C'est avec le film La disparition des lucioles que la 8e édition du Festival de Cinéma de la Ville de Québec a été lancée ce jeudi.
Les comédiens Karelle Tremblay, Pierre-Luc Brillant, Luc Picard et Marie-France Marcotte étaient sur place, tout comme le réalisateur Sébastien Pilote ainsi que les producteurs Bernadette Payeur et Marc Daigle.
Le synopsis officiel du film se lit comme suit :
C'est bientôt l'été et la fin des classes dans une ancienne ville industrielle sur le bord d'une baie, à la fois cul-de-sac et ouverture sur le monde. Léo, une jeune fille dégourdie, marginale et insatisfaite, rencontre Steve, un homme plus âgé, guitariste solitaire et reclus. Léo vit avec sa mère et son beau-père, l'animateur de radio populiste qui a poussé à l'exil dans le Nord l'homme qu'elle admire, son père, le chef du syndicat déchu. Frustrée et en colère, c'est dans sa relation équivoque avec Steve, au rythme de leçons de guitare et de son nouveau travail d'été, qu'elle pourra trouver une sorte de réconfort et amorcer sa fuite.
Sébastien Pilote décrit son film comme plus léger que ses précédentes oeuvres. « Si Le vendeur et Le démantèlement étaient des bières noires, des IPA, La disparition des lucioles serait davantage une bière blanche », a-t-il déclaré sur la scène du Palais Montcalm.
Le film est attendu en salles le vendredi 21 septembre prochain.
