Air : Courtiser une légende
v.o.a. : Air
En 1984, Nike envisageait de signer des contrats avec des vedettes montantes de second ordre de la NBA, sachant qu'elle n'avait les moyens ni la réputation pour attirer les grandes stars du sport. Sonny Vaccaro était pourtant convaincu que de tout investir en Michael Jordan était la meilleure des idées. Il a d'abord convaincu ses collègues chez Nike, puis a dû séduire le joueur de basket-ball et sa famille. La mère de Michael, Deloris, a exigé que des redevances soient versées à son fils, ce qui n'avait jamais été fait avant. Un précédent a alors été créé, suivi d'une collaboration légendaire.
Distribution
- Matt Damon (Sonny Vaccaro)
- Ben Affleck (Phil Knight)
- Jason Bateman (Rob Strasser)
- Viola Davis (Deloris Jordan)
- Chris Tucker (Howard White)
- Chris Messina (David Falk)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Amazon Studios
- Artists Equity
- Mandalay Pictures
- Skydance Media
distributeur
- Warner Bros. Pictures
Revues de presse
Médiafilm
Leurs performances chaleureuses aident à insuffler un peu d'humanité et de vie à ce qui reste, fondamentalement, une ode admirative au pouvoir du marketing.
Lire la critique complèteJoblo.com
All in all, Air really is a terrific package, with Affleck having a ton of fun telling this story.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Comme Clint Eastwood, Ben Affleck possède une efficacité économe. Pas une image n'est superflue, pas un dialogue n'est inutile dans ce AIR de 112 minutes. Avec assurance et énergie, il déroule le fil de cette histoire étonnante dans laquelle le héros n'est pas celui qu'on croit. Elle est peut-être là, la recette de Ben Affleck, dans la création d'un rebondissement surprise qui donne alors à Air des allures de suspense - comme pour Argo.
Lire la critique complèteCinema Blend
The Air Jordan story is bound to score easy points with basketball fanatics and sneakerheads.
Lire la critique complèteLa Presse
Nos attentes envers Air n'étaient pas les mêmes que la plupart des cinéphiles, et même si voir plus de basket et de baskets nous aurait fait plaisir, nous aurions été amplement satisfait d'un peu plus de dynamisme et d'originalité pour raconter ce récit fort inspirant.
Lire la critique complète