tout de même assez préjudiciables. Et tout le long du film on a cette impression étrange que l’idée est bonne, que le défi est relevé haut la main et que les idées d’écriture et visuelles fusent de partout mais qu’il manque un petit quelque chose pour que ce « Barbie » soit vraiment digeste et irréprochable. Peut-être cet aspect marketing faussement dissimulé qui coule de partout? Difficile à dire. En tout cas, le film devrait plaire aux familles et sort assez du lot et du tout-venant hollywoodien pour être le parfait divertissement estival cool et fun.
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La fin du patriarcat
Je ne suis pas le public cible et pourtant je suis sorti de la salle avec le sourire aux lèvres. Le film fonctionne en grande partie parce les personnages de Barbieland sont conscients d’être des poupées qui vivent dans un univers parallèle. De même, les dirigeants de Mattel dans le monde réel sont conscients que des poupées peuvent s’échapper de Barbieland. Cette prémisse permet d’élaborer une vraie réflexion sur le phénomène Barbie, ce qui plaira aux adultes.
Le patriarcat est le véritable sujet du film. Sans rien dévoiler de l’intrigue, la différence entre le monde réel et Barbieland repose essentiellement sur cette spécificité. La première partie est savoureuse, pleine de rebondissements et d’inventivités. La deuxième partie s’avère plus moralisatrice. On sent la volonté de Greta Gerwig d’éduquer le jeune public qui regarde son film. L’humour demeure cependant au rendez-vous et la scène finale nous arrache un grand sourire.
C'est donc mission accomplie pour ce projet casse-cou appelé à devenir un classique.