Alita : L'ange conquérant
v.o.a. : Alita: Battle Angel
En 2563, les êtres humains habitent une Terre ravagée, espérant un jour s'élever vers Zalem, la mystérieuse cité suspendue dans le ciel. En cherchant des pièces dans un dépotoir, un docteur tombe sur une technologie spéciale, arrivant à reconstruire un cyborg qu'il appelle Alita. Cette entité ne se rappelle plus son existence passée, s'adaptant toutefois bien à son nouvel environnement. Elle devient amie avec Hugo, un charismatique jeune homme qui l'initie au sport le plus populaire de la planète. À mesure que ses souvenirs lui reviennent, Alita voit ses habiletés s'affûter, lui permettant de mieux affronter ce monde hostile.
Distribution
- Rosa Salazar (Alita)
- Keean Johnson (Hugo)
- Christoph Waltz (Dr. Dyson Ido)
- Jennifer Connelly (Chiren)
- Mahershala Ali (Vector)
- Ed Skrein (Zapan)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- 20th Century Fox
- Lightstorm Entertainment
- Troublemaker Studios
distributeur
- 20th Century Fox
Liens
Revues de presse
Médiafilm
L'émotion est plus palpable dans les scènes entre Alita et son énigmatique « Gepetto », campé par un Christof Waltz exceptionnellement chaleureux... et en terrains connus.
Lire la critique complèteSéquences
Mais surtout, Alita n'est qu'un simulacre d'humain, unemachine à la forme féminine séduisante mais injustifiée, dontmême le visage est déformé par des yeux disproportionnés.
Lire la critique complèteLa Presse
Ici, on prendra uniquement son plaisir dans les effets visuels et la direction artistique. Pour le reste, c'est assez désertique. Au scénario relâché s'ajoutent des acteurs sans âme, des dialogues insignifiants et un usage du 3D à oublier. Dans le genre, nous avons, et de loin, préféré Ready Player One.
Lire la critique complèteCinema Blend
If there's any justice in the world, this won't be the last time we'll see the battle angel herself taking the big screen by storm; because Alita kicks all of the ass.
Lire la critique complèteThe Los Angeles Times
If there's a major issue I have with ALITA: BATTLE ANGEL it's that I wanted more, which isn't necessarily a bad problem to have.
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