After Yang

C'est en même temps fascinant et effrayant. Et si Yang était le représentant de cette nouvelle race de ce qu'on peut baptiser de « techno-sapienne »  et que Kogonada semble rejeter pour, au contraire, proposer une réédification de notre humanité. Tristement mélancolique.

Like its muse, the movie feels a little like a black-box experiment, one that can be both frustratingly opaque and achingly lovely: a still-waters mystery whose ripples, even up to the last frame, only hint at what lies beneath. 

It's contemplative, cerebral sci-fi with a profoundly human perspective on the evolving nature of technology and its place in our world.

Alors oui, malgré une mise en route qui laisse perplexe, le film finit par convaincre... et même par nous toucher ! Sera-ce suffisant pour hanter nos souvenirs ? L'avenir, qui se trompe rarement, nous le dira.

Il se distingue plus particulièrement grâce à sa singularité, et aussi grâce à la vision d'un cinéaste dont le style, très dépouillé, est déjà affirmé.

Pour incarner un père dévoué mais dépassé par la situation, Colin Farrell opte pour un jeu sobre mais senti.