Gerry
v.o.f.s.-t.a. : Gerry
Depuis son tout jeune âge, Gérald Boulet est animé par la musique. Vers la fin des années 60, Gerry fonde le groupe Offenbach avec son frère Denis. Le groupe connaît un certain succès, mais atteint son apogée dans les années 70 avec l'arrivée de Pierre Harel. Pendant un exil de deux ans en France, le musicien s'éprend de Françoise Faraldo, qui le rejoint au Québec. Quelques années plus tard, il met fin officiellement à Offenbach pour entreprendre une carrière solo dont le succès est sans précédent au Québec. Après des années d'excès et de consommation d'alcool et de drogues, le cancer l'emporte en juillet 1990, à l'âge de 44 ans.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Les Films Christal
distributeur
- Les Films Séville
Revues de presse
Médiafilm
Un récit anecdotique dont les scènes à faire sont amenées de manière artificielle, et qui demeure étrangement flou sur certains détails historiques. De sorte qu'un jeune spectateur peu au fait de cette époque risque de ne pas comprendre certaines allusions à des événements majeurs ou reconnaître diverses figures marquantes non identifiées par les auteurs.
Louis-Paul Rioux Lire la critique complèteLe Soleil
Un livre de souvenirs qui, d'une page à l'autre, de façon chronologique, revient sur la vie d'un homme fait d'un seul bloc, entièrement consacré à sa passion, mais dont les bonheurs et les malheurs nous rejoignent bien peu.
Normand Provencher Lire la critique complèteLa Presse
Tous les ingrédients étaient réunis pour faire de Gerry un long métrage mémorable. Mais, malgré ses qualités, le film ne va pas plus loin que le film biographique standard.
Jean-Christophe Laurence Lire la critique complèteThe Gazette
The idea was to make un film grand public that does its best to capture the life and times of Boulet, one of the pioneering figures in the history of local franco rock - and that's exactly what Gerry is, for better or worse.
Brendan Kelly Lire la critique complèteJournal de Montréal
Même s'il n'est pas parvenu à éviter certains pièges propres au genre (réalisation convenue et académique, récit linéaire, clichés du sexe, drogue et rock'n'roll), DesRochers a su relever le défi haut la main.
Maxime Demers Lire la critique complètePanorama-Cinéma
Nous ressortons ainsi de Gerry avec l'impression de n'avoir rien appris sur cette figure mythique de la culture populaire québécoise, ou du moins, de ne pas avoir eu l'opportunité de cerner l'étendue de son influence sur le paysage musical de la belle province.
Jean-François Vandeuren Lire la critique complèteRuefrontenac.com
Après cinq minutes, on ne voit que Gerry. Mario Saint-Amand met ses tripes, son coeur et son âme sur la table pour le personnifier, comme Sébastien Ricard l'a fait pour Dédé. C'est sidérant. Et ça fait passer le film à la vitesse de l'éclair et accepter tout le reste.
Philippe Rezzonico Lire la critique complèteLecinema.ca
La production a beau être techniquement au point, il lui manque un style qui lui est propre et surtout une âme.
Martin Gignac Lire la critique complèteVoir
Alors qu'on se sera laissé subjuguer par l'interprétation généreuse et sincère de Mario Saint-Amand, en dépit du manque de moyens de la réalisation et des carences scénaristiques, Alain DesRochers brise toute la magie en balançant au générique des images du vrai Gerry Boulet.
Manon Dumais Lire la critique complèteFilms du Québec
Gerry plaira sans aucun doute à un très large public, composé aussi bien de fans irréductibles que de spectateurs moins avertis. On s'attendait malgré tout à un peu plus d'audace pour rendre hommage au légendaire rocker québécois.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complète