Mommy
v.o.f.s.-t.a. : Mommy
Tout juste expulsé du centre pour jeunes en difficulté qu'il fréquente, Steve doit emménager avec sa mère Diane dans une petite maison de banlieue. Hyperactif et violent, Steve a une propension à la confrontation et des troubles d'apprentissage. L'arrivée d'une voisine enseignante en année sabbatique, Kyla, aide à apporter un peu d'équilibre dans la relation houleuse entre la mère et le fils. Petit à petit, Diane, Steve et Kyla développent une complicité pour leur bénéfice mutuel. Mais cet état de bonheur ne dure qu'un temps, et Steve retombe bientôt dans ses mauvaises habitudes.
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Metafilms
distributeur
- Les Films Séville
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Revues de presse
Médiafilm
Antoine Olivier Pilon crève littéralement l'écran avec sa présence insolente face à une Anne Dorval aussi explosive que touchante et une Suzanne Clément excellente en voisine timide s'émancipant peu à peu.
Helen Faradji Lire la critique complète24imag
La jubilation que provoque le cinéma de Dolan tient incontestablement au plaisir que nous prenons à la prestation de comédiens que nous retrouvons de film en film.
Jacques Kermabon Lire la critique complèteVoir
Fidèle à son habitude, le réalisateur prodige raconte tout cela dans un esthétisme assumé, d'abord par ce choix d'un ratio d'images 1:1, longuement commenté depuis les premières projections du film à Cannes et effectivement probant tant il permet une proximité avec les personnages à travers des plans intimes.
Philippe Couture Lire la critique complèteLe Soleil
D'ailleurs, même s'il s'agit de son meilleur effort, Dolan pèche par excès de longueurs, un tic agaçant chez lui. Celles-ci contribuent notamment à diminuer l'effet de la montée dramatique, qui manque un peu de souffle vers la fin, même si Mommy se conclut sur une belle envolée (un peu artificielle, toutefois).
Éric Moreault Lire la critique complèteCinéfilic
Au final, Dolan signe avec Mommy son film le plus intelligent, le plus délicat, le plus maîtrisé... en un mot son meilleur!
Jean-Marie Lanlo Lire la critique complèteAgence QMI
Xavier Dolan réalisateur et scénariste (l'acteur est ici absent) possède les défauts de ses qualités. Ses dialogues sont incisifs et admirablement écrits. Mais, comme dans ses longs métrages précédents, il a tendance à se perdre dans le visuel.
Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complètePoint de vues
J'y repense et j'ai des frissons. J'ai déjà hâte de retourner voir le film.
Paul Landriau Lire la critique complèteCinémaniak.net
C'est à la fois plus construit (l'histoire est bien plus écrite que pour ses deux premiers films par exemple) et moins élitiste. Le montage suit scrupuleusement les choix musicaux et l'ouverture du cadre au milieu du film est une des seules facéties de l'auteur plutôt bien trouvée pour conserver une certaine signature.
Syril Tiar Lire la critique complèteQuatre trois
Il serait un peu hyperbolique de déclarer ce film comme étant un nouveau classique du cinéma québécois, surtout avec si peu de recul par rapport à sa sortie, mais reste que Mommy est un véritable tour de force du jeune réalisateur.
Vincent Emond Lire la critique complèteTon Canapé
Ce n'est pas sans raison que ce film s'est vu recevoir tant de fleurs et il faut, en réalité, lancer la première au fameux trio qu'il met en valeur.
Rachel Tremblay Saint-Yves Lire la critique complèteLe Devoir
C'est parfois tonitruant, parfois excessif ; ce ne le serait pas que cette adéquation évoquée entre le fond et la forme ne fonctionnerait pas. C'est surtout vivifiant, et enthousiasmant, et bouleversant. Car l'émotion est au rendez-vous, probablement plus encore qu'auparavant.
François Lévesque Lire la critique complèteLa Presse
Si le dernier acte - puissant sur le plan dramatique - s'étire un peu, il reste que Mommy est le plus maîtrisé des films « pur style » Dolan.
Marc-André Lussier Lire la critique complèteFilms du Québec
Mais malgré ce trait encore un peu forcé, Xavier Dolan aura réussi une nouvelle fois un coup fumant avec cette oeuvre unique, qui parvient à marquer l'imaginaire.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complète