Happy Death Day (Bonne fête encore) - Thriller - 96 min.
Réalisé par Christopher Landon. Avec Jessica Rothe, Israel Broussard.
Le jour de son anniversaire, Tree se réveille dans une chambre de résidence universitaire. En lendemain de veille, elle traverse, repentante, le campus afin de rejoindre sa fraternité. Sa copine de chambre l'accueille avec un gâteau, mais cette dernière, égoïste, rejette son présent. Après une visite chez son amant et une réunion avec les membres de sa fraternité, elle se prépare à participer à une fête le soir même. En route vers l'événement, elle croise le chemin d'un tueur masqué qui la poignarde à mort. Elle se réveille alors subitement dans la même chambre de résidence du matin. Tree comprend vite qu'elle est désormais condamnée à revivre sans cesse la journée de son assassinat.
Synopsis © Cinoche.
Innocent - Comédie - 89 min.
Réalisé par Marc-André Lavoie. Avec Emmanuel Bilodeau, Réal Bossé.
Francis est dans le pétrin. Il passe un interrogatoire et ses explications risquent de déterminer son avenir. Comment un homme aussi gentil, naïf et inoffensif que lui a pu se trouver mêlé à autant de situations rocambolesques? Peut-être que c'est son bon coeur qui l'a poussé à acheter un billet de loterie à son beau-frère ou à aider une voisine qui n'a pas toute sa tête. En louant à bas prix l'appartement de sa mère, il laisse également entrer dans son existence des personnes potentiellement menaçantes. C'est sans compter une visite dans un columbarium qui tourne mal et une difficile rupture amoureuse.
Synopsis © Cinoche.
The Foreigner (L'étranger) - Thriller - 114 min.
Réalisé par Martin Campbell. Avec Jackie Chan, Pierce Brosnan.
Restaurateur dans le quartier Chinatown de Londres, Quan est un immigrant chinois sans histoire. Son plus grand bonheur est sa fille unique, jeune fille souriante et aimante, qui est sur le point d'obtenir son diplôme. Tout bascule lorsqu'un attentat terroriste tue plusieurs innocents, dont la fille de Quan. Attristé et terriblement en colère, Quan désire des explications. N'en obtenant aucune du vice-premier ministre nord-irlandais et se frappant à son indifférence, Quan décide de se faire lui-même justice.
Synopsis © Cinoche.
120 battements par minute (Beats Per Minute) - Drame social - 143 min.
Réalisé par Robin Campillo. Avec Nahuel Pérez Biscayart, Arnaud Valois.
Au début des années 90 en France, le sida tue des milliers de jeunes depuis plus de dix ans. Déçus par l'indifférence de l'État français et l'hypocrisie des compagnies pharmaceutiques, les militants de l'association Act Up-Paris organisent différentes manifestations et activités partisanes afin de faire comprendre au monde les dangers réels de la maladie et la nécessité d'en faire une priorité imminente. Nathan est un nouveau venu dans le groupe de révolutionnaires. Il sera particulièrement bouleversé par la radicalité de Sean, lui-même atteint de la maladie.
Synopsis © Cinoche.
Le jeune Karl Marx - Drame biographique - 118 min.
Réalisé par Raoul Peck. Avec August Diehl, Stefan Konarske.
À l'âge de 26 ans, le journaliste et philosophe Karl Marx fait la rencontre de Friedrich Engels, fils révolté d'un riche propriétaire d'usine, à Paris. En 1844, les deux jeunes hommes président une révolution industrielle, qui concerne autant la France, l'Angleterre que l'Allemagne. Brillants, audacieux et insolents, ils ne se laissent pas intimider par les descentes policières, les émeutes, la censure ou les prises de pouvoir politiques. Ils donnent naissance à un mouvement ouvrier qui était jusqu'ici largement artisanal. Il s'agit là de la plus grosse transformation théorique et politique du monde depuis la Renaissance.
Synopsis © Cinoche.
American Satan - Drame musical - 112 min.
Présenté en anglais seulement.
Réalisé par Ash Avildsen. Avec Andy Biersack, Ben Bruce.
Johnny rêve de devenir une vedette du rock. Lui et ses compagnons décident de se rendre sur Sunset Strip afin de réaliser leur dessein. N'ayant pas d'argent ni d'endroit où vivre, le groupe cohabite dans une camionnette et vit de musique et d'espoir. Profitant de leur faiblesse et de leur immense talent, un inconnu leur promet monts et merveilles afin de les manipuler et avoir le contrôle sur leur art et leur formation. Rapidement, le succès est bel et bien au rendez-vous et leur musique finit même par influencer la société. Seront-ils toutefois capables de reprendre le contrôle sur leur groupe?
Synopsis © Cinoche.
Mark Felt: The Man Who Brought Down the White House - Drame historique - 103 min.
Présenté en anglais et à Montréal seulement.
Réalisé par Peter Landesman. Avec Liam Neeson, Michael C. Hall.
Mark Felt est le numéro 2 du FBI et lanceur d'alerte connu sous le pseudonyme de « Gorge profonde » (Deep Throat) dans l'affaire du Watergate, pendant les années 70. Son identité est restée secrète pendant plus de 30 ans. La vaste corruption de la Maison-Blanche n'aurait jamais pu être dévoilée, et la démission de Nixon ne serait probablement jamais arrivée, si Felt n'avait pas choisi de parler à Bob Woodward du Washington Post et Sandy Smith du Time Magazine. Alors que l'actualité américaine offre des parallèles frappants avec les bouleversements politiques de l'époque du Watergate (les jeux de pouvoir entre l'administration de la Maison-Blanche et le FBI, les preuves de fraude électorale et un retour des attaques du gouvernement contre la crédibilité des médias) l'histoire de Mark Felt ne pourrait être plus d'actualité.
Marshall - Drame biographique - 119 min.
Présenté en anglais et à Montréal seulement.
Réalisé par Reginald Hudlin. Avec Chadwick Boseman, Josh Gad.
Le film s'intéresse au jeune Thurgood Marshall, le premier juge de la Cour suprême afro-américaine, alors qu'il combat l'un de ses cas les plus importants de sa carrière.
Professor Marston and the Wonder Women - Drame biographique - 108 min.
Présenté en anglais et à Montréal seulement.
Réalisé par Angela Robinson. Avec Luke Evans, Rebecca Hall.
L'histoire du psychologue William Moulton Marston, inventeur du détecteur de mensonges et créateur du personnage de Wonder Woman.
Rebel in the Rye - Drame biographique - 109 min.
Présenté en anglais et à Montréal seulement.
Réalisé par Danny Strong. Avec Nicholas Hoult, Zoey Deutch.
Couvrant une période de 15 ans, l'histoire commence en 1939, alors que J.D. Salinger peine à trouver sa voix. Il s'inscrit à un cours d'écriture à l'université Columbia, entretient une liaison avec la célèbre mondaine Oona O'Neill et parvient finalement à publier une nouvelle. Ce qui s'annonce comme un avenir radieux est retardé par la Seconde Guerre mondiale, à laquelle il doit participer. Son expérience lui inspire cependant son chef-d'oeuvre de 1951 The Catcher in the Rye. Salinger connaît alors la gloire, mais se retirera de la vie publique pour le reste de sa vie.
The Limehouse Golem - Drame policier - 109 min.
Présenté en anglais et à Montréal seulement.
Réalisé par Juan Carlos Medina. Avec Bill Nighy, Olivia Cooke.
Londres, 1880. Une série de meurtres secouent le quartier malfamé de Limehouse. Selon la rumeur, ces crimes ne peuvent avoir été perpétrés que par le Golem, une créature des légendes hébraïques d?Europe centrale. Scotland Yard envoie Kildare, l'un de ses meilleurs détectives, pour tenter de résoudre l'affaire.
Napping Princess - Film d’animation - 110 min.
Présenté en anglais et à Québec seulement.
Réalisé par Kenji Kamiyama. Avec les voix de Mitsuki Takahata, Shinnosuke Mitsushima.
Morikawa vit avec son père, elle s'ennuie à l'école et passe son temps à rêver d'un monde à la fois futuriste et médiéval. Quand son père est arrêté, elle va tenter de le libérer et de démêler le mystère de ses rêves.
78/52 - Documentaire - 91 min.
Présenté en anglais et à Montréal seulement.
Réalisé par Alexandre O. Philippe.
78/52 explore l'une des séquences clés de l'histoire du cinéma : la mythique scène de la douche dans PSYCHO d'Alfred Hitchcock. Plus que tout autre moment dans un film, cette séquence peut être considérée comme le point où le cinéma américain a effectué une transition entre la sensibilité de l'ancien Hollywood et une attitude plus franche et provocatrice. Le titre fait référence au nombre de plans et à la durée de la scène — 78 plans en 52 secondes — une déclaration d'intention parfaitement obsessive pour ce documentaire.