Annette
v.o.a. : Annette
v.o.a.s.-t.f. : Annette
Tout sourit à Henry et Ann, un couple célèbre et glamour qui habite Los Angeles. Le premier est un comédien de stand-up à l'humour mordant qui aime mettre son public à l'épreuve. La seconde est une cantatrice qui fait tourner les regards. Un jour, ils décident d'avoir leur premier enfant. Annette n'est pas comme les autres, sujette à un destin hors du commun. Sa venue va bouleverser l'existence de ses parents. Pendant qu'Ann va multiplier les réussites, Henry goûtera aux échecs. Des déceptions qui mettront à l'épreuve l'équilibre de la famille.
Distribution
- Adam Driver (Henry)
- Marion Cotillard (Ann)
- Simon Helberg (Le chef d'orchestre)
- Devyn McDowell (Annette)
- Rila Fukushima (une infirmière)
- Angèle (une accusatrice)
Réalisation
Scénarisation
studios
- CG Cinéma
- Arte
- Canal+
- Scope Pictures
- BE TV
- Euro Space
distributeur
- MK2│Mile End
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Les frères Ron et Russell Mael, du groupe américain Sparks, ont imaginé et mis en chansons cette histoire d'amour tragique, fondée sur un cas saisissant de masculinité toxique.
Lire la critique complèteLa Presse
Bouleversante histoire d'amour aux accents d'opéra rock, Annette est un diamant brut. Ce film est entré dans notre coeur et n'en sortira plus jamais.
Lire la critique complèteLe Soleil
Mais il faut assurément avoir une tendance masochiste pour supporter les 2 heures et 20 minutes de cette oeuvre, somme toute, superficielle. De la poudre aux yeux...
Lire la critique complèteCinéfilic
Parce que Carax est aussi agaçant que génial, parce que ses films lui ressemblent, et parce que même dans un film qui passe à côté de ses sujets, manque de finesse, confond baroque et clinquant... il y a des moments magiques !
Lire la critique complèteJoblo.com
Not unlike M. Night Shyamalans' recent Old, you'll either be swept away or repelled. I am more in the former than the latter, with moments of pure brilliance scattered across a tapestry of over-bloated ambition, crescendoing into a heartbreaking, epic finale.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Carax aime la déchéance des coeurs, de l'âme et du corps physique comme il aime leurs contraires. Peut-on tuer ce que l'on aime ? Au nom de quoi ? De qui ? Et s'il s'agissait en fin de compte de son « cinéma », multitude de reflets inusités dans un oeil incisif.
Lire la critique complète