Voici les nouveautés de la semaine :
Kong: Skull Island (Kong : Skull Island) - Aventures - 118 min.
Réalisé par Jordan Vogt-Roberts. Avec Tom Hiddleston, Brie Larson.
Une équipe bigarrée formée de scientifiques, de soldats et d'aventuriers, est assemblée afin d'explorer une île mythique non répertoriée du Pacifique recelant autant de beautés que de dangers. Loin de tout et sans repères, l'équipe pénètre le territoire du terrifiant Kong et déclenche une bataille sans lendemain entre l'homme et la nature. Leur mission de découverte se transforme en lutte pour la survie au coeur d'un éden primitif où l'humanité n'a pas sa place.
Le coeur en braille - Comédie dramatique - 85 min.
Réalisé par Michel Boujenah. Avec Alix Vaillot, Jean-Stan Du Pac.
Marie est une jeune fille très intelligente, prodige du violoncelle. L'adolescente est par contre atteinte d'une grave maladie dégénérative qui l'amène à perdre la vue progressivement. Elle se liera d'amitié avec Victor, un copain de classe, qui l'accompagnera dans ses épreuves quotidiennes. Bien que son père veuille l'hospitaliser dans un centre pour jeunes en perte d'autonomie, la jeune jeune femme s'entêtera à poursuivre son année scolaire et passer le concours d'entrée au conservatoire de musique, contre vents et marées. Victor la soutiendra dans ses décisions et bientôt il n'y aura plus que Victor et Marie contre le reste du monde.
Synopsis © Cinoche.com
Iqaluit - Drame - 103 min.
Réalisé par Benoit Pilon. Avec Marie-Josée Croze, Natar Ungalaaq.
Gilles se trouve à Iqaluit au Nunavut six mois par année. Il travaille sur un chantier qui emploie à la fois des Blancs et des Inuits. L'homme s'est lié d'amitié avec Noah et sa famille. En quittant un bar, il est victime d'un terrible accident. Son épouse Carmen débarque de Montréal pour le retrouver. Happée par la lumière et les grands espaces, elle a du mal à s'acclimater. Surtout que cette tragédie n'est peut-être pas due au hasard. En enquêtant, Carmen découvre une part inconnue de son mari et elle fait des rencontres qui risquent de la marquer à jamais.
Synopsis © Cinoche.com
Réparer les vivants - Drame - 104 min.
Réalisé par Katell Quillévéré. Avec Tahar Rahim, Emmanuelle Seigner.
Après être allé faire du surf avec ses amis, Simon est victime d'un accident mortel. Ses parents se réunissent à son chevet à l'hôpital et un médecin les informe que ses organes intacts pourraient servir pour des patients qui en ont besoin. Claire attend justement un nouveau coeur et elle tente de se raccrocher à son existence auprès de ses deux fils. Même si elle s'essouffle rapidement, la mère célibataire décide d'assister au spectacle d'une amie musicienne et de retrouver le temps perdu en sa compagnie. Son quotidien se limite au présent et à l'espoir d'un don d'organes.
Synopsis © Cinoche.com
Yes - Documentaire - 80 min.
Réalisé par Eric Piccoli, Félix Rose.
Simon Beaudry est un artiste visuel qui a une démarche sur l'identité québécoise et rêve d'indépendance. Au moment où l'Écosse s'apprête à décider de son avenir, il s'y rend pour créer des oeuvres excentriques aux quatre coins du pays du whisky. Ne laissant personnes indifférent avec sa tenue folklorique et ses oeuvres dans l'espace public, il amène les Écossais de toute allégeance à s'exprimer sur la pertinence d'un pays et ses rencontres le pousse à remettre en question ses méthodes de créations.
Combat au bout de la nuit - Documentaire - 285 min.
Réalisé par Sylvain Lespérance.
Combat au bout de la nuit est une oeuvre-fleuve engagée et hétéroclite, tournée en Grèce sur plusieurs années, parmi de nombreux réfugiés et au beau milieu de certaines des manifestations populaires qui ont secoué ce pays. À la fois film-essai, reportage guérilla et portrait poétique, le film prend à bras le corps les bouleversements sociopolitiques récents d'un état qui représente à lui seul la chute du modèle néo-libéral occidental. En recueillant la parole et les chants des plus démunis, en sortant dans la rue avec des femmes de ménage au courage et à la persévérance insoupçonnés et en montrant la puissance de la poésie et de la solidarité face à l'indifférence cruelle des puissants, Sylvain L'Espéranceaffirme la nécessité d'une lutte qui ne fait que commencer.