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All the Beauty and the Bloodshed
La photographe Nan Goldin raconte des événements marquants de sa vie, de ses relations personnelles et de sa carrière. Notamment, elle explique comment elle a survécu à la crise des opioïdes après avoir développé une dépendance aux médicaments prescrits pour une opération. Son expérience l'a poussée à fonder le groupe P.A.I.N., qui vise à informer les gens et à dénoncer l'implication de la famille Sackler dans cette crise de santé publique. Les Sackler ont amassé une fortune avec la vente et la promotion d'antidouleurs par le biais de leur empire pharmaceutique.
Distribution
Réalisation
Studio
- Participant
- Praxis Films
Distributeur
- Entract Films
Revues de presse
KinoCulture Montréal
Dans une cinématographie au service du sujet et sans fioritures inutiles, monté avec un doigté exemplaire par Joe Bini et Amy Foote, ce long métrage, fruit d'une rencontre au sommet entre deux artistes, se termine tout d'abord par un rapport médical dévastateur sur un épisode majeur de l'enfance de Nancy puis par un renversement étonnant dans un de ces temples de l'art.
Lire la critique complèteLa Presse
La photographe Nan Goldin est devenue dépendante au médicament antidouleur OxyContin après une opération en 2017. Depuis, elle combat sans relâche la famille Sackler, accusée d'avoir commercialisé ce médicament sans mettre en garde contre ses effets addictifs et d'avoir alimenté la crise des opioïdes.
Lire la critique complèteMédiafilm
Poitras expose la dynamique complexe qui lie le travail photographique de l'artiste aussi bien à son militantisme qu'à son passé douloureux, marqué par le suicide de sa soeur et par le sida, qui a décimé son cercle d'amis.
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