Voici les nouveautés de la semaine :
Duplicity (Duplicité) - États-Unis - 122 min.
Réalisé par Tony Gilroy. Avec Clive Owen, Julia Roberts.
Trois ans après avoir été dupé par Claire, une jolie espionne qu'il a séduite à Dubai, Ray, un agent à la solde d'une société rivale, la retrouve à Rome, où elle feint de ne pas le reconnaître, avant de laisser tomber le masque. Les deux espions deviennent aussitôt amants, puis complices. Ils décident ainsi de monter ensemble un grand coup en escroquant les multinationales qui les emploient dans leurs services de contre-espionnage industriel. Après plusieurs projets compromis par leur incapacité à se faire confiance l'un l'autre, une opportunité se présente pour le tandem de travailler pour deux sociétés cosmétiques rivales, dirigées par des pdg bouillants qui se vouent une haine féroce. Une formule capillaire hautement convoitée par les deux hommes est en jeu.
I Love You, Man (J't'aime mon homme!) - États-Unis - 104 min.
Réalisé par John Hamburg. Avec Paul Rudd, Jason Segel.
Sur le point d'épouser la femme de ses rêves, un agent immobilier timoré réalise qu'il n'a aucun ami apte à lui servir de garçon d'honneur. Pour remplir cette fonction, il se rabat sur un inconnu sympathique qui lui réserve cependant bien des surprises.
Knowing (Prédictions) - États-Unis - 115 min.
Réalisé par Alex Proyas. Avec Nicolas Cage, Rose Byrne.
En 1959, dans la cour d'une école primaire de la banlieue de Boston, une capsule scellée contenant des dessins d'enfants est mise en terre. Cinquante ans plus tard, on l'exhume afin d'en distribuer le contenu aux écoliers. Plutôt que de recevoir un dessin, Caleb Koestler se retrouve avec une feuille noircie de chiffres. John, son père astrophysicien, s'intéresse au document mystérieux et découvre, consterné, que ce dernier a prédit avec exactitude une série de catastrophes survenues depuis. En traquant les origines du document, John fait la connaissance de Diana Wayland et de sa fille Abby qui, comme Caleb, semble être en contact avec des êtres étranges et inquiétants. À mesure que s'accumulent les tragédies, John comprend que la dernière série de chiffres du document annonce rien de moins que la fin du monde.
Hello Goodbye - France, Israël, Italie - 98 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Graham Guit. Avec Gérard Depardieu, Fanny Ardant.
Gisèle Gaash est désemparée à l'annonce du mariage de son fils unique. En quête d'un sens à son existence, cette mère au foyer, qui s'était autrefois convertie au judaïsme afin de pouvoir épouser Alain, un gynécologue de descendance ashkénaze, convainc ce dernier de partir avec elle s'établir en Israël. Au préalable, ils achètent à Tel Aviv un appartement avec vue sur la mer, dont la construction achève. En outre, Alain s'est fait promettre un poste prestigieux dans un hôpital de la ville. Si bien qu'ils quittent Paris avec optimisme. Mais l'arrivée en Israël tourne à la catastrophe: le poste n'est plus vacant, l'entrepreneur les a floués, leurs meubles ont été largués dans l'océan, etc. En proie au désarroi, Alain consent à se faire circoncire pour ne pas perdre Gisèle, laquelle est attirée par le jeune rabbin qui lui enseigne l'hébreu.
12 - Russie - 159 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Nikita Mikhalkov. Avec Sergey Garmash, Sergey Makovetsky.
À Moscou, un jury de douze hommes est séquestré dans le gymnase d'une école secondaire pour rendre un verdict unanime dans la cause d'un Tchétchène de 18 ans accusé du meurtre de son beau-père, ancien officier de l'armée russe. La preuve étant accablante, tous croient que la tâche sera vite expédiée. Or, après un premier vote, un juré, ingénieur de son métier, déclare l'accusé non coupable et plaide pour un examen approfondi du dossier. Malgré l'opposition d'un autre juré, chauffeur de taxi raciste, le débat s'engage. Sont alors mises au jour les failles de l'enquête et les contradictions des témoignages lors du procès. Et si le jeune accusé n'était qu'un pion innocent dans une sordide transaction immobilière?
Les résumés proviennent de Médiafilm.