Rédiger une critique
Vous devez être connecté pour pouvoir rédiger une critique.
Babylon
J'ai vu ce film et j'ai été sidéré, un film de 3 hrs j'aurai aimé 1 hre de plus, quelle histoire de ce jeune mexicain qui rêve de travailler sur un plateau de cinéma tous les acteurs, actrices étaient magnifiques, les effets spéciaux , la musique tout était parfait pour moi je l'ai adoré et je le recommande à toutes et tous ( 18 ans plus )
Un bon film que plusieurs de semble pas avoir compris
D'abord la musique ...envoûtante tout le long, on comprend mieux l'impossible intensité derrière la caméra de la réalisation des vieux films, l'impossible presence ses afro américains dans le Hollywood d'une Amérique qui ne voulait pas savoir raciste, à quel point les grands vedettes du cinéma sont à la fois intemporelle et ephemere...et la fin ..quel beau coin d'oeil de continuité et d'intemporalite du 7th art.
Boursouflure hollywoodienne dégénérée.
Beaucoup de grands artistes ont leur film malade voire maudit. Une grande fresque pleine d’ambition dont le résultat n’est pas mauvais mais boiteux et souvent trop hermétique hormis pour celui à l’origine de sa conception. Damian Chazelle n’est qu’un jeune artiste mais il a déjà le sien : ce « Babylon » est en effet aussi raté que réussi, aussi déplaisant que flatteur et doté d’autant de qualités que de défauts. Malheureusement ces derniers emportent le morceau, notamment à cause d’une durée pharaonique qui viendra à bout des plus tolérants. Et puis, si le cinéaste nous a conquis avec le petit film qui l’a découvert, l’excellent et original « Whiplash » ainsi qu’avec sa comédie musicale culte mais loin d’être parfaite « La La Land », il nous a aussi profondément ennuyé avec son précédent film, « First Man », qui était terne, monotone et atone. Et si « La La Land » était un hommage à Hollywood et son âge d’or, il semblerait que « Babylon » partait sur des bases similaires mais sur ses origines, selon les dires de l’auteur. Cependant, son long-métrage ressemble bien plus à une satire voire un pamphlet de l’industrie du cinéma et de ceux qui l’ont créé qu’autre chose. Hormis, un tardif et donc très maladroit hommage final compilant un siècle de cinéma, la Cité des Anges et le monde du cinéma apparaissent comme futiles, décadent et plongé dans un hédonisme malsain.
« Babylon » semble être le croisement bancal et fou sur le fond comme sur la forme de « Gatsby le magnifique » pour les fêtes décadentes et de « Once upon a time in Hollywood » pour sa cartographie de la Mecque du cinéma. Mais auquel on ajouterait le côté complètement dégénéré, de « Requiem for a dream » pour le côté frénétique du son et des images et l’aspect glauque de certaines séquences. Cet aspect est d’ailleurs éreintant pour le spectateur. Il n’y qu’à voir la scène de fête initiale qui dure près de trente minutes avec le titre s’affichant seulement après. C’est long, beaucoup trop long, comme l’est ce film dans son ensemble. Et si tout cela est impeccablement filmé, sur la longue c’est fatigant et on sature. Surtout que le film n’a aucune ligne narrative claire et pas vraiment d’histoire. C’est une accumulation de scènes qui suivent trois personnages principaux et quelques personnages satellites dans le Hollywood des années 20 qui passe du muet au parlant. On suit donc la gloire puis la déchéance desdits protagonistes dans une succession de séquences qui alternent l’outrance (la séquence de tournage d’une scène de guerre par exemple bien trop étirée) voire le vulgaire et le ridicule (la séquence du serpent ou celle du vomi, totalement inappropriée). Mais parfois la mise en scène virtuose de Chazelle nous offre des moments de grâce (la dernière scène de Robbie) et quand le film se pose il nous réserve aussi de beaux moments très justes et bourré d’acuité, presque poétiques (le monologue de Jean Smart à Brad Pitt). Donc, entre fulgurances visuelles, instants de grâce et scènes improbables, on peut y trouver notre compte mais c’est bien trop long, boursouflé et au final cela ne raconte pas grand-chose qui n’ait été dit. Il faut avouer aussi que c’est très prétentieux, comme si le cinéaste voulait absolument faire son chef-d’œuvre et qu’il s’y était brûlé les ailes...
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Le cinéma au travers le temps
Le film parvient à bien représenté le cinéma, Hollywood ainsi que la technologie cinématographique. Dans une ambiance mixant gastby la magnifique et Once upon a time in hollywood, le long métrage nous présente une histoire simple et captivante!
Rythmé
Le film est très rythmé. Malgré les trois heures, les scènes s'enchaînent efficacement. Il y a plusieurs passages qu'on se questionne si c'était nécessaire de les conserver au montage, mais jamais on ne s'ennui. Chapeau à la trame sonore, elle est excellente. À coup sûr vous taperez du pied.
Une petite histoire du cinéma
Pour peu que l'on veuille y mettre le temps, la proposition est intéressante et les performances des principaux acteurs sont réussies.
Baby Lonely
Does Chazelle "have fun" playing in the flowerbeds of Baz Luhrmann and his fabulous and flamboyant "Moulin Rouge" of 2001?
See three different editing scenes of the same scene
(Editing 1/ Picture & sound)
(on YouTube) The Can Can Medley (Extended Dance sequence) (4:30)
(Editing Take 2/ Picture & sound)
(on YouTube) Moulin rouge because we can can fat boy slim (3:27)
(Editing Take 3)
Moulin Rouge Can Can - Because We Can - 16:9 Widescreen (3:27)
https://www.youtube.com/watch?v=PWgCqbWwpBg